Les fauteuils illustres, ou Quarante études littéraires, faisant suite aux Quatre siècles littérairesE. Ducrocq, 1860 - 398 pages |
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... profonde , Dieu repose en lui - même , et , vêtu de splendeur , Sans borne , il se remplit de sa propre grandeur . Une triple personne en une seule essence , Le suprême pouvoir , la suprême science , Et le suprême amour , unis en ...
... profonde , Dieu repose en lui - même , et , vêtu de splendeur , Sans borne , il se remplit de sa propre grandeur . Une triple personne en une seule essence , Le suprême pouvoir , la suprême science , Et le suprême amour , unis en ...
Page 79
... profonde Qui vous ôte et vous rend au monde Me cache en cet obscur tombeau , Et peut , en dépit de l'envie , Remettre en un éclat nouveau Ma sombre et languissante vie . Adorons ce Dieu souverain PELLISSON , FENELON , DELAVIGNE , M ...
... profonde Qui vous ôte et vous rend au monde Me cache en cet obscur tombeau , Et peut , en dépit de l'envie , Remettre en un éclat nouveau Ma sombre et languissante vie . Adorons ce Dieu souverain PELLISSON , FENELON , DELAVIGNE , M ...
Page 82
... profonde , nous dirions presque cette in- tuition secrète du cœur de la femme , qui , plus que l'homme , s'ignore si souvent elle - même ! A la demande de la duchesse de Beauvilliers il réunit ses observa- tions dans le livre charmant ...
... profonde , nous dirions presque cette in- tuition secrète du cœur de la femme , qui , plus que l'homme , s'ignore si souvent elle - même ! A la demande de la duchesse de Beauvilliers il réunit ses observa- tions dans le livre charmant ...
Page 104
... profonde qu'il se préparait en allant revoir des lieux si tristement chers à son souvenir . Ils partirent donc ensemble et le grand - vicaire montra tout à l'é- tranger . « Voilà , lui disait - il les larmes aux yeux , l'allée où ce ...
... profonde qu'il se préparait en allant revoir des lieux si tristement chers à son souvenir . Ils partirent donc ensemble et le grand - vicaire montra tout à l'é- tranger . « Voilà , lui disait - il les larmes aux yeux , l'allée où ce ...
Page 139
... profonde tristesse . L'étranger le contemple avec attendrissement , l'interroge , et , satisfait de ses ré- ponses , laisse échapper un éclair de joie à travers ce voile de tristesse qui couvre son front . « Viens dans mes bras , lui ...
... profonde tristesse . L'étranger le contemple avec attendrissement , l'interroge , et , satisfait de ses ré- ponses , laisse échapper un éclair de joie à travers ce voile de tristesse qui couvre son front . « Viens dans mes bras , lui ...
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Les fauteuils illustres, ou Quarante études littéraires, faisant suite aux ... Gabrielle Beuvain d'Altenheym Affichage du livre entier - 1860 |
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 368 - Tertullien * , parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps: il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes.
Page 366 - Il ira, cet ignorant dans l'art de bien dire, avec cette locution rude, avec cette phrase qui sent l'étranger, il ira en cette Grèce polie, la mère des philosophes et des orateurs ; et malgré la résistance du monde, il y établira plus d'églises que Platon n'ya gagné de disciples par cette éloquence qu'on a crue divine.
Page 321 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines, C'est le sang de...
Page 358 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite « est celle de ce fier et fougueux animal, qui partage avec « lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats.
Page 149 - Où pourrai-je trouver la paix ? Je veux, et n'accomplis jamais ; Je veux ; mais, ô misère extrême ! Je ne fais pas le bien que j'aime Et je fais le mal que je hais.
Page 4 - LOUIS, par la grâce de Dieu, roi de France et de Navarre, à tous présents et à venir, SALUT.
Page 351 - De tous les animaux qui s'élèvent dans l'air, Qui marchent sur la terre, ou nagent dans la mer, De Paris au Pérou , du Japon jusqu'à Rome , Le plus sot animal , à mon avis , c'est l'homme.
Page 322 - C'est ici la montagne où, lavant nos forfaits, II voulut expirer sous les coups de l'impie, C'est là que de sa tombe il rappela sa vie. Tu ne saurais marcher dans cet auguste lieu, Tu n'y peux faire un pas sans y trouver ton Dieu; Et tu n'y peux rester sans renier ton père, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t'éclaire.
Page 359 - ... c'est une créature qui renonce à son être pour n'exister que par la volonté d'un autre, qui sait même la prévenir; qui, par la promptitude et la précision de ses mouvements, l'exprime et l'exécute; qui sent autant qu'on le désire, et ne rend qu'autant qu'on veut; qui...
Page 278 - Vers les neuf heures du matin on entendit du côté de la mer des bruits épouvantables, comme si des torrents d'eau, mêlés à des tonnerres, eussent roulé du haut des montagnes. Tout le monde s'écria : Voilà l'ouragan ! et dans l'instant un tourbillon affreux de vent enleva la brume qui couvrait l'île d'Ambre et son canal. Le SaintGéran parut alors à découvert avec son pont chargé de monde, ses vergues et ses mâts de...