Principes supérieurs de la morale adressés a tous les hommes, Volume 11859 |
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... juste , car je trouve en moi les notions absolues de bonté et de justice que mon imperfection ne peut réaliser et qui n'ont leur idéal suprême qu'en un être parfait . Je crois enfin à l'immortalité de ma personne ; parce que mon cœur ...
... juste , car je trouve en moi les notions absolues de bonté et de justice que mon imperfection ne peut réaliser et qui n'ont leur idéal suprême qu'en un être parfait . Je crois enfin à l'immortalité de ma personne ; parce que mon cœur ...
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... juste - milieu , et les derniers ne font que se tromper eux - mêmes sur la portée de leurs prin- cipes . Le côté gauche , représenté par Strauss , et qui admet une doctrine franchement panthéiste , est seul conséquent . Ce n'est qu'en ...
... juste - milieu , et les derniers ne font que se tromper eux - mêmes sur la portée de leurs prin- cipes . Le côté gauche , représenté par Strauss , et qui admet une doctrine franchement panthéiste , est seul conséquent . Ce n'est qu'en ...
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... juste , mais ce que nous vous con- testóns , c'est le droit d'appliquer à Dieu cette notion de la production humaine . C'est faire ainsi de l'an- : ( 1 ) Introduction à l'histoire de la philosophie , Leçon 3me . thropomorphisme . Quelle ...
... juste , mais ce que nous vous con- testóns , c'est le droit d'appliquer à Dieu cette notion de la production humaine . C'est faire ainsi de l'an- : ( 1 ) Introduction à l'histoire de la philosophie , Leçon 3me . thropomorphisme . Quelle ...
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... juste et de l'injuste , du certain et de l'incertain , de l'égal et de l'inégal , suppose , comme l'a si bien vu Platon , un idéal toujours présent à l'âme , et d'après lequel il juge toutes choses . Le même philosophe a remarqué la ...
... juste et de l'injuste , du certain et de l'incertain , de l'égal et de l'inégal , suppose , comme l'a si bien vu Platon , un idéal toujours présent à l'âme , et d'après lequel il juge toutes choses . Le même philosophe a remarqué la ...
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... juste la res- ponsabilité de cette appréciation à Fichte le fils . Nous allons seulement la résumer en quelques li- gnes . Fichte aurait dans ses écrits enseigné les trois thèses suivantes : 1 ° Il n'y a qu'une pensée absolue ou bien ...
... juste la res- ponsabilité de cette appréciation à Fichte le fils . Nous allons seulement la résumer en quelques li- gnes . Fichte aurait dans ses écrits enseigné les trois thèses suivantes : 1 ° Il n'y a qu'une pensée absolue ou bien ...
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Principes supérieurs de la morale adressés à tous les hommes André Pezzani Affichage du livre entier - 1859 |
Expressions et termes fréquents
absolu acte actions aimer âme arrive aurait avons beau besoin bonheur c'est-à-dire cause chose cœur conduite conscience conséquent considéré contraire corps création créatures créer d'autres d'être destinées déterminer devant développement devoir Dieu dire divine doctrine doit donne doute effet également esprit éternelle existe facultés fond force forme général hommes humaine idées infini jour jugement juste justice Kant l'âme l'amour l'esprit l'être l'existence l'homme l'humanité l'idée l'infini l'intelligence l'ordre l'univers liberté libre livre loi morale lois lui-même manière ment méthode monde morale mort motif n'en nature naturelle nécessaire nécessité objet parler passer passions peine pensée personne personnel philosophie place plaisir Platon porte pourrait pratique premier présent propre puisse pure qu'à qu'une question raison rapport réalité réel règle reste rien s'il science sens sentiment serait seul Socrate sommes sorte substance suivant sujet système terre théorie tion traité trouve universelle vérité vertu veut voilà volonté vrai
Fréquemment cités
Page 313 - ... compte de la douleur : en sorte que si la faute qu'on a faite mérite des coups de fouet, on se présente pour les recevoir; si les fers, on...
Page 82 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 324 - J'ai, d'ailleurs, cela de commun avec les sages-femmes, que par moi-même je n'enfante rien en fait de sagesse, et quant au reproche que m'ont fait bien des gens, que je suis toujours disposé à interroger les autres, et que jamais - moi-même je ne réponds à rien, parce que je ne sais jamais...
Page 23 - En quoi il n'est pas vraisemblable que tous se trompent : mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d'avec le faux , qui est proprement ce qu'on nomme le bon sens ou la raison , est naturellement égale en tous les hommes...
Page 41 - A la vérité, ma raison est en moi : car il faut que je rentre sans cesse en moi-même pour la trouver. Mais la raison supérieure qui me corrige dans le besoin, et que je consulte, n'est point à moi, et elle ne fait point partie de moi-même.
Page 180 - L'ancien paganisme enfanta des dieux abominables, qu'on eût punis ici-bas comme des scélérats, et qui n'offraient pour tableau du bonheur suprême que des forfaits à commettre et des passions à contenter. Mais le vice armé d'une autorité sacrée descendait en vain du séjour éternel, l'instinct moral le repoussait du cœur des humains. En célébrant les débauches de Jupiter, on admirait la continence de Xénocrate ; la chaste Lucrèce adorait l'impudique Vénus.
Page 164 - ... autre société, à la loi de l'intérêt personnel. Quel autre motif pourrait déterminer un homme à des actions généreuses? Il lui est aussi impossible d'aimer le bien pour le bien, que d'aimer le mal pour le mal.
Page 291 - ... ajoute ne fait que limiter ce qui était dans sa première simplicité sans restriction. Qui dit l'Être sans restriction emporte l'infini ; et il est inutile de dire l'infini , quand on n'a ajouté aucune différence au genre universel, pour le restreindre à une espèce, ou à un genre inférieur. Dieu est donc l'Être; et j'entends enfin cette grande parole de Moïse : Celui qui est m'a envoyé vers vous.
Page 42 - Si je cherche maintenant où et en quel sujet elles subsistent éternelles et immuables comme elles sont, je suis obligé d'avouer un être où la vérité est éternellement subsistante et où elle est toujours entendue ; et cet être doit être la vérité même, et doit être toute vérité ; et c'est de lui que la vérité dérive dans tout ce qui est et ce qui s'entend hors de lui.
Page 182 - S'il parle de l'intérêt réfléchi, calculé, par lequel l'homme se compare aux autres et se préfère, il est faux que les hommes même les plus corrompus se conduisent toujours par ce principe. Il est faux que les sentiments moraux n'influent pas sur leurs jugements, sur leurs actions, sur leurs affections.