 | Florent Carton Dancourt - 1704 - 84 pages
...Marton , que tous les hommes ne font-ils faits comme ces deux-là J MARTON. Fort bien , je vous entens. Si tous les hommes étoient faits comme eux , votre petit cœur feroit moins agité r n'eft-ce pas 1 LUCIL E. Parle bas , ma pauvre Marton. ^ MARTON. fié ! bien oui , volontiers , mon... | |
 | 1810 - 388 pages
...LUCILE. Ah! ma chère Marthon, que tous les hommes lie sont-ils faits comme ces deux-là? M ARTHON. Fort bien , je vous entends. Si tous les hommes étoient faits comme eux, votre petit cœur seroit moins agité, n'est-ce pas? LUC IL F. Parle bas, ma pauvre Marthon. M ARTHON. Eh bien! oui,... | |
 | Baron (Monsieur, Michel) - 1821 - 394 pages
...ILE. Ah! ma chère Martbon, que tous les hommes n« «ont-ils fuils comme ces deux-là? MARTH o y. Fort bien , je vous entends. Si tous les hommes étoient faits comme eux, votre petit cœur seroit moins agité, n'est-ce pas? L uc i L E. Parle bas, ma pauvre Marthon. MARTHON . Eh bien! oui,... | |
 | 1822 - 410 pages
...LUC ILE. Ah ! ma chère Marthon, que tous les hommes ne sont-ils faits comme ces deux-là ? MARTHON. Fort bien, je vous entends. Si tous les hommes étoient faits comme eux, votre petit cœur seroit moins agité, n'est-ce pas? LU ci LE. 1 Parle bas ; ma pauvre Marthon. MARTHON. Eh bien! oui,... | |
 | 1823 - 384 pages
...ridicule. LUCILE. Ah! ma chère Marthon, que tous les hommes ne sont-ils faits comme ces deux-là? MARTHON. Fort bien, je vous entends. Si tous les hommes étoient faits comme eux, votre petit cœur seroit moins agité, n'est-ce pas? LUCILF. Parle bas, ma pauvre Marthon. MA RT H ON. Eh bien! oui,... | |
 | 1687 - 490 pages
...l'avocat , qui soit encore aussi ridicule. LUCILE. Ah ! ma chère Marton , que tous les hommes ne sont-ils faits comme ces deux-là ! MARTON. Fort bien , je vous entends. Si tous les hommes étaient faits comme eux, votre petit cœur serait moins agité, n'est-ce pas? LUCILE. Parle bas, ma... | |
 | Charles Barthélemy, Florent Carton Dancourt - 1882 - 406 pages
...qui soit encore aussi ridicule. LUCILE. — Ah ! ma chère Marton, que tous les hommes ne sont-ils faits comme ces deux-là! MARTON. — Fort bien, je vous entends. Si tous les hommes étaient faits comme eux, votre petit cœur serait moins agité, n'est-ce pas? LUCILE. — Parle bas,... | |
| |
... leur monsieur Caton est bien le plus vilain mâtin, le plus disgracié mortel, avec son tic et son bégaiement ; je ne connois que votre cousin, monsieur l'avocat, qui soit encore aussi ridicule. 