 | Noël Antoine Pluche - 1778 - 492 pages
...n'a» vois-aucune raison de croire que j'eusse » été. Je connus de-là que j'étois une subs» tance dont toute l'essence ou la nature » n'est que de...pour être n'a » besoin d'aucun lieu, ni ne dépend d'au» cune chose maférie-'le ; en sorte que ce » moi , c'est-à-dire , l'ame par laquelle ja »... | |
 | Mathurin-Jacques Brisson - 1800 - 554 pages
...été : je connus de là que j'étois jo une substance dont toute l'essence ou la nature n'eSf; ?» que de penser, et qui , pour être, n'a besoin d'aucun...matérielle ; en sorte » que ce moi, c'est-à-dire, l'âme par laquelle je suis » ce que je suis , est entièrement distincte du corps ; et •» même... | |
 | Mathurin-Jacques Brisson - 1800 - 492 pages
...été vrai , je n'avois aucune raison » de croire que j'eusse été : je connus de là que j'étois » une substance dont toute l'essence ou la nature n'est...de penser, et qui, pour être, n'a besoin d'aucun li lieu , ni ne dépend d'aucune chosefmatérielle ; en sorte » que ce moi, c'est-à-dire, l'ame par... | |
 | 1798 - 420 pages
...été 3> vrai, je n'avois aucune raison de croire que j'eusse 3> été : je connus delà que j'étois une substance dont » toute l'essence ou la nature n'est que de penser , et *y qui , pour être , n'a besoin d'aucun lieu , ni ne dé33 pend d'aucune chose matérielle , encore... | |
 | René Descartes - 1811 - 674 pages
...pense, je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense , ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. Et quoique peut-être, ou plutôt certainement, j'aie un corps auquel je suis très-étroiteinent conjoint;... | |
 | René Descartes - 1824 - 518 pages
...pense , je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. Et quoique peut-être , ou plutôt certainement, comme je le dirai tantôt, j'aie un corps auquel je suis... | |
 | René Descartes - 1824 - 524 pages
...pense , je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. Et quoique peut-être , ou plutôt certainement, comme je le dirai tantôt, j'aie un corps auquel je suis... | |
 | René Descartes - 1824 - 588 pages
...je «conclus fort bien que mon essence consiste en » cela seul que je suis une chose qui pense ou une «substance dont toute l'essence ou la nature n'est » que de penser. » Ce seroit ici où je me voudrois arrêter, mais où il suffit de répéter ce que j'ai déjà allégué... | |
 | 1824 - 558 pages
...je «conclus fort bien que mon essence consiste en » cela seul que je suis une chose qui pense ou une » substance dont toute l'essence ou la nature n'est » que de penser. » Ce seroit ici où je me voudrois arrêter, mais où il suffit de répéter ce que j'ai déjà allégué... | |
 | Louis Auguste Gruyer - 1829 - 132 pages
...pense, je conclus fort bien que mon essence consiste en cela seul que je suis une chose qui pense, ou une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser. » J'ai déjà assez soigneusement examiné cette question dans l'article III ci-dessus , et j'ai fait... | |
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... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle... 
