Petite comédie de la critique littéraire: ou Molière selon trois écoles philosophiques, Volume 48M. Lévy, 1866 - 370 pages |
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... Premier axiome : le poëte comique doit disparaître derrière ses per- sonnages . Deuxième axiome : il doit peindre la réalité . Nous avons foi , nous Français , dans l'un et dans l'autre de ces principes , et armés de ce double ...
... Premier axiome : le poëte comique doit disparaître derrière ses per- sonnages . Deuxième axiome : il doit peindre la réalité . Nous avons foi , nous Français , dans l'un et dans l'autre de ces principes , et armés de ce double ...
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... premier qui osera dire que sa maîtresse n'est pas la plus belle femme du monde . Vous dites , par exemple , que le poëte comique doit disparaître derrière ses personnages , et qu'il doit peindre la réalité . Eh ! pourquoi donc cela ...
... premier qui osera dire que sa maîtresse n'est pas la plus belle femme du monde . Vous dites , par exemple , que le poëte comique doit disparaître derrière ses personnages , et qu'il doit peindre la réalité . Eh ! pourquoi donc cela ...
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... premier critique de notre temps . En Allemagne , un homme tel que Hegel unit et concilie avec une profondeur dogmatique incomparable , la plus grande largeur historique et la sensibilité d'un goût aussi délicat , aussi vif que celui de ...
... premier critique de notre temps . En Allemagne , un homme tel que Hegel unit et concilie avec une profondeur dogmatique incomparable , la plus grande largeur historique et la sensibilité d'un goût aussi délicat , aussi vif que celui de ...
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ou Molière selon trois écoles philosophiques Paul Stapfer. avons clos notre première partie par un court chapitre où les critiques français en chœur prouvent , avec une égale évi- dence , que Molière est le premier de tous les poëtes ...
ou Molière selon trois écoles philosophiques Paul Stapfer. avons clos notre première partie par un court chapitre où les critiques français en chœur prouvent , avec une égale évi- dence , que Molière est le premier de tous les poëtes ...
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... d'envie de les trouver justes . La parole est maintenant à William Schlegel , c'est - à - dire , à son disciple . On verra pourquoi il est nécessaire de la connaitre . CHAPITRE PREMIER UNE LEÇON SUR LA COMÉDIE ESSAI D'UN ÉLÈVE 24.
... d'envie de les trouver justes . La parole est maintenant à William Schlegel , c'est - à - dire , à son disciple . On verra pourquoi il est nécessaire de la connaitre . CHAPITRE PREMIER UNE LEÇON SUR LA COMÉDIE ESSAI D'UN ÉLÈVE 24.
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 332 - Oui, toujours des marquis, que diable voulez-vous qu'on prenne pour un caractère agréable de théâtre ? le marquis aujourd'hui est le plaisant de la comédie. Et comme dans toutes les comédies anciennes on voit toujours un valet bouffon qui fait rire les auditeurs, de même dans toutes nos pièces de maintenant, il faut toujours un marquis ridicule qui divertisse la compagnie.
Page 352 - UX larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ouverts, •** Ton deuil est raisonnable encor qu'il soit extrême, Et lorsque pour toujours on perd ce que tu perds, La sagesse, crois-moi, peut pleurer elle-même. On se propose à tort cent préceptes divers Pour vouloir d'un œil sec voir mourir ce qu'on aime ; L'effort en est barbare aux yeux de l'univers, Et c'est brutalité plus que vertu suprême.
Page 93 - N'est que de ces beautés dont l'éclat éblouit, Et qu'on cesse d'aimer sitôt qu'on en jouit. L'ambition déplaît quand elle est assouvie...
Page 23 - Gauthier-Garguille , ni les impromptus de Turlupin, ni la bravoure du Capitan, ni la naïveté de Jodelet, ni la panse de Gros-Guillaume, ni la science du Docteur, il ne laisse pas de plaire quelquefois et de divertir en son genre.
Page 337 - Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.
Page 85 - Oui, oui, redoutez tout après un tel outrage, Je ne suis plus à moi, je suis tout à la rage: Percé du coup mortel dont vous m'assassinez, Mes sens par la raison ne sont plus gouvernés; Je cède aux mouvements d'une juste colère, Et je ne réponds pas de ce que je puis faire.
Page 220 - Laissons-nous aller de bonne foi aux choses qui nous prennent par les entrailles, et ne cherchons point de raisonnements pour nous empêcher d'avoir du plaisir.
Page 284 - La sensibilité, selon la seule acception qu'on ait donnée jusqu'à présent à ce terme, est, ce me semble, cette disposition compagne de la faiblesse des organes, suite de la mobilité du diaphragme, de la vivacité de l'imagination, de la délicatesse des nerfs, qui incline à compatir, à frissonner, à admirer, à craindre, à se troubler, à pleurer, à s'évanouir, à secourir, à fuir, à crier, à perdre la raison, à exagérer, à mépriser, à dédaigner, à n'avoir aucune idée précise...
Page 73 - Nous serons, par nos lois, les juges des ouvrages ; Par nos lois, prose et vers, tout nous sera soumis : Nul n'aura de l'esprit, hors nous et nos amis.
Page 26 - ... que Socrate força ses deux interlocuteurs à reconnaître qu'il appartient au même homme de savoir traiter la comédie et la tragédie, et que le vrai poète tragique qui l'est avec art est en même temps 'poète comique.