Abhandlungen der Königlichen Akademie der Wissenschaften zu Berlin |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
affez ainfi année auffi avoit c'eft c'eſt calcul caufe changé chofe commun conféquent confidérable contraire corps côté coup degré dernier déterminer différence dire doit donne doute effet également équation eſt état étoit exemple faces fans feconde fens fentiment fera feroit feuilles feul fimple fleurs fociété foit fomme fond font force forme fort forte fous fouvent françois fuite fuivant fujet fuppofe général genre grec hommes idées italien j'ai jugement jusqu'à l'ame l'autre l'équation l'état l'expérience l'homme l'italien l'un langue latin lettres lieu manière matière mémoire ment morale mots moyen n'eft n'en n'eſt nature naturel néceffaire nombre objets paffer parler particulier pays perfonnes petite peuple peuvent place plufieurs poffible porte première probabilité produit propre qu'à qu'une raifon rapport réelle remarque rien s'il tang termes tion tirer trouve valeur vérité voit vrai
Fréquemment cités
Page 178 - ... objet, ou que l'âme ait en elle-même toutes les perfections qu'elle voit dans ces corps, ou enfin qu'elle soit unie avec un être tout parfait, et qui renferme généralement toutes les perfections intelligibles ou toutes les idées des êtres créés.
Page 178 - C'est de quoi tout le monde doit tomber d'accord. Nous assurons donc qu'il est absolument nécessaire que les idées que nous avons des corps et de tous les autres objets que nous n'apercevons point par eux-mêmes, viennent de ces mêmes corps ou de ces objets ; ou bien que notre âme ait la puissance de produire ces idées, ou que Dieu les ait produites avec elle en la créant, ou qu'il les produise toutes les fois qu'on pense à quelque objet, ou que l'âme ait en elle-même toutes les perfections...
Page 178 - On en jugera en comparant ensemble ces deux endroits : voici le premier (p. 200). Après avoir supposé deux choses très vraies : l'une « que Dieu a en lui-même les idées de tous les êtres qu'il a « crées» , l'autre « que Dieu est très intimement uni à nos âmes « par sa présence
Page 180 - Mais on demandera en répliquant : où seraient ces idées, si aucun esprit n'existait, et que deviendrait alors le fondement réel de cette certitude des vérités éternelles ? Cela nous mène enfin au dernier fondement [des vérités, savoir à cet esprit suprême et universel, qui ne peut manquer d'exister, dont l'entendement, à dire vrai, est la région des vérités éternelles, comme saint Augustin l'a reconnu, et l'exprime d'une manière assez vive.
Page 180 - C'est là où je trouve l'original des idées et des vérités qui sont gravées dans nos âmes , non pas en forme de propositions, mais comme des sources dont l'application et les occasions feront naître des énonciations actuelles.
Page 176 - Nous voyons le soleil, les étoiles et une infinité d'objets hors de nous ; et il n'est pas vraisemblable que l'âme sorte du corps et qu'elle aille, pour ainsi dire, se promener dans les cieux pour y contempler tous ces objets. Elle ne les voit donc point par eux-mêmes ; et...
Page 177 - ... de quelque nombre et ne représentait pas des choses tout à fait différentes : ce qui ne peut jamais arriver au néant, puisque le néant n'a aucune propriété. Il est donc indubitable que les idées ont une existence très-réelle.
Page 6 - Prix, qui confifte en une Médaille d'or du poids de cinquante Ducats, fera donné à celui qui, au jugement de l'Académie, aura le mieux réulTi.
Page 177 - Ainsi l'on a souvent dans l'esprit des idées réelles de choses qui ne furent jamais. Lorsqu'un homme, par exemple, imagine une montagne d'or, il est absolument nécessaire que l'idée de cette montagne soit réellement présente à son esprit. Lorsqu'un fou ou un homme qui a la fièvre chaude ou qui dort, voit devant...
Page 97 - La fomme de deux côtés eft à leur différence, comme la tangente de la demifomme des deux angles oppofés,, eft à la tangente de leur demidifférence.