| Pierre-Louis d' Aquin de Château-Lyon - 1754 - 414 pages
...approcher de tes bords dangereux î PH E' DR E. Mon repos , mon bonheur fembloît être affermi , Alienes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vûe , On trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Meiyeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler, Je... | |
| Académie royale des belles-lettres de La Rochelle - 1763 - 346 pages
...les loix de l'himefi je m'étois engagée ,' Mon repos, mon bonheur fembloit être affermi.; Athenes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. J/n trouble s'éleva çkns mon ame éperdu^ Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvoïs parler , Je fentis... | |
| Voltaire - 1765 - 442 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. ' Je le vis• je rougis, je pâlis à fa vue; -. ,- . ,' Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue k : : . Mes yeux ne voyaient plus,- je ne pouvais parler. * ' •" X ' I -i•tt*^-»»•... | |
| Voltaire - 1765 - 618 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue' ; Un trouble s'eleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'Imagination alors... | |
| Jean Racine - 1767 - 470 pages
...m'étois engagée , Mon repos , mon bonheur fèmbloit etre affèrmi» Athènes me montra mon fùperbe ennemi. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyoient plus , je ne pouvois parler; Je fèntis tout mon corps & tranfîr... | |
| 1769 - 394 pages
...images : alors l'auteur dit précifément les mêmes choies , que diroit la perfonne qu'if introduit : Je le vis ; je rougis , je pâlis à fa vue ; •Un trouble s'eleva daus mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus i je ne pouvois parler; L'imagination alors... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - 1770 - 750 pages
...images ; alors l'Auteur dit précifément les mêmes chofes que di,n ut la perfonne qu'il introduit : Je le vis ; je rougis ; je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyoient plus; je ne pouvois parler.' L'Imagination, alors ardente & fage , n'entafle point de figures... | |
| 1772 - 398 pages
...images : alors l'auteur dit précifémsnt Ici mêmes chofes que diroit la peribnne qu'il introduit : Je le vis-, je rougis , je pâlis à fa vue; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyoient plus ; jenepouvoisparler.. L'imagination alors ardente & fage, n'entaflTei... | |
| 1773 - 350 pages
...perii ! &c. a été rendu fupérieurement par Racine. Phèdre dit à JEnone , en parlant d'Hjpfolite. Athènes me montra mon fuperbe ennemi ! Je le vis, je rougis, je fîlis à fa, vue. . fj Un trouble s'eleva dans mon ame éperdue ! Mes yeux ne voyoientplus , je ne... | |
| Voltaire - 1775 - 442 pages
...ce qu'elle dit ferait une amplification fatigante , fi c'était une autre qui parlât de la paflion de Phèdre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi....je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir... | |
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