Almanach des muses |
Avis des internautes - Rédiger un commentaire
Aucun commentaire n'a été trouvé aux emplacements habituels.
Autres éditions - Tout afficher
Almanach des muses Claude Sixte Sautreau de Marsy,Charles-Joseph Mathon de La Cour,Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne),Marie Justin Gensoul Affichage du livre entier - 1774 |
Almanach des muses Claude Sixte Sautreau de Marsy,Charles-Joseph Mathon de La Cour,Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne),Marie Justin Gensoul Affichage du livre entier - 1785 |
Expressions et termes fréquents
actes âge aimable aime ainſi Amours Amſterdam aſſez avoit beau beauté belle bonheur brillant c'eſt cæur célébrer cendre chants charmes cher ciel Comédie Conte cour d'être Dieu Dieux dire doit donne DORAT douce doux Eglé enfin Epître eſt étoit Fable fais fans femme fille fils fleurs font François Françoiſe gloire goût graces guère hélas heureux homme image Imitation j'ai jeune jolie jouir jour l'Abbé l'Académie l'ame l'amour l'auteur l'autre l'eſprit l'un loin Madame Mademoiſelle main mieux mort n'eſt nature nouveau nouvelle nuit ouvrage pages parler peine père piéce place plaire plaiſir pleurs Poëme porte portrait premier qu'à qu'un raiſon regards rendre rien s'il ſage ſans ſein ſens ſentiment ſes ſeul ſon ſont ſous ſuis ſur tableau talens tems tendre Théâtre traits trouve vérité vertu veuve veux vient vois voit voix VOLTAIRE vrai yeux
Fréquemment cités
Page 5 - CARROUSEL DE L'IMPÉRATRICE DE RUSSIE, (i) i766. SORS du tombeau, divin Pindare, Toi qui célébras autrefois Les chevaux de quelques bourgeois, Ou de Corinthe ou de Mégare ; Toi qui possédas le talent De parler beaucoup sans rien dire, Toi qui modulas savamment Des vers que personne n'entend , Et qu'il faut toujours qu'on admire.
Page 59 - C'en est donc fait , et je vais de mes larmes Payer toujours la faute d'un moment : Ton amitié , dans cet état funeste , Soutient mon cœur; ce prix m'étoit bien dû.
Page 84 - De l'immortalité je serais moins jaloux. Que me fait près de toi l'opinion des hommes ? Que me fait l'avenir ? Le présent est à nous : Notre univers est où nous sommes.
Page 44 - Bot/eau , qui partage avec vous l'art de graver fes écrits dans la mémoire de feS lecteurs , & d'inftruire l'efprit fans lui demander des efforts. Vos principes & les fiens font admirables ; mais ils ne s'accordent pas avec la légèreté d'une perfonne de vingt-un ans , qui a beatcoup • d'antipatie pour tout ce qui eft pénible.
Page 131 - J'ai vu les Graces te fourire : L'Amour m'invite à les chanter. DE ce Dieu compagnes fidelles , Éleves de la vérité , Elles plaifent fans la beauté : La beauté ne plaît pas fans elles, EN mille plis voluptueux, Dans tes habits elles Ce jouent ; Églé , ce font elles qui nouent Les trefles de tes beaux cheveux.
Page 87 - Qu'en moi tous les péchés ont déja pris racine. Je fuis gourmand , & c'eft un fait certain ; Je dévore le fruit qu'aura touché ta main r Je le favoure avec délice.
Page 8 - V oici le bonhomme qui fit Cent prodiges qui nous enchantent, Des fables qui jamais ne mentent, Et des bêtes pleines d'esprit. La morale a besoin, pour être bien reçue...
Page 52 - S'il faut délibérer, au lieu d'un l'on est deux; Fort souvent, pour bien voir, il faut plus de deux yeux. « Ami, lui dis-je un jour, je voudrais pour ma femme Prendre l'aveugle objet de mon aveugle flamme; Mais je suis combattu : dis-moi, ferai-je bien? — Pourquoi non ? puisqu'elle t'adore. Ami, le cœur est tout, et les yeux ne sont rien; S'ils servent quelquefois, ils nuisent plus encore.
Page 69 - Bel oifeau ! Je te rends à tes premiers liens ; Pars, tu diras à ton amie, Qu'enchaîné comme toi fous une loi chérie , En faveur de fes feux, Atis fit grace aux tiens.
Page 109 - C'eft le plus grand bienfait des Dieux; Doit-on plaindre une infortunée Qui d'un regard peut faire des heureux...