Dictionnaire Historique D'Education, ou, sans donner de preceptes, on se propose d'exercer ... les facultes de l'ame et de l'esprit ...Amable Costes Libraire, 1818 |
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... Antioche . Cette ville étoit , par sa grandeur , par son opulence , parla beauté de sa situation et de ses édifices , considérée comme la capitale de l'Orient.Divi- sée en quatre quartiers entourés de murailles , et qui formoient ...
... Antioche . Cette ville étoit , par sa grandeur , par son opulence , parla beauté de sa situation et de ses édifices , considérée comme la capitale de l'Orient.Divi- sée en quatre quartiers entourés de murailles , et qui formoient ...
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... Antioche . N'ayant pu réussir , ils se dispersent , en criant : « Tout est perdu ! tout est per- « du ! La ville est abîmée sans ressource ! Une impo- << sition tyrannique a détruit Antioche ! » Tout ce qu'il y avoit d'étrangers , de ...
... Antioche . N'ayant pu réussir , ils se dispersent , en criant : « Tout est perdu ! tout est per- « du ! La ville est abîmée sans ressource ! Une impo- << sition tyrannique a détruit Antioche ! » Tout ce qu'il y avoit d'étrangers , de ...
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... Antioche . Les autres sortent en foule , et se dispersent sur les montagnes et dans les forêts . Plusieurs sont mas- sacrés par les brigands , qui profitent de cette alarme pour infester les campagnes voisines ; et le fleuve Oronte ...
... Antioche . Les autres sortent en foule , et se dispersent sur les montagnes et dans les forêts . Plusieurs sont mas- sacrés par les brigands , qui profitent de cette alarme pour infester les campagnes voisines ; et le fleuve Oronte ...
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... Antioche ? » Pour effa- cer , s'il étoit possible , la mémoire du soulèvement , chacun s'empressoit de payer l'impôt ... Antiochę étoit une ville de plaisir et de dissolution . L'adversité , cette excellente maîtresse de la philosophie ...
... Antioche ? » Pour effa- cer , s'il étoit possible , la mémoire du soulèvement , chacun s'empressoit de payer l'impôt ... Antiochę étoit une ville de plaisir et de dissolution . L'adversité , cette excellente maîtresse de la philosophie ...
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... Antioche de parens nobles . Il avoit pris les leçons du fa- meux Libanius . Mais la beauté de son génie , le goût du vrai et du grand , la lecture assidue de ces admirables mo- dèles que l'ancienne Grèce avoit enfantés , et sur - tout l ...
... Antioche de parens nobles . Il avoit pris les leçons du fa- meux Libanius . Mais la beauté de son génie , le goût du vrai et du grand , la lecture assidue de ces admirables mo- dèles que l'ancienne Grèce avoit enfantés , et sur - tout l ...
Expressions et termes fréquents
âgé alloit ans avant J. C. Antioche Arcadius armées Athènes Athéniens avoient avoit ayant bataille capitaine cardinal célèbre César Charles Charles VII cheval chrétienne ciple citoyen comte consul courage demandoit devint devoit Dieu digne disciple disoit dit-il donna empereur enfans ennemis épouse étoient étoit évêque faisoient faisoit fameux femme fille fils du précédent François frère Gascon général gloire grace grec guerre Henri Henri III Henri IV homme in-fol Jean jeta jeune jour l'âge l'empereur l'empire l'un Lacédémone laissa livres long-temps Louis XIV Macédoine maison maître maréchal mérite ministre monarque mort n'avoit n'étoit naquit Néron officier passer patrie père Perse peuple Pharnabaze Philippe philosophe poète pouvoit premier prince prit reconnoissance règne répondit répondit-il romain Rome sage saint Scipion l'Africain seigneur seroit seul siècle siége Socrate soldats sorte Sparte succéda surnommé Syracuse Syrie talens Théodose tion trône troupes tyran venoit vertus victoire vint vouloit voulut voyant Xerxès zèle
Fréquemment cités
Page 284 - Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu. Le roi se mit à rire, et lui dit : N'est-il pas Vrai que celui qui l'a fait est bien fat? Sire, il n'ya pas moyen de lui donner un autre nom. Oh bien ! dit le roi, je suis ravi que vous m'en ayez parlé si bonnement; c'est moi qui l'ai fait. Ah ! Sire , quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende; je l'ai lu brusquement. Non, Monsieur le maréchal : les premiers...
Page 284 - Le maréchal, après avoir lu, dit au roi : Sire , Votre Majesté juge divinement bien de toutes choses ; il est vrai que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j'aie jamais lu.
Page 321 - De ce serment vous est bien souvenu quand vous avez vostre noble puissance et présence personnelle employée à appréhender telle femme qui se dit la Pucelle , au moyen de laquelle l'honneur de Dieu a esté sans mesure offensé , la foi excessivement blessée , et l'Eglise trop fort déshonorée ; car, par son occasion, ydoi.
Page 253 - L'invisible et inutile vérité n'est pas accoutumée à trouver tant de sensibilité parmi les hommes, et les objets les plus ordinaires de leurs passions se tiendraient heureux d'y en trouver autant.
Page 463 - II fait en ce beau jour le plus beau temps du monde, Pour aller à cheval sur la terre et sur l'onde.
Page 201 - ... endroits. Ce chevalier employa plusieurs mois à faire, tous les jours, cet exercice; et il ne vit pas plutôt ses dogues dressés à ce genre de combat, qu'il retourna à Rhodes. A peine fut-il...
Page 254 - La diction, outre qu'elle est pure et châtiée, a toutc la dignité que les matières demandent, et toute la grâce qu'elles peuvent souffrir. Ce n'est pas qu'il eût apporté aucun soin à cultiver les talents de l'imagination; au contraire, il s'est toujours fort attaché à les décrier : mais il en avait naturellement une fort noble et fort vive...
Page 236 - Mon Père , j'ai entendu plusieurs grands orateurs dans ma chapelle ; j'en ai été fort content : pour vous, toutes les fois que je vous ai entendu , j'ai été très-mécontent de moi-même.
Page 169 - II me semble, dit en souriant le jeune prince, que quelque chose m'a touché. » Cependant la contusion étoit assez grosse, et j'ai vu la balle sur le galon de la manche, qui étoit tout noirci comme si le feu y avoit passé.
Page 331 - La religion et la nature mettent ainsi tous les « hommes de niveau ; la vertu seule apporte entre eux « quelque différence ; et peut-être que celui qui vous « précède sera plus grand aux yeux de Dieu , que vous « ne le serez jamais aux yeux des peuples.