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PORTA (Joseph) Pourquoi fur-
nommé Salviati, 187. Sa naiffan-
ce, ibid. Ses progrès dans la pein-
ture, ibid. Sa maniére eft goûtée
à Venife, où il trouve de l'em-
ploi, ibid. & fuiv. Il s'y fixe, &
y marie, 188. Il est mandé à

Rome par le Pape, ibid. Travaux

dont le Sénat le charge à fon re-

tour, ibid. Il s'attache aux fcien-

ces, furtout aux Mathématiques,

ibid. Eftime que les fçavans font

de fes lumiéres, ibid. Son goût

pour la chymie, ibid. Secrets qu'il

en tira, ibid. Son génie, & fa

maniére d'opérer, ibid. Sa mort,

ibid. Caractére de fes deffeins

ibid. & fuiv. Ses ouvrages à Ve-

nife, 189. A Murano, ibid. Au

palais Royal, ibid. Ses graveurs,
ibid.

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l'emploie à Plaifance en concur- ge qu'il en retire, ibid. Il affecte rence avec Louis Carrache, ibid. de s'éloigner de la maniére de fon Défaut de sa vivacité, & de la fou- frere Camille, bid. En quoi il le gue de fon génie, ibid. Ses ta- furpaffe, ibid. Il devient chef d'une lens, ibid. Preuves de fa capacité, Académie fameufe, ibid. Ses maibid. Caractére de fa perfonne, niéres le font aimer & eftimer`, ibid. Sa mort, ibid. Ses éléves, ibid. Ses travaux à Genes, & pour 227. Goût de fes deffeins, ibid. le Roy d'Efpagne, ibid. Sa mort, Ses ouvrages à Bologne, ibid. A 231. Ses éléves, ibid. Caractére Regio, ibid. A Plaifance, ibid. A de fes deffeins, ibid. Ses ouvrages Brefcia, ibid. A Genes, ibid. A à Milan, ibid. & fuiv. A Genes, Milan, ibid. & fuiv. A Modéne, 232. A Parme, ibid. 228. A Duffeldorf, ibid. Ses graveurs, ibid.

R.

ANUCCIO, Duc de Parme.

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d'Ercole,

& de Jules Céfar, 225. Il est éléve de fon pere, ibid. C'est le moindre des trois freres, 231. Il s'applique d'abord à la mufique, qu'il quitte pour la peinture, ibid. En quoi il fe diftingua, ibid.

PROCACCINI (Ercole ) pere & maître des trois freres de ce nom,

225.

PROCACCINI (Ercole juniore) fils de Carlo Antonio, 225. & 231. Il est éléve de fon oncle Jules Céfar, 231. Il foutient l'Académie, ibid. Ses travaux pour Turin lui valent une chaîne d'or, ibid. Sa mort, ibid.

PROCACCINI (Jules Céfar) fils d'Ercole, & frere de Camille, 229 Sa naiffance, ibid. Il eft d'abord éléve de fon pere, & s'applique à la fculpture, ibid. Ce qui fa lui fait quitter, ibid. Il s'attache aux Carraches, & fait fous eux de grands progrès, ibid. Comment ilfe brouille avec eux, ibid. & fuiv. Il paffe à Milan avec toute fa famille, 230. Protection qu'il y trouve, & réputation qu'il s'y fait, ibid. Ses études à Rome, à Venife & à Parme, ibid. Avanta

attire à fon fervice le Schidone, & le nomme fon premier peintre ibid. Emploi qu'il lui donne, 256.

RAPHAEL d'Urbin, chef des peintres Romains, 3. Sa naiffance, & fa famille, ibid. & fuiv. Il devient difciple de Pietre Pérugin, 4. Il paffe à Sienne & à Péroufe, ibid. Tableaux qu'il y fait, qui paffent pour être du Pérugin, ibid. Il eft employé à Sienne par le Pinturicchio, ibid. Il fe rend à Florence, & s'y perfectionne, ibid. Amitié qu'il y lie avec Frere Barthelemi de faint Marc, & avantage qu'il en retire, ibid. Ses travaux à Pérouse & à Florence, ibid. Il va à Rome, ibid. Le Pape Jules. I I. le prend en amitié, ibid. Ses premiers travaux dans cette ville, isid. Changement qu'opére dans lui la vue des peintures de Michel-Ange, 5. Il eft protégé par le Pape Léon X. ibid. Portrait qu'il a fait de ce Pontife, ibid. Combien il étoit jaloux de fa gloire, ibid. Sa réputation, ibid. Ses liaisons avec Alberdurer, ibid. Il fait graver quelques-uns de fes ouvrages, ibid. II eft chargé des travaux du Vatican;

Ouvrages

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ouvrages qu'il y fit, ibid. & fuiv.

Ses ouvrages de fculpture & d'ar-

chitecture, 6. On lui donne la di-

rection de l'Eglife de faint Pierre,

ibid. Le Pape le fait un de fes Ca-

mériers, ibid. Son application,

ibid. A qui on doit attribuer fes

anachronilmes, ibid. Goût de pein-

ture auquel il s'attache, ibid. Ses

études, ibid. & fuiv. Son génie &

fon caractére, 7. Ce qui lui a

manqué pour être le plus grand

peintre de l'univers, ibid. Son chef-

d'oeuvre, ibid. Jugement qu'en por-

ta Annibal Carrache, ibid. Son por-

trait, 8. I refufe l'alliance d'un

Cardinal, & fe flatte de le deve-

nir, ibid. Caufe de fa mort, ibid.

Ses difciples, ibid. Son procédé

obligeant avec les autres peintres,

ibid. Ses héritiers, ibid. Caractére

de ses desseins, ibid. & fuiv. Ses

ouvrages à Rome, 9. A Floren-

ce, ibid. A Naples, 10. A Pa-

lerme, ibid. A Bologne, ibid. A

Foligno, ibid. A Plaifance, ibid. A

Milan, ibid. A Parme, ibid. A

Modéne, ibid. En Espagne, ibid. A

Duffeldorf, ibid. En Angleterre,

ibid. & fuiv. Au cabinet du Roy,

11. Au palais Royal, ibid. Ses

graveurs, ibid. Avantage qu'il tira

des difputes de Léonard de Vinci

avec Michel-Ange, 73. Fra Sébaf-

tien del Piombo fe déclare contre

lui, en faveur de ce dernier, 82.

Ce qu'il dit au fujet de la concur-

rence, qu'il affectoit avec lui, ibid.

Comment il a évité les racourcis,

206.

RAYMONDI (Marc-Antoine)

difciple de Raphaël, 5. Il grave
quelques ouvrages de fon maître,
ilid. Il eft auteur des eftampes,
dites les figures de l'Aretin, 14.
REGILLO ( Jean - Antoine )

Sa naiffance, 48. Son attrait pour

la peinture, ibid. Il devient éléve

de Pietre de Cortone, ibid. Il eft

protégé par le Cardinal Barberin,

ibid. & fuiv. On l'emploie au Va-

tican & dans Saint Pierre, 49. Son

goût de peinture, ibid. Il fe ma-

rie, ibid. Il vient en France, & eft

présenté au Roy & à la Reine,

ibid. Ses travaux au palais Maza-

rin, ibid. Avanture qui lui arriva

avec les Dames de la Cour, tan-

dis qu'il y travailloit, 50. Il re-

paffe en Italie, ibid. Il est volé en

fortant de Florence, ibid. Ses tra-

vaux dans cette ville & à Rome,

ibid. Il revient en France, & eft

employé au Louvre, ibid. Le Roy

le fait Chevalier de faint Michel,

ibid. Son retour en Italie, & fa

mort, 51. Caractére de fes def-

feins, ibid. Ses ouvrages en Fran-
ce, ibid. A Rome, ibid. A Lon-
dres, 52. Ses graveurs,
ibid.

ROMANINI (Jérôme) peintre de
Breffe, 176. Il enfeigne les pre-
miers principes de son art à Jérô-
me Mutian, ibid.

ROSA (Jacobo ) éléve d'Hyacin-

the Brandi, 57. Il épouse une des

filles de fon maître malgré lui,

ibid.

ROSA (Salvator) Il fe diftingue

également dans les lettres & dans

la peinture, 350. Sa naissance,

ibid. Son premier maître, ibid. Il

fe met fous la conduite de l'Efpa-

gnolet, qui le mene à Rome, ibid.

Ouvrages qu'il fait pour un Car-

dinal, qui le prend à fon fervice,

ibid. & fuiv. Il va à Florence, &

y partage fon temps entre la pein-

ture & la poéfie, 351. On y efti-

me fa converfation, & fes bons

mots, ibid. Ses repas ingénieux,

ibid. Ses Comédies ibid. Qù il

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Chapelle de Paris, ibid. Son ha-
bileté dans l'architecture, ibid.
Ses travaux à Fontainebleau, ibid.
Son génie, & fes talens, ibid.
Sa jaloufie contre Benvenuto Celli-
ni, fculpteur Florentin, ibid. &
fuiv. Tour qu'il lui joue de concert
avec la Ducheffe d'Etampes, 98.
Il le fait congédier, ibid. Il s'em-
poifonne, pourquoi, ibid. Ses élé-
ves, ibid. Goût de fes deffeins.
ibid. Ses ouvrages à Rome, ibid.
A Florence, ibid. A Péroufe, ibid.
▲ Arezzo, ibid. & fuiv. A Vol-
terre, 99. A Fontainebleau, ibid.
Au château d'Ecouen, ibid. Au
palais Royal, ibid. Ses graveurs,
ibid. C'eft lui, avec le Primatice,
qui a le premier apporté en Fran-
ce la belle idée de la peinture,

213.

S.

CCHETTI ( le Marquis)
Il protége Pietre de Cortone,

125.

SACCHI (André) Peu de jufti-
ce que lui ont rendue les Ita-
liens, 33. Sa naiffance, & fes pre-
miéres études, ikid. Ses progrès
fous l'Albane, ibid. & fuiv. Sa
réputation, & fes travaux, 34. Son
génie & fon goût, ibid. Son appli-
cation, ibid. Haine qu'il s'attira de
la part de fes confréres, ibid. Sa
jaloufie au fujet de Pietre de Cor-
tone & du Bernin, ibid. Son avan-
ture avec ce dernier, ibid, & fuiv.
Il va à Venife, & parcourt la Lom-
bardie, 35. Jugement qu'il porta
à fon retour à Rome d'un tableau
de Raphaël, ibid. Sa maniére d'o-
pérer, zeid. Sa mort, ibid. Ses dif-
ciples, ibid. Goût de fes deffeins,
ibid. Ses ouvrages à Rome, 36.
A Péroule, ibid. Au palais Royal,

ibid. Ses graveurs, ibid.

SACCHI (Benoît ) pere & maître
d'André, 33.

SALIMBENI (Archangelo) pein-
tre Siennois, 121. Il enfeigne les
principes de la peinture à Vannius,
ibid.

SALVIATI (le Cardinal ) Il ac-
corde fa protection à François Sal-
viati, & l'emploie, 112.& fuiv.

SALVIATI (François) Pourquoi
ainfi nommé, 112. Sa naiffance,
ibid. Il eft mis d'abord chez un
orfévre, ibid. Il s'applique à la
peinture, ibid. Ses premiers maî-
tres, ibid. Son application, & ses
progrès, 113. Ses premiers ouvra-
ges, ibid. Ses autres travaux à Flo-
rence & à Venise, ibid. Goût de
fes peintures, ibid. Il est employé

par
le Grand Duc, ibid. Sa médi-
fance, & fon mépris pour les au-
tres peintres, 114. Il fuit en Fran-
ce le Cardinal de Lorraine, ibid.
Son humeur médifante lui fait tort
à la Cour, ibid. Il repaffe en Ita-
lie, ibid. Il établit une école à Ro-
me, où il eft employé, ibid. Son
mauvais procédé, ibid. Cause de
fa mort, ibid. Ses éléves, ibid.
Caractére de fes deffeins, ibid. &
fuiv. Ses ouvrages à Rome, 115.
A Venile, ibid. A Paris, ibid. A
Lyon, ibid. Au cabinet du Roy
ibid. Ses graveurs, ibid.

SANTI (Jean de ) pere de Ra-
phaël, 4.

SARTO (André del) Pourquoi
ainfi nommé, 88. Sa naiffance
ibid. Son premier maître, ibid. Il
entre dans l'école de Pierre Cofi-
me, i'id. Progrès qu'il y fait, ibid.
Il quitte ce maître, & travaille avec
François Bigio, ibid. & fuiv. Sa
timidité, 89. Rang que fes ouvra-
ges à Florence lui méritent parmi
I i i ij

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