l'usage d'assembler leurs pairs pour Prérogatives. Celles des nobles ne doi- vent pas passer au peuple, 46. Présomption. Celle de la loi vaut mieux Préteurs. Qualités qu'ils doivent avoir, Prêtres. Sources de l'autorité qu'ils ont accoutumé à les honorer, ibid. et Preuves par l'eau froide. Abolies par Preuves par le combat. Par quelles lois Preuves par le feu. Comment se fai- Preuves par témoins. Révolutions qu'a Prière. Quand elle est reitérée un cer- : lois, 47 et suiv. En quoi consiste sa Princes du sang royal. Usage des Procédure. Le combat judiciaire l'a- Procédure par recors. Ce que c'était, Procès entre les Portugais et les Es- Procès criminels. Se faisaient autrefois Procureurs du roi. Utilité de ces ma- Procureurs généraux. Il ne faut pas Professions. Ont toutes leur loi : les Propagation. Lois qui y ont rapport, il est difficile d'en trouver, si la dépopulation vient du despotisme ou des priviléges excessifs du clergé, 375. Les Perses avaient, pour la favoriser, des dogmes faux, mais très-utiles, 389. Voyez Population. Propagation de la religion. Est difficile, surtout dans des pays éloignés, dont le climat, les lois, les mœurs et les manières sont différens de ceux où elle est née, et encore plus dans les grands empires despotiques, 405. Propres ne remontent point. Origine de cette maxime, qui n'eut lieu d'abord que pour les fiefs, 595. Propréteurs. Leurs injustices dans les provinces, 154. Propriété. Est fondée sur des lois ci viles conséquences qui en résultent, 419. Le bien public veut que chacun conserve invariablement celle qu'il tient des lois, ibid. La loi civile est son palladium, ibid. Proscription. Absurdité dans la récompense promise à celui qui assassinerait le prince d'Orange, 505. Avec quel art les triumvirs trouvaient des prétextes pour les faire croire utiles au bien public, 170. Prostitution. Les enfans dont le père a trafiqué la pudicité sont-ils obligés, par le droit naturel, de le nourrir quand il est tombé dans l'indigence? 408. Prostitution publique. Contribue peu à la propagation: pourquoi, 354. PROTAIRE. Favori de Brunehault': fut cause de la perte de cette princesse, en indisposant la noblesse contre elle par l'abus qu'il faisait des fiefs, 551. Protestans: Sont moins attachés à leur religion que les catholiques : pourquoi, 393 et suiv. Protestantisms. S'accommode mieux d'une république que d'une monarchie, 380. Les pays où il est établi sont moins susceptibles de fêtes que ceux où règne le catholicisme, 390. Provinces romaines. Comment étaient gouvernées, 154. Etaient désolées par les traitans, 155. PTOLOMÉE. Ce que ce géographe connaissait de l'Afrique, 304. Regardait le voyage des Phéniciens autour de l'Afrique comme fabuleux joignait l'Asie à l'Afrique par une terre qui n'exista jamais la mer des Indes, selon lui, n'était qu'un grand lac, 305. Public ( bien). C'est un paralogisme de dire qu'il doit l'emporter sur k bien particulier, 419. Publicains. Voyez Impôts, Tribut, Fermes, Fermiers, Traitans. Pudeur. Doit être respectée dans l punition des crimes, 167. Pourqua la nature l'a donnée à un sexe plutôt qu'à un autre, 224. Puissance. Combien il y en a de sortes dans un état entre quelles mains le bien de l'état demande qu'elles soient déposées, 129 et suiv. Comment, dans un état libre, les trois puissances, celle de juger, l'exécutrice et la législative, doivent se contre-balancer, 136 et suiv. Puissance de juger. Ne doit jamais, dans un état libre, être réunie avec la puissance législative : exception, 135 et suiv. Puissance exécutrice. Doit, dans un état vraiment libre, être entre les mains d'un monarque, 133 et suiv. Comment doit être tempérée par la puissance législative, 134 et suiv. Puissance législative. En quelles mains doit être déposée, 132. Comment doit tempérer la puissance exécutrice, 134 et suiv. Ne peut, dans aucun cas, être qu'accusatrice, 136. A qui était confiée à Rome, 148. Puissance militaire. C'était un principe fondamental de la monarchie, qu'elle fût toujours réunie à la juridiction civile: pourquoi, 528. Puissance paternelle. Combien est utile dans une démocratie: pourquoi on l'abolit à Rome, 41 et suiv. Jusqu'où elle doit s'étendre, ibid. Puissance politique. Ce que c'est, 5. Punitions. Avec quelle modération on en doit faire usage dans une répu blique. Cause du danger de leat multiplicité et de leur sévérité, 169 Voyez Peines. Pupilles. Dans quel cas on pouvait ordonner le combat judiciaire dans les affaires qui les regardaient, 464. Pureté corporelle. Les peuples qui s'en sont formé une idée ont respecte les prêtres, 396. Pyrénées. Renferment-elles des mines précieuses? 308. PYTHAGORE. Est-ce dans ses nombres qu'il faut chercher la raison pour l quelle un enfant naît à sept mois.?564 1 Questeur du parricide. Par qui était nommé, et quelles étaient ses fonctions à Rome, 151. Question on torture. L'usage en doit être aboli: exemples qui le prouvent, 77. Peat subsister dans les états despotiques, 78. C'est l'usage de ce supplice qui rend la peine des faux témoins capitale en France; elle ne l'est point en Angleterre, parce qu'on n'y fait point usage de la question, 499 Rachat. Origine de ce droit féodal, 591. RACHIS. Ajouta de nouvelles lois à celles des Lombards, 436. RACINE. Eloge de la Phèdre de ce poëte, 408. Raguse. Durée des magistratures de cette république, 12. Raillerie, Le monarque doit toujours s'en abstenir, 175. Raison. Il y en a une primitive, qui est la source de toutes les lois, 1. Ce que l'auteur pense de la raison portée à l'excès, 138. Ne produit jamais de grands effets sur l'esprit des hommes, 269. La résistance qu'on lui oppose est son triomphe, 484. Rangs. Ceux qui sont établis parmi nous sont utiles: ceux qui sont établis aux Indes par la religion sont pernicieux, 599. En quoi consistait leur différence chez les anciens Francs, 440 et suiv. RAOUL, duc de Normandie. A accordé les coutumes de cette province, 492. Rappel. Voyez Successions. Rapport, Les lois sont les rapports qui dérivent de la nature des choses, 1. Celui de Dieu avec l'univers, ibid. De ses lois avec sa sagesse et sa puissance, ibid. Les rapports de l'équité sont antérieurs à la loi primitive qui les établit, 1 et 2. Rapt. De quelle nature est ce crime, 159. Rareté de l'or et de l'argent. Sous combiens d'acceptions on peut prendre cette expression: ce que c'est relativement au change: ses effets, 331. Rathimburges. Étaient la même chose que les juges ou les échevins, 529. Recéleurs. Punis en Grèce, à Rome et en France, de la même peine que Q Ꭱ le voleur cette loi, qui était juste. en Grèce et à Rome, est injuste en France pourquoi, 500. RECESSUINDE. La loi par laquelle il permettait aux enfans d'une femme adultère d'accuser leur mère était contraire à la nature, 408. Fut un des réformateurs des lois des Wisigoths, 436. Proscrivit les lois romaines, 444. Leva la prohibition des mariages entre les Goths et les Romains pourquoi, ibid. Voulut inutilement abolir le combat judiciaire, 456. : Recommander. Ce que c'était que se recommander pour un bénéfice, 539. Récompenses. Trop fréquentes, annoncent la décadence d'un état, 57. Le despote n'en peut donner à ses sujets qu'en argent; monarque, en honneurs qui conduisent à la fortune; et la république, en honneurs seulement, ibid. Une religion qui n'en promettrait pas pour l'autre vie n'attacherait pas beaucoup, 394. Réconciliation. La religion en doit fournir un grand nombre de moyens, lorsqu'il y a beaucoup de sujets de haine dans un état, 387. Reconnaissance. Est une vertu prescrite par une loi antérieure aux lois positives, 2. Régale. Ce droit s'étend-il sur les églises des pays nouvellement conquis, parce que la couronne du roi est ronde? 504. Régie des revenus de l'état. Ce que c'est ses avantages sur les fermes : exemples tirés des grands états, 377 et suiv. Registres Olim. Ce que c'est, 486. Registres publics. A quoi ont succédé : leur utilité, 491 et suiv. Reines régnantes et douairières. Il leur était permis, du temps de Gontrand et de Childebert, d'aliéner pour toujours, même par testament, les choses qu'elles tenaient du fisc, 560. Religion. L'anteur en parle, non comme theologien, mais comme politique il ne vent qu'unir les intérêts de la vraie religion avec la politique: c'est être fort injuste que de lui prêter d'autres vues, 377. C'est par ses lois que Dieu rappelle sans cesse l'homme à lui, 3. Pourquoi a tant de force dans les états despotiques, 15. Est, dans les états despotiques, supérieure aux volontés du prince, 23. Ne borne point, dans une monarchie, les volontés du prince, 24. Ses engagemens ne sont point conformes à ceux du monde; et c'est là une des principales sources de l'inconséquence de notre conduite, 28. Quels sont les crimes qui l'intéressent, 159. Peut mettre un peu de liberté dans les états despotiques, 176. Raisons physiques de son immutabilité en Orient, 194. Doit, dans les climats chauds, exciter les hommes à la culture des terres, 195. A-t-on droit, pour travailler à sa propagation, de réduire en esclavage ceux qui ne la professent pas ? C'est cette idée qui encouragea les destructeurs de l'Amérique dans leurs crimes, 205. Gouverne les hommes concurremment avec le climat, les lois, les mours, etc. de là naît l'esprit général d'une nation, 254. Corrompit les moeurs à Corinthe, 295. A établi, dans certains pays, divers ordres de femmes légitimes, 355. C'est par raison de climat qu'elle vent, à Formose, que la prêtresse fasse avorter les femmes qui accoucheraient avant l'âge de trente-cinq ans, 36. Les principes de différentes religions tantôt choquent, tantôt favorisent la propagation, 370 et suiv. Entre les fausses, la moins mauvaise est celle qui contribue le plus au bonheur des hommes dans cette vie, 377. Vaut-il mieux n'en avoir point du tout que d'en avoir une mauvaise? 378. Est-elle un motif réprimant? Les maux qu'elle a faits sont-ils comparables aux biens qu'elle a faits? ibid. et suiv. Doit donner plus de conseils que de lois, 381. Quelle qu'elle soit, elle doit s'accorder avec les lois de la morale, 382. Ne doit pas trop porter à la contemplation, 383. Quelle est celle qui ne doit point avoir de crimes inexpiables, 384. Comment sa force s'applique à celle des lois civiles. Son principal but doit être de rendre les homme bons citoyens, ibid. et suiv. Celle qui ne promet ni récompense ni peine dans l'autre vie doit être sontenue par des lois sévères et severe ment exécutées, 385. Celle qui admet la fatalité absolue endort la hommes; il faut que les lois civis les excitent, ibid. Quand elle defend ce que les lois civiles doivent parmettre, il est dangereux que, de leur côté, elles ne permettent ce qu'elle doit condamner, ibid. Quand elle fait dépendre la régularité de certaines pratiques indifférentes, elle autorise la debauche, les dérégle mens et les haines, ibid. et 3go. C'est une chose bien funeste, quand elle attache la justification à une chose d'accident, ibid. Celle qui ne promettrait dans l'autre monde que des récompenses et point de puni tions serait funeste, 386. Comment celles qui sont fausses sont quelquefois corrigées par les lois civiles, ibid. Comment ses lois corrigent les inconvéniens de la constitution politique, ibid. et suiv. Comment peut arrêter l'effet des haines particulières, 387. Cominent ses lois ont l'effet des lois civiles, ibid. et suiv. Ce n'est pas la vérité ou la fausseté des dogmes qui les rend utiles ou pernicieuses; c'est l'usage ou l'abus qu'on fait de ces dogmes, 388 et sniv. Ce n'est pas assez qu'elle établisse un dogme, il faut qu'elle le dirige, 389 Il est bon qu'elle nous mène à des idées spirituelles, ibid. Comment peut encourager la propagation, 370. Usages avantageux ou pernicieux qu'elle peut faire de la metempsycose, ibid. Ne doit jamais inspirer d'aversion pour les choses indifferentes, 390. Ne doit inspirer de mépris pour rien que pour les vices, ibid. Doit être fort réservée dans l'établis sement des fêtes qui obligent à la cessation du travail; elle doit même, à cet égard, consulter le climat, ibid. Est susceptible de lois locales relatives à la nature et aux productions du climat, 391. Moyens de la rendre plus générale, 392 et suiv. Il y a de l'inconvénient à transporter une religion d'un pays à un autre, 292. Celle qui est fondée sur le dimat ne peut sortir de son pays, ibil Toute religion doit avoir ses dognes particuliers et un culte général, ibid. Différentes causes de l'attachement plus ou moins fort que l'on peut avoir pour sa religion, 1o. L'idolâtie nous |