hitoire de france1858 |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 100
Page 5
... C'était un esprit téméraire et troublé , mais vigoureux , qui eût pu s'éclaircir si on lui eût laissé jeter sa gourme . Les poésies de Théophile ont été réimprimées récemment . - V . aussi Dictionnaire de Chauffepié , art . MERSENNE ...
... C'était un esprit téméraire et troublé , mais vigoureux , qui eût pu s'éclaircir si on lui eût laissé jeter sa gourme . Les poésies de Théophile ont été réimprimées récemment . - V . aussi Dictionnaire de Chauffepié , art . MERSENNE ...
Page 8
... c'était l'audace du génie et non du délire ; ainsi , cette idée de la conciliation des contraires au sein de l'absolu , qui menait au renversement de toute la vieille logique , et dont la philoso- phie allemande de notre temps a tenté ...
... c'était l'audace du génie et non du délire ; ainsi , cette idée de la conciliation des contraires au sein de l'absolu , qui menait au renversement de toute la vieille logique , et dont la philoso- phie allemande de notre temps a tenté ...
Page 18
... C'était chez lui une inconséquence ; car Bacon , dans cette vue trouble des sciences morales et des sciences abstraites que nous indiquions tout à l'heure , avait recommandé de prendre les phénomènes extérieurs , non les idées , pour ...
... C'était chez lui une inconséquence ; car Bacon , dans cette vue trouble des sciences morales et des sciences abstraites que nous indiquions tout à l'heure , avait recommandé de prendre les phénomènes extérieurs , non les idées , pour ...
Page 77
... c'était se condamner à une perpétuelle équivoque et ôter toute mesure appréciable au changement . Quelles sont les concessions légitimes à faire à la nature , aux intérêts , aux instincts , aux ser- timents de la terre , et quelles sont ...
... c'était se condamner à une perpétuelle équivoque et ôter toute mesure appréciable au changement . Quelles sont les concessions légitimes à faire à la nature , aux intérêts , aux instincts , aux ser- timents de la terre , et quelles sont ...
Page 80
... c'était rompre avec la tradition et abandonner sans retour aux protestants le formidable nom de saint Augustin ; condamner les jésuites , c'était licencier l'élite de son armée en présence de l'ennemi . Rome ne se prononça pas ; la ...
... c'était rompre avec la tradition et abandonner sans retour aux protestants le formidable nom de saint Augustin ; condamner les jésuites , c'était licencier l'élite de son armée en présence de l'ennemi . Rome ne se prononça pas ; la ...
Expressions et termes fréquents
3º sér anglais Anne d'Autriche août armée arrêt avaient Bacon Beaufort Bordeaux bourgeois c'était campagne cardinal Catalogne catholiques cavalerie chambre Saint-Louis chose coadjuteur comte conseil corps cour Cromwell déclaration députés Descartes devant Dieu don Luis duc d'Orléans Dunkerque Enghien ennemis Espagnols eût Flandre force française Freybourg Fronde frondeurs garnison Gaston général gens gouvernement gouverneur Gramont guerre Guyenne Hollande Jansénius jésuites Journal du Parlement jours juillet l'archiduc l'armée l'empereur l'ennemi l'Espagne l'esprit l'état l'homme l'Hôtel laisser Lenet Longueville Lorraine Louis XIV madame de Motteville maréchal maréchal du Plessis Mazarin Mém ment Michaud mille hommes ministre monde Montglat morale moyen âge Münster n'avait n'était négociations paix Pascal passé passion pensée peuple philosophie politique premier président prince de Condé principe protestants Provinces-Unies raison reine reste Retz Rhin Richelieu Rocroi royale s'était saint science secours sentiment septembre seulement siècle siége soldats sorte Suède Suédois tion traité de Westphalie troupes Turenne victoire voulait
Fréquemment cités
Page 114 - Ce chien est à moi, disaient ces pauvres enfants; c'est là ma place au soleil : voilà le commencement et l'image de l'usurpation de toute la terre.
Page 39 - ... par laquelle, connaissant la force et les actions du feu , de l'eau , de l'air, des astres , des cieux , et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres , et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 42 - ... trouvé des cieux, des astres, une terre, et même sur la terre de l'eau, de l'air, du feu, des minéraux, et quelques autres telles choses, qui sont les plus communes de toutes, et les plus simples, et par conséquent les plus aisées à connaître.
Page 94 - Quand j'ai commencé l'étude de l'homme, j'ai vu que ces sciences abstraites ne lui sont pas propres, et que je m'égarais plus de ma condition en y pénétrant que les autres en les ignorant; j'ai pardonné aux autres d'y peu savoir.
Page 99 - L'homme est né pour le plaisir; il le sent; il n'en faut point d'autre preuve. Il suit donc sa raison en se donnant au plaisir.
Page 101 - Feu. Dieu d'Abraham, Dieu d'Isaac, Dieu de Jacob. non des philosophes et des savants.
Page 42 - Premièrement, j'ai tâché de trouver en général les principes ou premières causes de tout ce qui est ou qui peut être dans le monde, sans rien considérer pour cet effet que Dieu seul, qui l'a créé, ni les tirer d'ailleurs que de certaines semences de vérités qui sont naturellement en nos âmes.
Page 115 - Nulle idée n'en approche, nous avons beau enfler nos conceptions au-delà des espaces imaginables, nous n'enfantons que des atomes au prix de la réalité des choses. C'est une sphère infinie dont le centre est partout, la circonférence nulle part.
Page 404 - Voyons que les grands ne sont grands que parce que nous les portons sur nos épaules. Nous n'avons qu'à les secouer pour en joncher la terre , et pour faire un coup de partie duquel il soit parlé à jamais.
Page 92 - ... le moyen de faire des figures justes, et de trouver les proportions qu'elles avaient entre elles, et en même temps lui défendit d'en parler davantage et d'y penser jamais. Mais cet esprit qui ne...