Mezzofanti's System of Learning Languages Applied to the Study of French: Second French Reader, Illustrated with Historical, Geographical, Philosophical and Philological NoticesD. Appleton, 1851 - 478 pages |
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... coucher du soleil , le vent alizé du sud - est se ralentit * comme il arrive d'ordinaire vers ce temps . Le nuages qu'il voiture dans le ciel à des dis- tances égales comme son souffle , devinrent plus rares , et ceux de la partie de l ...
... coucher du soleil , le vent alizé du sud - est se ralentit * comme il arrive d'ordinaire vers ce temps . Le nuages qu'il voiture dans le ciel à des dis- tances égales comme son souffle , devinrent plus rares , et ceux de la partie de l ...
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... coucher à plat ventre , se cramponner à un anneau de fer , à une corde , à une membrure du bâtiment . Une heure après les premières rafales de l'ouragan , le navire offrait un spectacle de deuil et de désolation immense . Les mâts ...
... coucher à plat ventre , se cramponner à un anneau de fer , à une corde , à une membrure du bâtiment . Une heure après les premières rafales de l'ouragan , le navire offrait un spectacle de deuil et de désolation immense . Les mâts ...
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... coucher à jeun ; je restai donc la bouche ouverte sur le pronom indéfini . - Des ... des ... Comment diable appelez - vous donc en alle- mand des ... ? - Des , répéta machinalement l'hôtesse . - Eh ! pardieu ! oui , des ... En ce moment ...
... coucher à jeun ; je restai donc la bouche ouverte sur le pronom indéfini . - Des ... des ... Comment diable appelez - vous donc en alle- mand des ... ? - Des , répéta machinalement l'hôtesse . - Eh ! pardieu ! oui , des ... En ce moment ...
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... coucher que là où elle permettait de s'étendre , tournant toujours comme une bête fauve à l'entour de son piljer , creusant le pavé avec sa marche forcément régulière , rongé par cette pensée que sa captivité ne servait peut - être en ...
... coucher que là où elle permettait de s'étendre , tournant toujours comme une bête fauve à l'entour de son piljer , creusant le pavé avec sa marche forcément régulière , rongé par cette pensée que sa captivité ne servait peut - être en ...
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... coucher à Florence et non à Empoli . J'irai coucher & Florence . Où est le papier , Excellence ? Va - t - en au diable avec ton papier . * En avant . + Salaire payé à un postillon pour chaque poste . Votre Excellence n'a pas de papier ...
... coucher à Florence et non à Empoli . J'irai coucher & Florence . Où est le papier , Excellence ? Va - t - en au diable avec ton papier . * En avant . + Salaire payé à un postillon pour chaque poste . Votre Excellence n'a pas de papier ...
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Expressions et termes fréquents
Albanais ALEXANDRE DUMAS Arabes Armatolis arrivé assez avaient beau Béchara bientôt Bonaparte bord bras bruit c'était capitaine caravane cent cheval chose chute du Rhin ciel cocher côté coucher coup d'Ali désert devant Dieu donner dromadaire Égypte enfants enfin femme fleuve Florence flots force French Grèce Guillaume habitants heures hommes j'ai j'avais j'étais Jérusalem jeter Jose Maria jour Kaire Kardiki Khamco Klephtes Kremlin l'eau laisser language leva lieu Mahomet main maison marche matador mâts Mecque ment milieu mille monde mont montagnes mort n'avait Napoléon nuit pacha palais Palerme passer pendant pensée peuple picador pieds place porte presque prince PROSPER MÉRIMÉE pyramide qu'un regard reste rien Romains Rome roule route Russie s'était sais satrape semble sent seul soir soldats soleil sort taureau Tebelen terre tête tombe tombeau Torre del Greco trouve Turcs vaisseau vampire Vely venait village vizir voiture voix voleurs voyage voyageurs voyant yeux
Fréquemment cités
Page 282 - Mon beau voyage encore est si loin de sa fin ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé, Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine.
Page 201 - ... promit à ces gens pour la dépense et pour nos guides le lendemain ce qu'ils voulurent. Enfin, il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit ; il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin. Ah! jeunesse! jeunesse! que votre âge est à plaindre!
Page 282 - S'il est des jours amers, il en est de si doux ! Hélas ! quel miel jamais n'a laissé de dégoûts? Quelle mer n'a point de tempête ? « L'illusion féconde habite dans mon sein. D'une prison sur moi les murs pèsent en vain, J'ai les ailes de l'espérance.
Page 201 - Et je n'entendis plus rien. Que vous dirai-je ? Je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre; à me voir, vous n'eussiez su si j'étais mort ou vivant. Dieu! quand j'y pense encore! . . . Nous deux, presque sans armes, contre eux douze ou quinze qui en avaient tant ! et mon camarade mort de sommeil et de fatigue ! L'appeler, faire du bruit, je n'osais ; m'échapper tout seul, je ne pouvais ; la fenêtre n'était guère haute, mais, en bas, deux gros dogues hurlant 'comme des...
Page 201 - Mon camarade y grimpa seul, et se coucha tout endormi, la tète sur la précieuse valise. Moi, déterminé à veiller, je fis bon feu, et m'assis auprès. La nuit s'était déjà passée presque entière assez tranquillement, et je commençais à me rassurer, quand sur l'heure où il me semblait que le jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement...
Page 282 - J'ai passé les premiers à peine. Au banquet de la vie à peine commencé Un instant seulement mes lèvres ont pressé La coupe en mes mains encor pleine. Je ne suis qu'au printemps, je veux voir la moisson, Et, comme le soleil, de saison en saison, Je veux achever mon année. Brillante sur ma tige, et l'honneur du jardin, Je n'ai vu luire encor que les feux du matin ; Je veux achever ma journée.
Page 283 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le joug de mes jours languissants, Aux douces lois des vers je pliais les accents De sa bouche aimable et naïve.