L'Esprit des loisA. Belin, 1817 |
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... mœurs et des institutions : liens secrets , jusqu'alors ignorés , et nou moins subtils , que les nœuds à jamais inconnus de l'âme et du corps , de l'esprit et de la matière , de la pensée et du mouvement . » Au génie qui invente ...
... mœurs et des institutions : liens secrets , jusqu'alors ignorés , et nou moins subtils , que les nœuds à jamais inconnus de l'âme et du corps , de l'esprit et de la matière , de la pensée et du mouvement . » Au génie qui invente ...
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... mœurs et des lois ! Les événe- mens se trouvent expliqués par les mœurs , et les grands hommes naissent de la constitution de l'état . A l'intérêt d'une grandeur toujours croissante , il substitue ce triste contraste de la tyrannie ...
... mœurs et des lois ! Les événe- mens se trouvent expliqués par les mœurs , et les grands hommes naissent de la constitution de l'état . A l'intérêt d'une grandeur toujours croissante , il substitue ce triste contraste de la tyrannie ...
Page xviii
... mœurs orientales , réelles ou supposées , de l'orgueil ou du phlegme de l'amour asiatique , dit d'Alembert , n'est que le moindre objet de ces lettres ; elle n'y sert , pour ainsi dire , que de prétexte à une satire fine de nos mœurs ...
... mœurs orientales , réelles ou supposées , de l'orgueil ou du phlegme de l'amour asiatique , dit d'Alembert , n'est que le moindre objet de ces lettres ; elle n'y sert , pour ainsi dire , que de prétexte à une satire fine de nos mœurs ...
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... mœurs , pour être bien reçu en France . Le baron de Grimm pense que ce morceau devait faire partie des Lettres Persanes , mais que l'auteur finit par l'en séparer à cause de son étendue . Ce ne fut qu'en 1783 que le fils de Mon ...
... mœurs , pour être bien reçu en France . Le baron de Grimm pense que ce morceau devait faire partie des Lettres Persanes , mais que l'auteur finit par l'en séparer à cause de son étendue . Ce ne fut qu'en 1783 que le fils de Mon ...
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... mœurs , ou même ses cou- tumes , qui sont souvent toutes ses mœurs . Mais le moyen le plus sûr de con- server une conquête , c'est de mettre , s'il est possible , le peuple vaincu au niveau du peuple conquérant , de lui accorder les ...
... mœurs , ou même ses cou- tumes , qui sont souvent toutes ses mœurs . Mais le moyen le plus sûr de con- server une conquête , c'est de mettre , s'il est possible , le peuple vaincu au niveau du peuple conquérant , de lui accorder les ...
Expressions et termes fréquents
Athènes avaient Baluze barbares Beaumanoir Bourguignons c'était capitulaire cause change CHAP CHAPITRE VII Charlemagne Charles-le-Chauve Chine choses chrétienne citoyens climat code combat judiciaire commerce comte conquête constitution coutumes crime démocratie Denys d'Halicarnasse différence doit doivent donner empereurs enfans esclaves établi états despotiques femmes fiefs firent gens Germains gouvernemens gouvernement Grecs Grégoire de Tours guerre hommes libres ibid Indes jugemens juger justice Justinien l'abbé Dubos l'an l'argent l'auteur l'Esprit des Lois l'état l'usure législateur liberté livre loi des Lombards loi salique lois civiles lois somptuaires Lombards luxe magistrats manière marchandises mariage ment mœurs monarchie monnaie Montesquieu n'était nation nature naturelle particuliers payer pays peine Pepin père Perse peuple Plutarque politique pouvait prince principe punir qu'un raison rapport règle religion république Ripuaires rois Romains Rome seigneur sénat serait servitude Servius Tullius seul sortes Strabon suiv sujet terres tion Tite-Live toyens tribunaux tributs trouve usage vassaux vertu Voyez Wisigoths
Fréquemment cités
Page 203 - On ne peut se mettre dans l'esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.
Page 128 - La liberté politique dans un citoyen est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté ; et pour qu'on ait cette liberté », il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen...
Page 204 - Il est impossible que nous supposions que ces gens-là soient des hommes , parce que , si nous les supposions des hommes , on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.
Page 4 - ... peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au degré de liberté que la constitution peut souffrir, à la religion des habitants, à leurs inclinations, à leurs richesses, à leur nombre, à leur commerce, à leurs mœurs , à leurs manières. Enfin elles ont des rapports entre elles ; elles en ont avec leur origine , avec l'objet -du législateur, avec l'ordre des choses sur lesquelles elles sont établies. C'est dans toutes ces vues qu'il faut les considérer....
Page 609 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 126 - États modérés; elle n'y eSt que lorsqu'on n'abuse pas du pouvoir; mais c'eSt une expérience éternelle que tout homme qui a du pouvoir eSt porté à en abuser; il va jusqu'à ce qu'il trouve des limites. Qui le diroit ! la vertu même a besoin de limites. Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir.
Page 3 - Elles doivent être relatives au physique du pays, au climat glacé, brûlant ou tempéré; à la qualité du terrain, à sa situation, à sa grandeur, au genre de vie des peuples, laboureurs, chasseurs ou pasteurs : elles doivent se rapporter au...
Page 252 - PLUSIEURS choses gouvernent les hommes; le climat, la religion, les lois, les maximes du gouvernement, les exemples des choses passées, les mœurs , les manières ; d'où il se forme un esprit général qui en résulte. A mesure que, dans chaque nation, une de ces causes agit avec plus de force, les autres lui cèdent d'autant.
Page xxx - Si je pouvais faire en sorte que tout le monde eût de nouvelles raisons pour aimer ses devoirs, son prince , sa patrie , ses lois ; qu'on pût mieux sentir son bonheur dans chaque pays, dans chaque gouvernement, dans chaque poste où l'on se trouve, je me croirais le plus heureux des mortels.
Page xxxiii - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.