L'art de vérifier les dates ...Valade, 1819 |
Expressions et termes fréquents
Adorne Alfonse août armée arrivée assiégés Atenulfe avaient ayant barons Bénévent Calabre Capouans Charles château Côme comte Conrad Conradin d'Anjou d'Aragon d'Arenberg d'Espagne d'Italie doge donna Doria duc de Calabre duc de Milan duc de Naples duché duché de Naples envoya épousé femme Ferdinand fille fils Florence Florentins flotte Frédéric Frégose frère Gênes Génois Gisulfe gouvernement Grecs Grimaldi Guelfes guerre Guillaume Henri Italie janvier Jean juillet juin l'an l'année suivante l'église l'empereur laissa Landon Landulfe Louis Mainfroi maison d'Arenberg maître Marck marquis mars Mathilde Messine mille mois mort mourut Muratori Napolitains nommé Normands octobre paix Palerme pape père peuple Philippe Pisans Pouille prince de Capoue prince de Salerne princesse principauté prisonnier Rainulfe république Robert Robert Guiscard Roger rois Rome royaume de Naples royaume de Sicile s'étant saint siége Salerne Sarrasins secours seigneur septembre Sergius Sicile Siciliens Spinola succède successeur Tarente tems Toscane troupes vaisseaux vint Volturne
Fréquemment cités
Page 317 - ALPHONSE II, duc de Calabre, fils aîné de Ferdinand et d'Isabelle, est couronné le 8 mai, roi de Naples. Du vivant de son père il avait fait ses preuves de valeur, de luxure, d'avarice et de cruauté. Ce prince, néanmoins, au bruit de l'arrivée des Français en Italie , fut saisi d'une frayeur si grande, que le
Page 297 - sa puissance. Craignant, par cette raison, de se donner un maître en épousant un fils de France, elle jeta les yeux sur Jacques d'Aragon, roi titulaire de Majorque, comte de Roussillon et de Cerdagne,
Page 68 - par lequel la succession éventuelle du grand-duché de Toscane et des duchés de Parme et de Plaisance, fut assurée à l'infant
Page 65 - formaient son caractère ; l'amour qu'il portait à ses, » sujets, sa bienfaisance envers eux , les intéressaient tous à son » salut. Une humeur égale et enjouée rendait sa présence» agréable à ceux qui l'approchaient, et lui faisait oublier ses
Page 47 - fiefs de l'empire , pour se maintenir contre les villes libres qui cherchaient à les assujettir. Plusieurs villes aussi, que les empereurs traitaient favorablement, entrèrent dans la faction gibeline, par le besoin qu'elles avaient de la protection des empereurs pour n'être pas englouties par d'autres villes de leur voisinage, plus puissantes qu'elles, ou plus aguerries.
Page 42 - Mathilde, en franc-alleu, et dont elle pouvait librement disposer, mais aussi les fiefs qu'elle possédait sous la directe de la couronne d'Italie. Les papes ne firent point cette distinction , et s'arrogèrent également les uns et les autres, tant en souveraineté qu'en propriété. De leur côté, les empereurs s'opposèrent de tout leur pouvoir à une
Page 315 - ou peu après son père , à l'âge d'environ vingt-huit ans ; et Marie, morte jeune. Jean fut un des plus grands capitaines de son siècle, quoique rarement heureux, mais plus admirable dans ses disgrâces que brillant dans ses succès. Il n'éprouva jamais de revers qui n'ajoutât; encore à sa gloire. S'il fut souvent
Page 50 - voir ce citoyen , qui faisait toujours le commerce , vendre » d'une main les denrées du Levant, et soutenir de