L'abbé F. Galiani correspondance avec Madame D'Épinay--Madame Necker, Madame Geoffrin, etc. ...: entièrement rétablie d'après les autographes augm. de tous les passages suprimés et d'un grand nombre de lettres inédites, Volume 1C. Lévy, 1881 |
Autres éditions - Tout afficher
L'abbé F. Galiani correspondance avec madame d'Epinay -- madame ..., Volume 1 Ferdinando Galiani Affichage du livre entier - 1890 |
Expressions et termes fréquents
abbé Terray Adieu affaires Aimez-moi Aliano ambassadeur amis aura avez Bagarre baron de Gleichen belle dame blés Bonsoir cause charmant cher abbé chevalier de Chastellux cœur commerce comte crois Croismare d'Alembert d'écrire d'Ennery d'Holbach diable Dialogues Diderot Dieu dire donner duc de Choiseul ducats économistes écrire écrit écrivait enfin envoyé fâché femme Ferté-Imbault Fréron Gatti Gazette Grimm homme Inédite J'ai reçu j'aime j'avais j'en jamais jour l'abbé Galiani l'abbé Morellet l'abbé Terray l'argent l'exportation laissé lettre livre m'avez m'en MADAME D'ÉPINAY Naples madame Geoffrin madame Necker mademoiselle mademoiselle Clairon Magallon mandé Marmontel marquis médailles ment Merlin mieux mille choses ministre monde monsieur mort n'ai n'en napolitain Nicolaï ouvrage Panurge parler passer payer Pellerin personne philosophe plaisanterie plaisir présent prince raison répondre reste rien Rome Russes s'il sais Sartine Schomberg secrétaire semaine sera seul soir Suard Tanucci tête tion trouve veux voilà Voltaire voulez Zarillo
Fréquemment cités
Page 420 - Catilina, César. Mais le parti des grands avait besoin d'un jurisconsulte et d'un savant, car les grands seigneurs, en général, ne savent ni lire ni écrire. Il sentit donc qu'on aurait plus besoin de lui dans le parti des grands et qu'il y jouerait un rôle plus brillant. Il s'y jeta, et dès lors on vit un nouveau parvenu mêlé avec les patriciens.
Page xxxi - ... de l'àpropos, et le sel d'une allusion imprévue et ingénieuse. Figurez-vous, avec cela, dans sa manière de conter et dans sa gesticulation, la gentillesse la plus naïve, et voyez quel plaisir devait nous faire le contraste du sens profond que présentait le conte avec l'air badin du conteur. Je n'exagère point en disant qu'on oubliait tout pour l'entendre quelquefois des heures entières.
Page 510 - ... devinerait à peine la place. Mes yeux sont enfoncés de trois pouces, mes joues sont du vieux parchemin mal collé sur des os qui ne tiennent à rien. Le peu de dents que j'avais est parti. Ce que je vous dis là n'est point coquetterie : c'est la pure vérité. On n'a jamais sculpté un pauvre homme dans cet état. M. Pigalle croirait qu'on s'est moqué de lui ; et, pour moi, j'ai tant d'amour-propre, que je n'oserais jamais paraître en sa présence.
Page 285 - J'ai les pieds sur un fauteuil, parce que je n'ai plus de table autour de moi. Sur ce fauteuil sont vos trois dernières lettres, des clefs, des mémoires...
Page 459 - J'attends avec impatience que vous répondiez à ces objections. vous, je vous commencerai mon extrait par un conte. Feu M. l'abbé de Bragelongne, de l'Académie des sciences, bon géomètre et homme fort dévot, fit un jour un petit catéchisme à l'usage de ses confrères ; il l'apporta à une séance, et le tenant sur sa main, il dit aux académiciens ; « Messieurs, vous voulez tous être sauvés, je n'en doute pas; eh bien, il ne s'agit que de croire le contenu de ce livret; voyez, messieurs,...
Page 510 - C'est ainsi, madame, vous le savez, que tout spectacle amuse les hommes; on va également aux Marionnettes, au feu de la Saint-Jean, à l'Opéra-Comique, à la grand'messe, à un enterrement.
Page 503 - Je n'en ai encore lu que les deux tiers ; j'attends le dénouement de la pioca avec une grande impatience. On n'a jamais raisonné ni mieux, ni plus plaisamment. Oh ! le plaisant livre, le charmant livre que les Dialogues sur le commerce des Bleds.
Page 516 - ... à sa terre, à prouver que son valet de chiens aurait tout aussi bien fait le livre De l'Esprit que lui. Wilkes n'est plus en faveur, parce qu'incessamment il sera ruiné, et que sans nous en apercevoir nous prenons les devants avec le malheur, et que nous rompons avant qu'il soit arrivé, parce qu'il serait malhonnête de rompre après. Le chevalier de Chastellux est cloué quelque part; et quand on est jeune, ce clou-là tient bien fort. La Baronne dit que l'abbé Coyer est du. miel de Narbonne...
Page 228 - Marmontel trouve l'exemple digne d'être imité, et vous, madame, vous faites combattre deux de vos plus belles vertus, la pudeur et la politesse, et, dans cette souffrance, vous trouvez que je suis un petit monstre plus embarrassant qu'odieux. « On annonce qu'on a servi. Nous sortons, les autres font gras, moi je fais maigre...
Page xlvii - Je vous fais, mon cher d'Alembert, mes adieux ; je n'ai pas eu le courage de prendre congé de vous; ce sont des moments terribles pour un cœur sensible de se séparer pour toujours de ses amis et des personnes qu'on aime et qu'on estime et honore, et qui ont fait le bonheur de ma vie pendant mon séjour dans ce pays-ci.