Marche, pays des espoirsPrésence africaine, 1967 - 55 pages |
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... Sombrer , sombrer dans la grande et immuable mer , voilà le souhait du moins conquérant . La mer , c'est la mer . Aux ... sombre , La marche est sûre dans son adieu , La mer , la grande mer , l'immense mer domine tout , la mer de Moanda ...
... Sombrer , sombrer dans la grande et immuable mer , voilà le souhait du moins conquérant . La mer , c'est la mer . Aux ... sombre , La marche est sûre dans son adieu , La mer , la grande mer , l'immense mer domine tout , la mer de Moanda ...
Page 32
... sombre beau pour ma joie , Cette chaîne sans nœud qui la tient . Et pourtant je marche , je vois là , là , très loin , Dans ces airs de consolation , un point : l'arrivée des ailes et d'un rien ...... CROYANCE Ai - je détruit l'espoir ...
... sombre beau pour ma joie , Cette chaîne sans nœud qui la tient . Et pourtant je marche , je vois là , là , très loin , Dans ces airs de consolation , un point : l'arrivée des ailes et d'un rien ...... CROYANCE Ai - je détruit l'espoir ...
Page 37
... sombre nuit . Tout coule , coule toujours ... Tel un fleuve millénaire , Dans la grandeur des puissants , Dans la force des incomparables , Dans l'orgueil des imbattables , Dans la bonté des pauvres , Dans la montée des grands , Tout de ...
... sombre nuit . Tout coule , coule toujours ... Tel un fleuve millénaire , Dans la grandeur des puissants , Dans la force des incomparables , Dans l'orgueil des imbattables , Dans la bonté des pauvres , Dans la montée des grands , Tout de ...
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Expressions et termes fréquents
abominables ténèbres Adieu admirons-la sans vieillir Afrique Ai-je aime Aimons-la de loin airs de consolation altéré d'un vague AME TORDUE blanc bonté Bouge et cherche Calif chair cherche ta place cherche un éclair cimetières oubliés Colle ton pacte coule courses effrénées créent la symphonie détourner une âme Dieu Dieux se lèvent doux noir entrailles épave ESPOIRS Etienne THSINDAY Etienne THSINDAY LUKUMBI fantôme fils t'appellent fuit gloire grandeur hélas insondable instants terrestres Kadutu Karisimbi l'Afrique l'amour l'arrivée des ailes L'espoir l'humanité larmes lèvent et parlent loin des instants matinal qui purifie métaphysi mieux me regarder millénaire musique ne m'émeuvent nuit des courses OCCIDENT partout la mer PAYS DES ESPOIRS plaît pleurs poète possède ce qu'ignore PRÉSENCE AFRICAINE réconfort rideau d'un choix s'unissent pour tisser sang Saura-t-elle traverser servent les volcans Seul derrière soif sombre sors des cimetières Stockton sucre d'enfance Syracuse t'aime tâtons luttant ténèbres Où seul tisser l'harmonie d'être voix