Representative French Lyrics of the Nineteenth Century |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Table des matières
23 | |
35 | |
65 | |
75 | |
83 | |
90 | |
99 | |
108 | |
216 | |
242 | |
257 | |
263 | |
274 | |
286 | |
287 | |
293 | |
117 | |
145 | |
155 | |
167 | |
183 | |
192 | |
202 | |
303 | |
314 | |
323 | |
342 | |
393 | |
402 | |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
ailes aime âme amour Baudelaire beau beauté bois bords bouche bras bruit chants charme ciel cieux cœur couche coup cours death dernier devant Dieu divin dormait doux enfants éternelle femme fils first fleur flots fond form French front gémir gloire great haut Hélas homme Hugo humaine j'ai jette jour l'air l'âme l'amour l'eau l'heure l'homme l'ombre laisse Lamartine Leconte lève lines livre loin long love main marche mère monde monts mort mourir murmure nature noir nuit ombre pâle parle passé pensée père pieds plein pleurs poems poet poetry porte première profonde published qu'un rayon regard reste rêve rien rose Roule sais sang says sent seul siècle silence soir soleil sombre songe sort souffle source terre tête thought time tombe tour tremble triste vague vent verse vieux Vigny vivant voile voit voix voyait work years yeux
Fréquemment cités
Page 261 - La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles ; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers.
Page 337 - De la musique avant toute chose Et pour cela préfère l'Impair, Plus vague et plus soluble dans l'air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose.
Page 130 - Mais, vieux, on tremble ainsi qu'à l'hiver le bouleau ; Je suis veuf, je suis seul, et sur moi le soir tombe, Et je courbe, ô mon Dieu ! mon âme vers la tombe, Comme un bœuf ayant soif penche son front vers l'eau.
Page 8 - Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Page 260 - Derrière les ennuis et les vastes chagrins Qui chargent de leur poids l'existence brumeuse, Heureux celui qui peut d'une aile vigoureuse S'élancer vers les champs lumineux et sereins ! Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor, — Qui plane sur la vie et comprend sans effort Le langage des fleurs et des choses muettes!
Page 180 - C'est une dure loi, mais une loi suprême, Vieille comme le monde et la fatalité, Qu'il nous faut du malheur recevoir le baptême, Et qu'à ce triste prix tout doit être acheté.
Page 337 - Car nous voulons la Nuance encor, Pas la Couleur, rien que la nuance! Oh! la nuance seule fiance Le rêve au rêve et la flûte au cor!
Page 261 - J'ai longtemps habité sous de vastes portiques Que les soleils marins teignaient de mille feux, Et que leurs grands piliers; droits et majestueux, Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.
Page 51 - Vos anges sont jaloux et m'admirent entre eux. Et cependant, Seigneur, je ne suis pas heureux; Vous m'avez fait vieillir puissant et solitaire, Laissez-moi m'endormir du sommeil de la terre.
Page 129 - Le vieillard, qui revient vers la source première, Entre aux jours éternels et sort des jours changeants; Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière.