Histoire philosophique de la révolution de France, depuis la première Assemblée des notables jusqu'a la paix de Presbourg, Volume 2Impr. des freres Mame, 1807 |
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... Stenay et Mont - Médi . Le cortège arrive dans cet intervalle ; on parle- mente ; la garde nationale occupait le pont avec deux pièces de canon ; les municipaux craignant qu'un corps nombreux de troupes .1791 . de ligne HISTOIRE.
... Stenay et Mont - Médi . Le cortège arrive dans cet intervalle ; on parle- mente ; la garde nationale occupait le pont avec deux pièces de canon ; les municipaux craignant qu'un corps nombreux de troupes .1791 . de ligne HISTOIRE.
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Antoine Fantin-Desodoards. craignant qu'un corps nombreux de troupes .1791 . de ligne , commandé par Bouillé , entre Dun et Stenay , n'accourût pour ouvrir le passage à la famille royale , avaient chargé plusieurs particuliers de ...
Antoine Fantin-Desodoards. craignant qu'un corps nombreux de troupes .1791 . de ligne , commandé par Bouillé , entre Dun et Stenay , n'accourût pour ouvrir le passage à la famille royale , avaient chargé plusieurs particuliers de ...
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... troupes vers Mont - Médi , préparé un camp près de cette ville , cherché à cor- rompre les soldats , les a engagés à la déser- tion pour se réunir à lui , et sollicité les puis- sances voisines à faire une invasion sur le ter- ritoire ...
... troupes vers Mont - Médi , préparé un camp près de cette ville , cherché à cor- rompre les soldats , les a engagés à la déser- tion pour se réunir à lui , et sollicité les puis- sances voisines à faire une invasion sur le ter- ritoire ...
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... troupes de lignes refu → sèrent de marcher à son secours . Louis a pris la fuite ; il a protesté contre la constitution ; il était attendu à Orval , abbaye de Luxembourg , et non à Mont - Médi ; il a défendu à ses ministres de signer ...
... troupes de lignes refu → sèrent de marcher à son secours . Louis a pris la fuite ; il a protesté contre la constitution ; il était attendu à Orval , abbaye de Luxembourg , et non à Mont - Médi ; il a défendu à ses ministres de signer ...
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... troupes suédoises et russes . Ils devaient être débarqués le plus près possible de Paris , soit pour marcher droit à cette capitale et faire une diversion , tandis que les émigrés , rassemblés sur le Rhin , pénétreraient en Lorraine ...
... troupes suédoises et russes . Ils devaient être débarqués le plus près possible de Paris , soit pour marcher droit à cette capitale et faire une diversion , tandis que les émigrés , rassemblés sur le Rhin , pénétreraient en Lorraine ...
Expressions et termes fréquents
10 août armée arrêter assure Autrichiens avaient bientôt çais CHAP CHAPITRE citoyens club club des jacobins Coblentz comité comité autrichien commandant commissaires conduite conseil constitution convention nationale cordeliers corps législatif cour Custine Danton déclarer décret départemens députés devait dix août duc d'Orléans Dumourier égorger émigrés ennemis faction Feuillans force fran française Francfort frontières garde nationale général gouvernement guerre habitans individus jacobins jour l'armée l'assem l'assemblée législative l'assemblée nationale l'empereur l'Etat Lafayette levellers liberté liste civile long-tems Louis XVI maire Marat massacres Mayence ment mesures mille hommes ministre multitude municipalité n'était nation nombre Orléans palais des Tuileries patrie patriotes Petion pétitions peuple Pilnitz politique porter pouvait pouvoir exécutif prétexte prêtres prince prison de l'abbaye prisonniers prisons projet Prusse Prussiens publique puissances rassemblement représentans républicains république révolution révolutionnaire Rhin s'étaient saient sanction sans-culottes séances secret sections septembre serait seulement société sort sureté systême tems tion tribune trône troupes trouvaient voulaient
Fréquemment cités
Page 314 - ... l'on veut que vous nous fassiez dire quelque chose, ne vous gênez pas. Soyez tranquille sur votre sûreté, nous n'existons que pour vous servir nous y travaillons...
Page 179 - Il a séparé ses intérêts de ceux de la nation : nous les séparons comme lui. Loin de s'être opposé par aucun acte formel aux ennemis du dehors et de l'intérieur, sa conduite est un acte formel et perpétuel de désobéissance à la constitution ! Tant que nous aurons un roi semblable, la liberté ne peut...
Page 257 - Prévenue que des hordes barbares s'avancent contre la capitale, la commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple, actes...
Page 16 - J'ai reconnu dans mon voyage que l'opinion publique était décidée en faveur de la constitution. Je n'avais pas cru...
Page 174 - C'est avec douleur qu'elle vous dénonce, par notre organe, le chef du pouvoir exécutif. Le peuple a, sans doute, le droit d'être indigné contre lui ; mais le langage de la colère ne convient point aux hommes forts. « Contraints par Louis XVI à l'accuser devant vous et devant la France entière, nous l'accuserons sans amertume comme sans ménagements pusillanimes.
Page 14 - ... j'aurais été plus à portée de m'opposer à toute espèce d'invasion dans la France, si on avait voulu en tenter quelqu'une, et de me porter moi-même partout où j'aurais pu croire qu'il y avait quelque danger. Enfin, j'avais choisi Montmédy comme le premier...
Page 175 - XVI depuis les premiers jours de la Révolution, ses projets sanguinaires contre la ville de Paris, sa prédilection pour les nobles et les prêtres, l'aversion qu'il témoignait au corps du peuple, l'Assemblée nationale constituante outragée par des valets de cour, investie par des hommes armés, errante au milieu d'une ville royale, et ne trouvant d'asile que dans un jeu de paume. Nous ne vous retracerons pas des...
Page 200 - Le chef du pouvoir exécutif est provisoirement suspendu de ses fonctions, jusqu'à ce que la Convention nationale ait prononcé sur les mesures qu'elle croira devoir adopter pour assurer la souveraineté du peuple et le règne de la liberté et de l'égalité.
Page 257 - ... d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les Français s'écrieront comme les Parisiens : Marchons à l'ennemi, mais ne laissons pas derrière nous ces brigands pour égorger nos enfants et nos femmes.
Page 199 - Je viens , au nom de la commission extraordinaire, vous présenter une mesure bien rigoureuse ; mais je m'en rapporte à la douleur dont vous êtes pénétrés, pour juger combien il importe au salut de la patrie que vous l'adoptiez sur-le-champ.