| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1739 - 488 pages
..., qui m'avoit fait perdre en un inftant l'attention & l'eftime publique : car j'entrai toutà-coup dans un néant affreux : je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie fans qu'on m'eût regardé,& qu'on m'eût mis en occafion d'ouvrir la bouche : mais fi quelqu'un par... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1771 - 694 pages
...qui m'avoit fait perdre . en un inftant , l'attention & ! Vtirae publique; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie , fans qu'on m'eût regardé , & qu'on m'eût mis en occafion d'ouvrir la bouche : mais , fi quelqu'un... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1788 - 510 pages
...l'attention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais, si quelqu'un , par hasard , apprenoit à la compagnie que j'étbis persan, j'entendois aussi-tôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1788 - 506 pages
..., Tattention et l'estime publiques ; car j'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie, sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais , si quelqu'un , par hasard , apprenoit à la compagnie que j'étois persan, j'entendois aussi-tôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1799 - 422 pages
...l'attention et l'estime publique ; car j 'entrai tout-à-coup dans un néant affreux. Je de" meurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on...d'ouvrir la bouche : mais si quelqu'un, par hasard, apprenoit à la compagnie que j'etois Persan , j'entendois aussitôt autour de moi un bourdonnement... | |
| Charles-Louis de Secondat de Montesquieu - 1817 - 648 pages
...je valais réellement. Libre de tous ornemens étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avait...l'attention et l'estime publique, car j'entrai tout à coup dan* un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé... | |
| Jean-Charles Laveaux - 1818 - 834 pages
...Substantif féminin. On dit prendre occasion, sans article. Montesquieu a dit , mettre en occasion. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie...et qu'on m'eût mis en occasion d'ouvrir la bouche. ( Lettres persanes, ) Cette expression nouvelle paroit nécessaire ici : fournir l'occasion ne signifieroit... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1818 - 704 pages
...étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime...car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé, et qu'on m'eût mis... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1820 - 662 pages
...étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime...car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en... | |
| Charles de Secondat baron de Montesquieu - 1822 - 482 pages
...étrangers , je me vis apprécié au plus juste. J'eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m'avoit fait perdre en un instant l'attention et l'estime...car j'entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurois quelquefois une heure dans une compagnie sans qu'on m'eût regardé et qu'on m'eût mis en... | |
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