Petite comédie de la critique littéraire: ou Molière selon trois écoles philosophiques, Volume 48M. Lévy, 1866 - 370 pages |
À l'intérieur du livre
Résultats 1-5 sur 31
Page 23
... manière de penser d'un certain libelliste qui fit paraître à Paris en 1665 , un écrit anonyme avec ce titre Observations sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre . Il est vrai , dit cet auteur inconnu , qu'il y a quelque ...
... manière de penser d'un certain libelliste qui fit paraître à Paris en 1665 , un écrit anonyme avec ce titre Observations sur une comédie de Molière intitulée le Festin de Pierre . Il est vrai , dit cet auteur inconnu , qu'il y a quelque ...
Page 32
... manière si générale qu'elle fait rire tout le monde sans offenser personne . Il est une autre espèce de gaieté triste et fausse qui n'est pas l'ironie , et qui , non plus que l'ironic , ne Ce qui doit dominer dans la comédie , c'est l ...
... manière si générale qu'elle fait rire tout le monde sans offenser personne . Il est une autre espèce de gaieté triste et fausse qui n'est pas l'ironie , et qui , non plus que l'ironic , ne Ce qui doit dominer dans la comédie , c'est l ...
Page 46
... manière des auteurs de la comédie nou- velle , parce que la gaieté , qui , à vrai dire , est son scul but , ne le souffrirait pas , parce que toute unité d'impression lui est fatale , et que toute digression , toute allusion , toute ...
... manière des auteurs de la comédie nou- velle , parce que la gaieté , qui , à vrai dire , est son scul but , ne le souffrirait pas , parce que toute unité d'impression lui est fatale , et que toute digression , toute allusion , toute ...
Page 67
... manière dont il s'attaque continuellement aux médecins et aux procureurs , dans ses disser- tations sur le ton du grand monde , et en général partout où l'on voit qu'il ne se contente pas d'amuser , mais qu'il veut combattre ou défendre ...
... manière dont il s'attaque continuellement aux médecins et aux procureurs , dans ses disser- tations sur le ton du grand monde , et en général partout où l'on voit qu'il ne se contente pas d'amuser , mais qu'il veut combattre ou défendre ...
Page 73
... manière dont Oronte amène son sonnet , et dans la franchise mêlée d'embar- ras de la critique d'Alceste . Mais il n'y en a pas du tout dans ses discussions interminables avec l'ennuyeux Philinte , et , pour citer encore une fois , une ...
... manière dont Oronte amène son sonnet , et dans la franchise mêlée d'embar- ras de la critique d'Alceste . Mais il n'y en a pas du tout dans ses discussions interminables avec l'ennuyeux Philinte , et , pour citer encore une fois , une ...
Autres éditions - Tout afficher
Petite comédie de la critique littéraire: ou Molière selon trois ..., Volume 48 Paul Stapfer Affichage du livre entier - 1866 |
Petite comédie de la critique littéraire: ou Molière selon trois ..., Volume 48 Paul Stapfer Affichage du livre entier - 1866 |
Petite comédie de la critique littéraire: ou Molière selon trois ..., Volume 48 Paul Stapfer Affichage du livre entier - 1866 |
Expressions et termes fréquents
Alceste Aristophane Aristote beau beauté belle Boileau caractère Chevalier choses cœur comédie nouvelle contradiction contraire Critique de l'École critique littéraire d'Uranie dénoûment Dieux dire divine dogmatique doit Don Quichotte Douzième leçon dramatique drame esprit Euripide Falstaff farce Femmes savantes gaieté comique génie genre Goethe goût Grecs Harpagon Hegel héros homme humaine idéal idées j'ai Jean-Paul jugement l'art l'Avare l'École des Femmes l'école historique l'esprit l'homme l'idéal l'idée l'imagination L'Impromptu de Versailles l'intelligence littérature logique Louis Moland lui-même madame de Staël Ménandre ment Misanthrope mœurs Molière monde morale nature œuvres passions pathétique pensée personnages personne philosophique pièce plaisir Plaute poëme poésie poëte comique poétique principe priori propre prosaïque qu'un raison réelle ridicule rien rire romantique s'il satire scène science sentiment Septième leçon sérieux seulement Shakspeare siècle Sixième leçon Sophocle sottise spectateurs sublime Tartuffe théâtre théorie tion tragédie tragique trouve Uranie vérité Voilà Voltaire vrai William Schlegel yeux
Fréquemment cités
Page 332 - Oui, toujours des marquis, que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie. Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.
Page 352 - UX larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ouverts, •** Ton deuil est raisonnable encor qu'il soit extrême, Et lorsque pour toujours on perd ce que tu perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. On se propose à tort cent préceptes divers Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce qu'on aime ; L'effort en est barbare aux yeux de l'univers, Et c'est brutalité plus que vertu suprême.
Page 93 - N'est que de ces beautés dont l'éclat éblouit, Et qu'on cesse d'aimer sitôt qu'on en jouit. L'ambition déplaît quand elle est assouvie...
Page 23 - Gauthier-Garguille , ni les impromptus de Turlupin, ni la bravoure du Capitan, ni la naïveté de Jodelet, ni la panse de Gros-Guillaume, ni la science du Docteur, il ne laisse pas de plaire quelquefois et de divertir en son genre.
Page 337 - Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 85 - Oui, oui, redoutez tout après un tel outrage, Je ne suis plus à moi, je suis tout à la rage: Percé du coup mortel dont vous m'assassinez, Mes sens par la raison ne sont plus gouvernés; Je cède aux mouvements d'une juste colère, Et je ne réponds pas de ce que je puis faire.
Page 220 - Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 284 - La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition compagne de la faiblesse des organes, suite de la mobilité du diaphragme, de la vivacité de l'imagination, de la délicatesse des nerfs, qui incline à compatir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, à s'évanouir, à secourir, à fuir, à crier, à perdre la raison, à exagérer, à mépriser, à dédaigner, à n'avoir aucune idée précise...
Page 73 - Nous serons, par nos lois, les juges des ouvrages ; Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis : Nul n'aura de l'esprit, hors nous et nos amis.
Page 26 - ... que Socrate força ses deux interlocuteurs à reconnaître qu'il appartient au même homme de savoir traiter la comédie et la tragédie, et que le vrai poète tragique qui l'est avec art est en même temps 'poète comique.