Mémoires et correspondance littéraires: dramatiques et anecdotiques, de C. S. Favart, Volume 1L. Collin, 1808 |
Autres éditions - Tout afficher
Mémoires et correspondance littéraires: dramatiques et ..., Volume 1 Favart (M., Charles-Simon) Affichage du livre entier - 1808 |
Mémoires et correspondance littéraires: dramatiques et ..., Volume 1 Favart (M., Charles-Simon) Affichage du livre entier - 1808 |
Mémoires et correspondance littéraires, dramatiques, et anecdotiques, Volume 1 Favart (M., Charles-Simon) Affichage d'extraits - 1970 |
Expressions et termes fréquents
acte actrice amour Annette Argie ariettes auroit auteur avoient avoit ballet Blandin Bocace bonté brochure c'étoit Caliste chant cher cœur Comédie Italienne Comédie-Française comédiens Italiens comte connoître conte couplet d'Armide Dancourt danseuse Dardanus demoiselle différens donner Dornac dramatique Durancy Durazzo écrivoit envoie étoient étoit faisoit femme Foire Foire Saint-Germain Fréron gens goût homme intitulée J'ai j'avois j'en jeune jolie joue jours l'abbé l'Amour l'auteur l'esprit l'honneur l'Opéra l'Opéra-Comique lettre Lotario Lubin m'en madame Favart mademoiselle mademoiselle Clairon maréchal maréchal de Saxe mari ment mille livres mœurs moiselle MONSEIGNEUR monsieur musicien musique n'ai n'avoit nouveau nouvelle opéra comique Opéra-Comique Orcan ouvrage Palissot parodie paroît père petite pièce plaisanterie plaisir poème poète Poinsinet pourroit pouvoit première présent public reçu représentation ridicule rien rôles sais satire scène Sciolto sentimens seroit sieur sort soubrettes spectacle succès sujet talens teur théâtre Théâtre-Italien tion tragédie troupe trouve Urgèle vaudevilles Vienne vient Voisenon Voltaire
Fréquemment cités
Page 117 - Ces satisfactions n'apaisent point une âme. Qui les reçoit n'a rien , qui les fait se diffame ; Et de tous ces accords l'effet le plus commun Est de perdre d'honneur deux hommes au lieu d'un.
Page 116 - Non, tu n'es point le sang des héros ni des dieux. Au milieu des rochers tu reçus la naissance, Un monstre des forêts éleva ton enfance , Et tu n'as rien d'humain que l'art trop dangereux De séduire une femme et de trahir ses feux. Dis-moi, qui t'appeloit aux bords de la Libye?
Page lxiv - Il m'a fait trop de bien pour en dire du mal; Il m'a fait trop de mal pour en dire du bien.
Page xxxviii - L'esprit comédien a fait courir ici le bruit que ta maladie n'était qu'une fourberie mal concertée pour cacher tes craintes et ma jalousie. J'ai répondu que je n'étois point dans le cas d'être jaloux } et que le soupçon te ferait injure. On doit écrire à M. de la Grolet pour savoir si tu es en état de partir pour l...
Page xliv - Reçois cette fleur fanée, arrachée de sa tige, c'est le symbole d'un cœur flétri par une absence rigoureuse. Adieu, vis contente ; que tous tes jours soient des jours de...
Page xxxvi - J'en frémis, et qu'aurait dit le roi de France et de Navarre si, au lieu du flambeau de sa vengeance, il m'avait trouvé une guirlande à la main? Malgré le danger auquel vous m'avez exposé, je ne puis vous savoir mauvais gré de mon erreur, elle est charmante...
Page xxxvii - Malgré le danger auquel vous m'avez exposé, je ne puis vous savoir mauvais gré de mon erreur, elle est charmante ! Mais ce n'est qu'en fuyant que l'on peut éviter un péril si grand : Adieu, divinité du parterre adorée ; Faites le bien d'un seul et les désirs de tous; Et puissent vos amours égaler la durée De la tendre amitié que mon...
Page lxxviii - On démêlait pourtant la mine d'un espiègle Qui fait des tours, se cache afin d'en rire à part, Qui séduit la raison et qui la prend pour règle : Vous voyez son portrait sous les traits de Favart. DÉCEMBRE 1
Page xlvi - Que, quant à mademoiselle Chantilly, elle ne mérite aucun égard, ce qui ne doit point te chagriner. « Tes amis s'imaginent que c'est le voyage de Flandre que tu fais pour te divertir. Si tu veux, j'enverrai mon début à tous les diables, et je pars sur-le-champ pour t'aller retrouver. Marque-moi tes intentions, je les suivrai de point en point....
Page 42 - Poinsinet une lettre supposée d'un souverain d'Allemagne, portant commission de chercher en France, un jeune homme, versé dans la littérature, qui voulût bien se charger de l'éducation du prince héréditaire. Poinsinet pria son ami de lui ménager cette place; Palissot lui promit d'écrire en sa faveur. Quelque temps après il feignit d'avoir reçu la réponse désirée.