Œuvres philosophiques de Descartes, pub. d'après les textes originaux avee notices, sommaires et éclaircissemens, Volume 1L. Hachette, 1835 |
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... dépend du jugement de chacun 5 . n y a un amour intellectuel et un amour sensitif : le pre- mier consiste dans un jugement de l'ame , et il engendre une joie , une tristesse ou un désir également intellectuel . L'amour a lieu lorsqu'il ...
... dépend du jugement de chacun 5 . n y a un amour intellectuel et un amour sensitif : le pre- mier consiste dans un jugement de l'ame , et il engendre une joie , une tristesse ou un désir également intellectuel . L'amour a lieu lorsqu'il ...
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... dépend de la volonté . §6 . DE LA NATURE DE L'AME , ET DE LA DISTINCTION DE L'AME ET DU CORPS . La pensée constitue l'essence de l'ame et ne peut s'en séparer 8 . 1 Lettre LVIII . * Passions de l'ame , première partic , art . 20-41 ...
... dépend de la volonté . §6 . DE LA NATURE DE L'AME , ET DE LA DISTINCTION DE L'AME ET DU CORPS . La pensée constitue l'essence de l'ame et ne peut s'en séparer 8 . 1 Lettre LVIII . * Passions de l'ame , première partic , art . 20-41 ...
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... - tre LXVII , à la fin . 7 Troisième et quatrième Méditations ; Réponses aux secondes Objections , 9-11 ; Remarques sur les septièmes Objections , 49 . La différence de certitude entre deux vérités ne dépend pas LOGIQUE DE DESCARTES . CXXÍ.
... - tre LXVII , à la fin . 7 Troisième et quatrième Méditations ; Réponses aux secondes Objections , 9-11 ; Remarques sur les septièmes Objections , 49 . La différence de certitude entre deux vérités ne dépend pas LOGIQUE DE DESCARTES . CXXÍ.
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René Descartes Adolphe Garnier. La différence de certitude entre deux vérités ne dépend pas du nombre de ceux qui connaissent l'une ou l'autre , mais de la préférence que donnent à l'une ou à l'autre ceux qui les connaissent toutes les ...
René Descartes Adolphe Garnier. La différence de certitude entre deux vérités ne dépend pas du nombre de ceux qui connaissent l'une ou l'autre , mais de la préférence que donnent à l'une ou à l'autre ceux qui les connaissent toutes les ...
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... dépend pas de nous de jouir ou de souffrir , nous ne sommes pas plus maîtres de juger à notre gré . Il partage ensuite les idées en innées , adventices et fac- tices , et dans la suite de ses Méditations il est assez fidèle à cette ...
... dépend pas de nous de jouir ou de souffrir , nous ne sommes pas plus maîtres de juger à notre gré . Il partage ensuite les idées en innées , adventices et fac- tices , et dans la suite de ses Méditations il est assez fidèle à cette ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Addition au texte aisément Aristote assez avons c'est-à-dire cause cerveau chaleur chose qui pense choses corporelles clairement et distinctement Clerselier cœur concevoir conçois connaissance connaître considérer corps coutume croire d'autres d'avec démontrer dépend dépendent Descartes dessein dire diverses douleur doute écrits Elzevier esprit évident excite façon faculté figure fût Gassendi géométrie glande pinéale haine Henri Leroy hommes idées Idem imaginer infinité j'ai j'avais jamais joie jugemens juger l'esprit l'existence de Dieu l'idée Lettre libre arbitre ment Méthode moi-même monde mouvemens mouvement n'ai n'eusse n'y a rien nature néanmoins nerfs notions objets opinions pable parfait Passions de l'ame perceptions père Mersenne perfection persuader peut-être peuvent philosophie première principes puisse qu'une quelquefois raison remarque René Descartes s'il sang saurait savoir semblables semble sens sentimens sentir serait seulement sorte substance tence texte latin tion touchant toutefois tristesse trom trompe trouve veines vérité vois volonté Voyez vrai
Fréquemment cités
Page 18 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 30 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle...
Page 31 - Et ayant remarqué qu'il n'ya rien du tout en ceci, je pense, donc je suis, qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être, je jugeai que je pouvais prendre pour règle générale que les choses que nous concevons fort clairement et fort distinctement sont toutes vraies, mais qu'il ya seulement quelque difficulté à bien remarquer quelles sont celles que nous concevons distinctement.
Page 3 - En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux, qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison, est naturellement égale en tous les hommes...
Page 55 - ... par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des cieux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 22 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance, et me gouvernant en toute autre chose suivant les opinions les plus modérées et les plus éloignées de l'excès qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 7 - Il est bon de savoir quelque chose des mœurs de divers peuples, afin de juger des nôtres plus sainement et que nous ne pensions pas que tout ce qui est contre nos modes soit ridicule et contre raison, ainsi qu'ont coutume de faire ceux qui n'ont rien vu.
Page 12 - ... je demeurais tout le jour enfermé seul dans un poêle, où j'avais tout le loisir de m'entretenir de mes pensées. Entre lesquelles l'une des premières fut que je m'avisai de considérer que souvent il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces, et faits de la main de divers maîtres , qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.
Page 30 - Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées que 20 nous avons étant éveillés nous peuvent aussi venir quand nous dormons, sans qu'il y en ait aucune pour lors qui soit vraie, je me résolus de feindre que toutes les choses qui m'étaient jamais entrées en l'esprit n'étaient non plus vraies que les illusions de mes songes.
Page 24 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'ya rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées, en sorte qu'après que nous avons fait notre mieux touchant les choses qui nous sont extérieures, tout ce qui manque de nous réussir est au regard de nous absolument impossible.