L'Esprit des loisA. Belin, 1817 |
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... famille , près de Bordeaux , il suivit la carrière de la magistrature , dans laquelle un oncle , président à mortier au parlement de Guienne , se plut à le guider . En 1714 , Charles de Secondat , baron de la Brede et de Montesquieu ...
... famille , près de Bordeaux , il suivit la carrière de la magistrature , dans laquelle un oncle , président à mortier au parlement de Guienne , se plut à le guider . En 1714 , Charles de Secondat , baron de la Brede et de Montesquieu ...
Page viii
... famille ; mais en vain le fils chercha à témoigner sa reconnaissance à son bienfaiteur ; Montesquieu se déroba à ses recherches , avec un peu trop de soin peut - être ; et ce n'est qu'après sa mort , qu'une note de la somme envoyée à ...
... famille ; mais en vain le fils chercha à témoigner sa reconnaissance à son bienfaiteur ; Montesquieu se déroba à ses recherches , avec un peu trop de soin peut - être ; et ce n'est qu'après sa mort , qu'une note de la somme envoyée à ...
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... famille , et l'ambi- tion d'une famille celle de plusieurs . On a besoin d'une magis- trature cachée , parce que les crimes qu'elle punit , toujours profonds , se forment dans le secret et dans le silence . Cette ma- gistrature doit ...
... famille , et l'ambi- tion d'une famille celle de plusieurs . On a besoin d'une magis- trature cachée , parce que les crimes qu'elle punit , toujours profonds , se forment dans le secret et dans le silence . Cette ma- gistrature doit ...
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... famille par- ticulière doit être gouvernée sur le plan de la grande famille qui les comprend toutes . Si le peuple en général a un principe , les parties qui le com- posent , c'est - à - dire , les familles , l'auront aussi . Les lois ...
... famille par- ticulière doit être gouvernée sur le plan de la grande famille qui les comprend toutes . Si le peuple en général a un principe , les parties qui le com- posent , c'est - à - dire , les familles , l'auront aussi . Les lois ...
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... famille . Les lois de Minos , de Lycurgue et de Platon , supposent une attention singulière de tous les citoyens les uns sur les autres . On ne peut se promettre cela dans la confusion , dans les négli- gences , dans l'étendue des ...
... famille . Les lois de Minos , de Lycurgue et de Platon , supposent une attention singulière de tous les citoyens les uns sur les autres . On ne peut se promettre cela dans la confusion , dans les négli- gences , dans l'étendue des ...
Expressions et termes fréquents
Athènes avaient Baluze barbares Beaumanoir Bourguignons c'était capitulaire cause change CHAP CHAPITRE VII Charlemagne Charles-le-Chauve Chine choses chrétienne citoyens climat code combat judiciaire commerce comte conquête constitution coutumes crime démocratie Denys d'Halicarnasse différence doit doivent donner empereurs enfans esclaves établi états despotiques femmes fiefs firent gens Germains gouvernemens gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre hommes libres ibid Indes jugemens juger justice Justinien l'abbé Dubos l'an l'argent l'auteur l'Esprit des Lois l'état l'usure législateur liberté livre loi des Lombards loi salique lois civiles lois somptuaires Lombards luxe magistrats manière marchandises mariage ment mœurs monarchie monnaie Montesquieu n'était nation nature naturelle particuliers payer pays peine Pepin père Perse peuple Plutarque politique pouvait prince principe punir qu'un raison rapport règle religion république Ripuaires rois Romains Rome seigneur sénat serait servitude Servius Tullius seul sortes Strabon suiv sujet terres tion Tite-Live toyens tribunaux tributs trouve usage vassaux vertu Voyez Wisigoths
Fréquemment cités
Page 203 - On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.
Page 128 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 204 - Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes , parce que , si nous les supposions des hommes , on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.
Page 4 - ... peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir, à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs , à leurs manières. Enfin elles ont des rapports entre elles ; elles en ont avec leur origine , avec l'objet -du législateur, avec l'ordre des choses sur lesquelles elles sont établies. C'est dans toutes ces vues qu'il faut les considérer....
Page 609 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 126 - États modérés; elle n'y eSt que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir; mais c'eSt une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir eSt porté à en abuser; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le diroit ! la vertu même a besoin de limites. Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.
Page 3 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au...
Page 252 - PLUSIEURS choses gouvernent les hommes; le climat, la religion, les lois, les maximes du gouvernement, les exemples des choses passées, les mœurs , les manières ; d'où il se forme un esprit général qui en résulte. A mesure que, dans chaque nation, une de ces causes agit avec plus de force, les autres lui cèdent d'autant.
Page xxx - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince , sa patrie , ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve, je me croirais le plus heureux des mortels.
Page xxxiii - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.