P. 4F, dernière ligne, lisez). P. 44, 1. 2, il faut probablement lire joi. P. “V, ligne dernière, lisez maj. P. V', ligne 9, après le mot وقولهم tez ajou . والدراهم P. VI, 1. 6, au lieu de , il faut proba . يغرز blement lire P. ^ð, 1. 12, au lieu de lgë, Massoud . وصفتها écrit P. AM, 1. 8, lisez 6. P. 4, 1. 8, lisez ls. .رجالة P. 41, 1. 1, lisez . Ibid. 1. 7, lisez alë. P. 44, ligne 6, P. 4A, 1. 9, lisez P. II, 1. 10, يجب lisez . كرية lisez . P. I^, 1. 10, lisez Ibid. 1. 13, 1. ak. P. P, 1. 9, au commencement, effacez le P. ', 1. 3, lisez äëls. Ibid. p. 7, au lieu de ĻĻ, le manuscrit النبات porte peut être مساج الحيوان P. I, 1. 1, lisez . P., 1, 4, au lieu de . مسالح semble porter le manuscrit P. 4, ligne 11, même observation. P. of, ligne 10, lisez . P. 04, 1. 1, اغلب للصين lisez Ibid. au bas de la page, ajoutez les mots تم الكتاب الاول باشوا P. ۶۲, 1. g, le manuscrit porte Ibid. 1. 12, lisez ERRATA POUR LE TEXTE DE LA RELATION.' Page, ligne 7, après le mot ¿s, ajoutez هي ضدها Ibid. 1. 12, au lieu de ɲo, lisez lö. P. 4, 1. 11, au lieu de dia, lisez . . P. 14, 1. 12, le manuscrit porte en marge, à propos de, et de la même main que le corps du traité كولم من . فتاخذ lisez P. IV, 1. 1, au lieu de Ibid. 1. 2, lisez 1 M. Langlès a souvent négligé de marquer les points diacritiques sur la lettre finale 8. Comme cette lacune n'influe pas ordinairement sur le sens, je me suis dispensé de la remplir ; je me suis borné aux mots où l'absence des points aurait pu embarrasser le lecteur. nois. C'est une erreur de croire qu'en Chine on parle une même langue, et que là où le dialecte est le même on s'entende parfaitement. Autrefois, presque chaque province avait son langage particulier. Maintenant, il existe, outre la langue savante des lettrés, un langage vulgaire commun à tout l'empire, et dont les dialectes du nord et du midi ne diffèrent que pour la prononciation et quelques idiotismes; mais chaque province, et souvent chaque arrondissement a son patois. De plus, on parle dans les provinces de Canton et du Fo-kien, qui sont situées sur la côte, et où commerçaient les Arabes et les Persans, comme y commercent aujourd'hui les Européens, deux langages inconnus au reste de l'empire. On fera bien de lire à ce sujet un mémoire intéressant de M. Bazin, intitulé: Mémoire sur les principes généraux du chinois vulgaire. (Journal asiatique des mois d'avril, mai, juin et août 1845.) Pag. cxxiv de l'Introduction, ligne 7 et suiv. M. Abel-Rémusat a fait connaître, dans ses notes sur le Foe-koue-ki, pag. 82, une répartition des monarchies du monde analogue à celleci, mais dont il n'a pas eu, ce me semble, une idée exacte. - Tom. I, pag. 6, ligne 13. L'auteur parle d'une coquille qui sert de trompette. Au lieu de schenek, il faut écrire sankha; c'est un mot sanscrit qui se dit d'une conque marine, et qui désigne un des attributs de Vichnou. Tom. II, pag. 27, note 81. — Il y a une remarque générale à faire sur les transcriptions de mots chinois en arabe. L'écriture arabe, d'une part, à cause de l'absence des voyelles, de l'autre, par la ressemblance de plusieurs consonnes, qu'on ne parvient à distinguer entre elles qu'à l'aide de certains points quelquefois omis par les copistes, est très-sujette à dénaturer les mots empruntés aux langues étrangères. Mais il y a eu une chance de plus avec le chi |