Oeuvres, Volume 5chez Jean-François Bastien, 1788 |
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Page 5
... parler contre la tyrannie . Mais sa conduite avant son malheur , que l'on voit qu'il prévoyoit ; sa douceur pour les peuples vaincus ; sa libéralité envers les soldats ; cet art qu'il eut d'intéresser tant de gens à sa con- servation ...
... parler contre la tyrannie . Mais sa conduite avant son malheur , que l'on voit qu'il prévoyoit ; sa douceur pour les peuples vaincus ; sa libéralité envers les soldats ; cet art qu'il eut d'intéresser tant de gens à sa con- servation ...
Page 25
... parler après lui , étoit un aventurier , qui faisoit des entreprises continuelles , parce qu'il ne pouvoit subsister qu'en entreprenant . Tarente , son alliée , avoit bien dégénéré de l'institution des Lacédémoniens , ses an- cêtres ( 3 ) ...
... parler après lui , étoit un aventurier , qui faisoit des entreprises continuelles , parce qu'il ne pouvoit subsister qu'en entreprenant . Tarente , son alliée , avoit bien dégénéré de l'institution des Lacédémoniens , ses an- cêtres ( 3 ) ...
Page 53
... parler toujours en maîtres , les ambassadeurs qu'ils envoyoient chez les peuples qui n'avoient point encore senti leur puissance , étoient sûrement maltraités : ce qui étoit un prétexte sûr pour faire une nouvelle guerre ( * ) . Comme ...
... parler toujours en maîtres , les ambassadeurs qu'ils envoyoient chez les peuples qui n'avoient point encore senti leur puissance , étoient sûrement maltraités : ce qui étoit un prétexte sûr pour faire une nouvelle guerre ( * ) . Comme ...
Page 59
... parler d'eux , pour devoir leur être soumis . Ils ne faisoient jamais de guerres éloignées , sans s'être procuré quelque allié auprès de l'ennemi qu'ils attaquoient , qui pût joindre ses troupes à l'armée qu'ils envoyoient : et , comme ...
... parler d'eux , pour devoir leur être soumis . Ils ne faisoient jamais de guerres éloignées , sans s'être procuré quelque allié auprès de l'ennemi qu'ils attaquoient , qui pût joindre ses troupes à l'armée qu'ils envoyoient : et , comme ...
Page 82
... parler , dans les auteurs , que des divisions qui perdirent Rome ; mais on ( 1 ) Qu'on s'imagine cette tête monstrueuse des peuples d'Italie , qui , par le suffrage de chaque homme , con- duisoit le reste du monde . ( 2 ) Voyez les ...
... parler , dans les auteurs , que des divisions qui perdirent Rome ; mais on ( 1 ) Qu'on s'imagine cette tête monstrueuse des peuples d'Italie , qui , par le suffrage de chaque homme , con- duisoit le reste du monde . ( 2 ) Voyez les ...
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Expressions et termes fréquents
Adieu affaires alliés Ammien Marcellin Ardasire armées Arsace Aspar auroit avez avoient avoit Bactriane Barbares Bordeaux Brède c'étoit Carthage Carthaginois cavalerie César cher abbé choses Cicéron citoyens Clérac cœur connoissance connoître conquêtes crimes d'Italie Denys d'Halicarnasse Desmolets devoit dieux dire disoit donner empereurs empire ennemis esclaves établi état êtes étoient étoit Etoliens eût faisoient faisoit falloit firent foiblesse forces gens Goths gouvernement graces Grecs GUASCO guerre punique homme ibid Isménie j'ai j'avois j'étois jamais Justinien l'abbé l'empereur l'empire l'Esprit des Loix légions lettre loix madame mains malheurs mander Marius mille Mithridate monde Montesquieu n'avoient n'avoit n'étoient n'y avoit nation Niccolini paix par-tout parler paroît Parthes passer père Perses plaisir Polybe Pompée pouvoient pouvoit première guerre punique presque prince provinces puissance qu'un raison religion république rois Rome sénat sentir seroit seul soldats sortes sujets Sylla terre tion Tite-Live tribuns troupes trouve tyrannie Vénuti victoire vouloit Voyez
Fréquemment cités
Page 171 - Il ya des causes générales, soit morales, soit physiques, qui agissent dans chaque monarchie, l'élèvent, la maintiennent, ou la précipitent; tous les accidents sont soumis à ces causes; et, si le hasard d'une bataille, c'està-dire une cause particulière, a ruiné un État, il y avait une cause générale qui faisait que cet État devait périr par une seule bataille. En un mot, l'allure principale entraîne avec elle tous les accidents particuliers.
Page 83 - ... opposées qu'elles nous paraissent , concourent au bien général de la société , comme des dissonances dans la musique concourent à l'accord total. Il peut y avoir de l'union dans un État où...
Page 97 - César : mais cet homme extraordinaire avoit tant de grandes qualités, sans pas un défaut, quoiqu'il eût bien des vices, qu'il eût été bien difficile que quelque armée qu'il eût commandée, il n'eût été vainqueur ; et qu'en quelque république qu'il fût né, il ne l'eût gouvernée.
Page 171 - Ce n'est pas la fortune qui domine le monde : on peut le demander aux Romains , qui eurent une suite continuelle de prospérités quand ils se gouvernèrent sur un certain plan , et une suite non interrompue de revers lorsqu'ils se conduisirent sur un autre.
Page 83 - ... toutes les fois qu'on verra tout le monde tranquille dans un État qui se donne le nom de république, on peut être assuré que la liberté n'y est pas.
Page 142 - De l'état de l'empire depuis Antuniu jusqu'à Probus. Dans ces temps-là, la secte des stoïciens s'étendait et s'accréditait dans l'empire. Il semblait que la nature humaine eût fait un effort pour produire d'elle-même cette secte admirable, qui était comme ces plantes que la terre fait naître dans des lieux que le ciel n'a jamais vus. Les Romains lui durent leurs meilleurs empereurs.
Page 34 - La seconde guerre punique est si fameuse , que tout le monde la sait. Quand on examine bien cette foule d'obstacles qui se présentèrent devant Annibal , et que cet homme extraordinaire surmonta tous , on a le plus beau spectacle que nous ait fourni l'antiquité.
Page 263 - Seigneur, lui dis-je, il est heureux que le ciel ait épargné au genre humain le nombre des hommes tels que vous: nés pour la médiocrité, nous sommes accablés par les esprits sublimes. Pour qu'un homme soit au-dessus de l'humanité, il en coûte trop cher à tous les autres!
Page 49 - Je ne sache rien de si magnanime que la résolution que prit un monarque qui a régné de nos jours ', de s'ensevelir plutôt sous les débris du trône que d'accepter des propositions qu'un roi ne doit pas entendre : il avait l'âme trop fière pour descendre plus bas que ses malheurs ne l'avaient mis; et il savait bien que le courage peut raffermir une couronne, et que l'infamie ne le fait jamais.
Page 83 - Rome des divisions : et ces guerriers si fiers, si audacieux, si terribles au dehors, ne pouvoient pas être bien modérés au dedans. Demander, dans un État libre, des gens hardis dans la guerre, et timides dans la paix, c'est vouloir des choses impossibles : et, pour règle...