Logique de KantLadrange, 1862 - 248 pages |
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Expressions et termes fréquents
abstraction affirmatifs analytique apodictique Aristote assertorique c'est-à-dire caractère certitude claire conceptus conclusion concreto condition conscience consé conséquent considérée consiste contenu contient contraire contraposition conversion convient ou répugne croyance détermination différence division logique doit empirique espèce esprit essen essentielle exem exemple faculté fonctions logiques gements intel intuitions jugements catégoriques jugements disjonctifs Kant l'âme humaine l'entendement l'idée l'usage lucidité majeure manière mathématiques matière médiat ments rationnels méthode mineure misologie modus ponens modus tollens moyen terme naissance nécessaire négative Note du trad notion supérieure notions données notions formées notions inférieures objet OBSERVATION organum particulière pensée perfection logique Petitio principii peuvent philosophie possible pratique prédicat préjugés première figure prémisses principe priori problématique proposition quatre figures raisonnement ration raisonnement rationnel catégorique raisonnements catégoriques raisonnements du jugement raisonnements immédiats rapport règle générale représentation s'appelle sance science scolastique seulement signe d'une chose spéculative subjective subsomption suivant sujet syllogisme syllogistique synthétiques tautologique théorique tion tique universelle vérité
Fréquemment cités
Page 184 - ... toutes les autres choses du même genre ; tandis que l'analogie conclut de la ressemblance partielle de deux choses de même genre, à leur ressemblance totale... L'induction étend les données empiriques du particulier au général, par rapport à plusieurs objets ; l'analogie, au contraire, étend les qualités données d'une chose à un plus grand nombre de qualités de la même chose...
Page 18 - Le domaine de la philosophie en ce sens cosmopolite " <Weltbiirgerlichen> se ramène aux questions suivantes : 1) Que puis-je savoir ? 2) Que dois-je faire ? 3) Que m'est-il permis d'espérer...
Page 183 - ... ou de plusieurs choses d'une espèce à toutes les choses de cette espèce, ou de plusieurs déterminations et propriétés en quoi s'accordent des choses d'espèce identique, aux autres déterminations et propriétés en tant qu'elles appartiennent au même principe. — la première espèce de raisonnement s'appelle raisonnement par induction; la seconde, raisonnement par analogie.
Page 47 - Kant, en déclinant, bien entendu, toute solidarité avec la véhémence un peu emportée de son langage : « C'est une « objection aussi insensée qu'injuste que celle qu'adres« sent les sots aux grands hommes qui s'appliquent aux « sciences avec zèle, en leur disant : A quoi bon ? Qui« conque aime la science et la vérité pour elles-mêmes, « ne doit jamais s'adresser une semblable question. Une « science ne donnerait-elle des éclaircissements que sur « un seul objet, déjà elle serait...
Page 63 - Le critérium formel de la vérité n'est donc autn chose que le caractère logique général de l'accord de la connaissance avec elle-même, ou, ce qui est la même chose, avec les lois générales de l'entendement et de la raison. Ces critères...
Page 86 - ... lequel on se représente quelque chose comme vrai, le rapport de ce jugement à une intelligence donnée, et par conséquent à un sujet particulier, constitue la croyance (Fûrwahrhalten) subjective.
Page 93 - ... de supposer. Cette sorte d'incrédulité a toujours son principe dans un défaut d'intérêt moral. Plus le sentiment moral d'un homme est grand, plus ferme et plus vive doit être aussi sa foi en tout ce qu'il se sent forcé d'admettre et de supposer par intérêt moral, sous un point de vue pratiquement nécessaire. 3° Savoir. — La croyance qui dérive d'un principe de connaissance valable tant objectivement que subjectivement, ou la certitude, est empirique ou rationnelle, suivant qu'elle...