Poésies complètes, Volume 1A. Lemerre, 1879 |
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... longtemps , jeune Napolitaine , Les noms harmonieux des arbres de ces bois ; Nomme - moi les coteaux avec chaque fontaine Et les blanches villas qu'à l'horizon je vois . Et il voudra savoir mille autres détails encore , mille petits ...
... longtemps , jeune Napolitaine , Les noms harmonieux des arbres de ces bois ; Nomme - moi les coteaux avec chaque fontaine Et les blanches villas qu'à l'horizon je vois . Et il voudra savoir mille autres détails encore , mille petits ...
Page xxxviii
... longtemps qu'on est comblé d'in- fortunes rares et doué de magnifiques tris- tesses . Puis on reconnaît un jour qu'on se flattait et que , même en douleur , on mène un train fort ordinaire . Les Consolations mar- quent ce moment de la ...
... longtemps qu'on est comblé d'in- fortunes rares et doué de magnifiques tris- tesses . Puis on reconnaît un jour qu'on se flattait et que , même en douleur , on mène un train fort ordinaire . Les Consolations mar- quent ce moment de la ...
Page xxxviii
... longtemps qu'on est comblé d'in- fortunes rares et doué de magnifiques tris- tesses . Puis on reconnaît un jour qu'on se flattait et que , même en douleur , on mène un train fort ordinaire . Les Consolations mar- quent ce moment de la ...
... longtemps qu'on est comblé d'in- fortunes rares et doué de magnifiques tris- tesses . Puis on reconnaît un jour qu'on se flattait et que , même en douleur , on mène un train fort ordinaire . Les Consolations mar- quent ce moment de la ...
Page 25
... longtemps cramponné , avait fui comme une eau sous sa prise , et l'avait laissé battu de la vague sur un sable mouvant . Nul précepte de vie , nul principe de morale ne restait debout dans cette âme , hormis quelques débris épars çà et ...
... longtemps cramponné , avait fui comme une eau sous sa prise , et l'avait laissé battu de la vague sur un sable mouvant . Nul précepte de vie , nul principe de morale ne restait debout dans cette âme , hormis quelques débris épars çà et ...
Page 32
... Longtemps il fume ; en long nuage Sa verte sève se dégage Du tronc lentement consumé . Oh ! qui lui rendra son jeune âge ? Qui lui rendra ses jets puissants , Les nids bruyants de son feuillage , Les rendez - vous sous son ombrage , Ses ...
... Longtemps il fume ; en long nuage Sa verte sève se dégage Du tronc lentement consumé . Oh ! qui lui rendra son jeune âge ? Qui lui rendra ses jets puissants , Les nids bruyants de son feuillage , Les rendez - vous sous son ombrage , Ses ...
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Expressions et termes fréquents
adorée aime Alfred de Vigny amant âme amour André Chénier baiser baisers beau beau sein beauté belle bientôt blanche blonde bois bonheur bras brillant brise bruit chants charme chaste cher cheveux choses ciel cieux cœur Consolations couleurs d'André Chénier demain dévore doux Éden ÉMILE DESCHAMPS enfant feuillage flamme fleurs flots François Villon front gazon gémir gloire heure heureux j'ai j'aime jamais jaune jeune jeunesse Joseph Delorme jour l'âme l'amour l'aurore l'œil l'onde laisse Lamartine loin long longtemps lyre Madame madame de Staël main matin mêle mille Mimnerme mourir Muse nuage nuit œil pâle parfum passe penchant pensée Pétrarque plainte plaisir pleurs poésie poète poétique printemps qu'un rameaux rayon regard rêve rêveur rien Ronsard rosée sainte Sainte-Beuve sais Sénancour sentiments seul silence soir soleil sombre sommeil Sonnet sort souffrante soupirs sourit souvent tendre TIBULLE tombe tristesse vermeil vert Victor Hugo voile voix volupté yeux zéphyr
Fréquemment cités
Page 332 - Paganisme immortel, es-tu mort? On le dit; • Mais Pan tout bas s'en moque, et la Sirène en rit.
Page 217 - Tandis que chacun de ces objets du paysage reste fixe en son lieu et s'inquiète peu des autres, que la tour féodale dédaigne le vallon, et que le vallon ignore le coteau, la rivière va de l'un à l'autre, les baigne sans les déchirer, les embrasse d'une eau vive et courante, les comprend, les réfléchit : et lorsque le voyageur est curieux de connaître et de visiter ces sites variés, elle le prend dans une barque, elle le porte sans secousse, et lui développe successivement tout le spectacle...
Page 109 - Pour trois ans seulement, oh ! que je puisse avoir Sur ma table un lait pur, dans mon lit un œil noir...
Page 122 - Elle file, elle coud, et garde à la maison Un père vieux, aveugle et privé de raison. Si, pour chasser de lui la terreur délirante Elle chante parfois, une toux déchirante La prend dans sa chanson, pousse en sifflant un cri Et lance les graviers de son poumon meurtri.
Page xxi - Une seule qualité physique peut conduire l'esprit qui s'en occupe à une infinité de choses diverses. Prenons une couleur, le jaune, par exemple : l'or est jaune, la soie est jaune, le souci est jaune, la bile est jaune, la...
Page 221 - ... l'artiste, comme s'il était doué d'un sens à part, s'occupe paisiblement à sentir sous ce monde apparent l'autre monde tout intérieur qu'ignorent la plupart...
Page 45 - Rime, qui donnes leurs sons Aux chansons, Rime, L'UNIQUE HARMONIE Du vers, qui, sans tes accents Frémissants, Serait muet au génie ; Rime, écho qui prends la voix Du hautbois Ou l'éclat de la trompette, Dernier adieu d'un ami Qu'à demi L'autre ami de loin répète; Rime, tranchant aviron, Éperon Qui fends la vague écumante; Frein d'or, aiguillon d'acier Du coursier A la crinière fumante; Agrafe, autour des seins nus De Vénus Pressant l'écharpe divine, Ou serrant le baudrier Du guerrier...
Page 191 - Egyptus les rivages fertiles ; Mais la terre et la mer et l'âge et les malheurs Ont épuisé ce corps fatigué de douleurs. La voix me reste. Ainsi la cigale innocente, Sur un arbuste assise, et se console et chante. Commençons par les Dieux : Souverain Jupiter, Soleil qui vois, entends, connais tout, et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs dieux des vengeances trop lentes, Salut ! Venez à moi de l'Olympe habitantes, Muses; vous savez tout, vous déesses; et nous, Mortels, ne savons rien qui ne...
Page 136 - Et s'assoit à l'abri du soleil étouffant, Vers six heures, sur l'herbe, avec sa belle enfant. Ainsi passent ses jours depuis le premier âge, Comme des flots sans nom sous un ciel sans orage, D'un cours lent, uniforme, et pourtant solennel ; Car ils savent qu'ils vont au rivage éternel.
Page 44 - Rime, qui donnes leurs sons Aux chansons , Rime, l'unique harmonie Du vers , qui , sans tes accents Frémissants , Serait muet au génie ; Rime, écho qui prends la voix Du haut-bois Ou l'éclat de la trompette , Dernier adieu d'un ami Qu'à demi L'autre ami de loin répète ; Rime , tranchant aviron...