La France littéraire: morceaux choisis de littérature française : prosateurs et poètesG. Westermann, 1891 - 696 pages |
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... propre ; il fallait enfin faire connaître exactement le mouvement des idées et donner une histoire de la littérature . C'est ce que nous avons essayé dans l'Introduction et dans les Tableaux littéraires qui pré- cèdent les six périodes ...
... propre ; il fallait enfin faire connaître exactement le mouvement des idées et donner une histoire de la littérature . C'est ce que nous avons essayé dans l'Introduction et dans les Tableaux littéraires qui pré- cèdent les six périodes ...
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... propre 183 Jacques Bénigne de Bossuet . Oraison funèbre de Henriette - Anne d'Angleterre , duchesse d'Orléans · 210 211 184 Epître au roi . 185 Le Lutrin . 187 213 La suite des changements de Rome . 221 Jean de La Fontaine . Le rat de ...
... propre 183 Jacques Bénigne de Bossuet . Oraison funèbre de Henriette - Anne d'Angleterre , duchesse d'Orléans · 210 211 184 Epître au roi . 185 Le Lutrin . 187 213 La suite des changements de Rome . 221 Jean de La Fontaine . Le rat de ...
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... propre- ment dits , dont le pays s'étendait entre les frontières de la Belgique et celles de l'Aquitaine . Nous ferons observer toute- fois qu'une partie des Belges s'étaient ré- pandus dans les contrées habitées par les Gaulois , entre ...
... propre- ment dits , dont le pays s'étendait entre les frontières de la Belgique et celles de l'Aquitaine . Nous ferons observer toute- fois qu'une partie des Belges s'étaient ré- pandus dans les contrées habitées par les Gaulois , entre ...
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... propre ; c'est une règle générale , fondée sur la nature . Il y avait donc à Rome une langue littéraire et un idiome vulgaire . Il est probable que le latin écrit et le la- tin vulgaire furent identiques dans les com- mencements ; mais ...
... propre ; c'est une règle générale , fondée sur la nature . Il y avait donc à Rome une langue littéraire et un idiome vulgaire . Il est probable que le latin écrit et le la- tin vulgaire furent identiques dans les com- mencements ; mais ...
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... propre des mots et du sens des formes grammaticales de la langue latine s'était tout à fait émoussé et obscurci parmi le peuple . Le latin de- vait avoir moins de vie encore pour les étrangers qu'on forçait à s'en servir . De plus , les ...
... propre des mots et du sens des formes grammaticales de la langue latine s'était tout à fait émoussé et obscurci parmi le peuple . Le latin de- vait avoir moins de vie encore pour les étrangers qu'on forçait à s'en servir . De plus , les ...
Table des matières
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Expressions et termes fréquents
Abner Alceste âme assez Athalie avez beau Bossuet Brontin Camille César chants charme cher chœur chose Cicéron ciel Cinna Cléante cœur Corneille courage Curiace Démosthène dessein Dieu dieux dire donner Égisthe Elise enfants enfin ennemis esprit Fénelon fille fils Flèche frère Frosine génie gloire goût guerre Harpagon hommes Isménie j'ai Jacques jamais Jézabel Joad Joas Josabeth jour l'esprit l'histoire l'homme laisse langue langue d'oïl latin Lévites littérature lois Louis Louis XIV Madame main maître malheur Mariane Mathan ment Mérope mille Molière monde monsieur mort noble Ochozias parler passer passions pensée père peuple Philinte philosophie pleurs poème poésie poète Polyphonte prélat prince puissance qu'un raison reste rien rois Romains Rome Ronsard Sabine saint sais sang SCÈNE seigneur sentiments sera seul sœur sort style temple tragédie trouve Valère vérité vertu veux vieil Horace voilà vois voix Voyez XVIe siècle yeux Zacharie Zadig
Fréquemment cités
Page 121 - Pour réparer des ans l'irréparable outrage : « Tremble, m'at-elle dit, fille digne de moi, Le cruel Dieu des Juifs l'emporte aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables. Ma fille. » En achevant ces mots épouvantables , Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de...
Page 219 - Tertullien, parce qu'il nous montre encore quelque forme humaine, ne lui demeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n'a plus de nom dans aucune langue; tant il est vrai que tout meurt en lui, jusqu'à ces termes funèbres par lesquels on exprimait ses malheureux restes...
Page 321 - Le flux et le reflux de cette eau, son- bruit continu, mais renflé par intervalles, frappant sans relâche mon oreille et mes yeux, suppléaient aux mouvements internes que la rêverie éteignait en moi, et suffisaient pour me faire sentir avec plaisir mon existence, sans prendre la peine de penser.
Page 294 - La liberté politique, dans un citoyen, est cette tranquillité d'esprit qui provient de l'opinion que chacun a de sa sûreté; et, pour qu'on ait cette liberté, il faut que le gouvernement soit tel qu'un citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen.
Page 86 - Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres. Et le dernier, de faire partout des dénombrements si entiers et des revues si générales que je fusse assuré de ne rien omettre.
Page 91 - Ce n'est point de l'espace que je dois chercher ma dignité; mais c'est du règlement de ma pensée. Je n'aurai pas davantage en possédant des terres. Par l'espace l'univers me comprend et m'engloutit comme un point; par la pensée je le comprends.
Page 85 - Ainsi voit-on que les bâtiments qu'un seul architecte a entrepris et achevés ont coutume d'être plus beaux et mieux ordonnés que ceux que plusieurs ont tâché de raccommoder en faisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d'autres fins.
Page 219 - La mort ne nous laisse pas assez de corps pour occuper quelque place, et on ne voit là que les tombeaux qui fassent quelque figure.
Page 76 - Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers.
Page 86 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie, que je ne la connusse évidemment être telle...