Oeuvres choisies de DescartesGarnier frères, 1865 - 438 pages |
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... pensées par diverses voies , et ne considé- rons pas les mêmes choses . Car ce n'est pas assez d'avoir l'es- prit ... pensée aussi prompte , ou l'imagination aussi nette et distincte , ou la mémoire aussi ample ou aussi présente , que ...
... pensées par diverses voies , et ne considé- rons pas les mêmes choses . Car ce n'est pas assez d'avoir l'es- prit ... pensée aussi prompte , ou l'imagination aussi nette et distincte , ou la mémoire aussi ample ou aussi présente , que ...
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... pensée par laquelle on croit une chose étant différente de celle par laquelle on connoît qu'on la croit , elles sont ... pensé commettre une grande faute contre le bon sens , si , pour ce que j'approuvois alors quelque chose , je me ...
... pensée par laquelle on croit une chose étant différente de celle par laquelle on connoît qu'on la croit , elles sont ... pensé commettre une grande faute contre le bon sens , si , pour ce que j'approuvois alors quelque chose , je me ...
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... pensée , j'entrepris seule- ment d'y exposer bien amplement ce que je concevois de la lu- mière , puis , à son occasion , d'y ajouter quelque chose du soleil et des étoiles fixes , à cause qu'elle en procède presque toute : des cieux ...
... pensée , j'entrepris seule- ment d'y exposer bien amplement ce que je concevois de la lu- mière , puis , à son occasion , d'y ajouter quelque chose du soleil et des étoiles fixes , à cause qu'elle en procède presque toute : des cieux ...
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... penser , y contribue , et qui sont toutes les mêmes en quoi on peut dire que les animaux sans raison nous ressemblent , sans que j'y en pusse pour cela trouver aucune de celles qui , étant dépendantes de la pensée , sont les seules qui ...
... penser , y contribue , et qui sont toutes les mêmes en quoi on peut dire que les animaux sans raison nous ressemblent , sans que j'y en pusse pour cela trouver aucune de celles qui , étant dépendantes de la pensée , sont les seules qui ...
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... pensée ; si bien que mon sens était que je ne connoissois rien que je susse appartenir à mon essence , sinon que j'étois une chose qui pense , ou une chose qui a en soi la faculté de penser . Or je ferai voir ci - après comment , de ce ...
... pensée ; si bien que mon sens était que je ne connoissois rien que je susse appartenir à mon essence , sinon que j'étois une chose qui pense , ou une chose qui a en soi la faculté de penser . Or je ferai voir ci - après comment , de ce ...
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Expressions et termes fréquents
actions âme angles d'incidence artères assez avoit avons besoin c'est-à-dire cause cerveau chaleur chose qui pense clairement et distinctement cœur concevoir conçois connoissance connoître conséquent considérer contraire corporelle corps coutume d'autres démontrer dépend dépendent Descartes dire diverses doute effet esprit étoient étoit excite exemple existe façon faculté figure géométrie glande grandeur haine hommes humain idées illas imagination infinité j'ai j'avois jamais joie jointe jugement l'âme l'esprit l'étendue l'existence de Dieu l'idée l'imagination l'irrésolution libre arbitre lorsqu'il lorsqu'on mathématiques Méditations Méditations métaphysiques ment méthode moi-même mouvement moyen muscles nature néanmoins nécessaire nerfs nerfs optiques objets opinions paroît passions perfection persuader peuvent philosophie Poliandre poumon pourroit pouvoir pouvons première principe puisse qu'une quelquefois question raison règle remarquer RENÉ DESCARTES sang sauroit savoir sciences semblables semble sens sentir seroit seulement simples sion soient sorte souvent substance sujet syllogisme tence tion toutefois triangle tristesse trouve veines vérité vois volonté vrai
Fréquemment cités
Page 25 - ... je connus de là que j'étais une substance dont toute l'essence ou la nature n'est que de penser, et qui pour être n'a besoin d'aucun lieu ni ne dépend d'aucune chose matérielle, en sorte que ce moi, c'est-à-dire l'âme, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement distincte du corps, et même qu'elle est plus aisée à connaître que lui, et qu'encore qu'il ne fût point, elle ne laisserait pas d'être tout ce qu'elle est.
Page 14 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu, comme par degrés...
Page 7 - Car il me semblait que je pourrais rencontrer beaucoup plus de vérité dans les raisonnements que chacun fait touchant les affaires qui lui importent, et dont l'événement le doit punir bientôt après s'il a mal jugé, que dans ceux que fait un homme de lettres dans son cabinet, touchant des spéculations qui ne produisent aucun effet...
Page 6 - Je me plaisais surtout aux mathématiques à cause de la certitude et de l'évidence de leurs raisons, mais je ne remarquais point encore leur vrai usage, et, pensant qu'elles ne servaient qu'aux arts mécaniques, je m'étonnais de ce . que, leurs fondements étant si fermes et si solides, on ' n'avait rien bâti dessus de plus relevé.
Page 28 - ... revenant à examiner l'idée que j'avais d'un Être parfait, je trouvais que l'existence y était comprise en même façon qu'il est compris en celle d'un triangle que ses trois angles sont égaux à deux droits, ou, en celle d'une sphère, que toutes ses parties sont également distantes de son centre...
Page 4 - ... la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés , qui en ont été les auteurs...
Page 19 - Ma troisième maxime était de tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes désirs que l'ordre du monde, et généralement de m'accoutumer à croire qu'il n'ya rien qui soit entièrement en notre pouvoir que nos pensées...
Page 29 - Et que les meilleurs esprits y étudient tant qu'il leur plaira ; je ne crois pas qu'ils puissent donner aucune raison qui soit suffisante pour ôter ce doute, s'ils ne présupposent l'existence de Dieu.
Page 14 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle : c'est-à-dire, d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention ; et de ne comprendre rien do plus en mes jugements, que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit, que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 9 - ... il n'ya pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces et faits de la main de divers maîtres qu'en ceux auxquels un seul a travaillé.