Collection complete des memoires relatifs a l'histoire de France, depuis le regne de Philippe Auguste jusqu'au commencement du dix-septieme siecleFoucault., 1829 |
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... demander qu'on fît partir un second bâtiment . « Ce que vous projetez , lui dis - je , ne sauroit avoir < « < lieu : songez que la saison est déjà fort avancée , et qu'avant que les vivres soient en état de venir , les « gelées ...
... demander qu'on fît partir un second bâtiment . « Ce que vous projetez , lui dis - je , ne sauroit avoir < « < lieu : songez que la saison est déjà fort avancée , et qu'avant que les vivres soient en état de venir , les « gelées ...
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... demander au bourg → mestre , car le gouverneur n'avoit nulle inspection sur cette garde . Bart n'en voulut rien faire sur son re- fus , je me mis en devoir d'y aller moi - même . Je mis mon habit bleu , sous lequel ils me considéroient ...
... demander au bourg → mestre , car le gouverneur n'avoit nulle inspection sur cette garde . Bart n'en voulut rien faire sur son re- fus , je me mis en devoir d'y aller moi - même . Je mis mon habit bleu , sous lequel ils me considéroient ...
Page 26
... homme m'aperçut , il se jeta à mon cou , m'embrassa , et pleura de joie . Je l'amenai dans mon bord , où je lui fis bonne chère . J'écrivis ce même jour à M. de Pontchartrain pour lui demander la li- 26 [ 1692 ] MÉMOIRES.
... homme m'aperçut , il se jeta à mon cou , m'embrassa , et pleura de joie . Je l'amenai dans mon bord , où je lui fis bonne chère . J'écrivis ce même jour à M. de Pontchartrain pour lui demander la li- 26 [ 1692 ] MÉMOIRES.
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jour à M. de Pontchartrain pour lui demander la li- berté d'un homme à qui j'étois redevable de la mienne . Ce ministre eut la bonté de m'accorder au - delà de ce que je lui demandois ; car outre la liberté qu'il accor- doit à mon ...
jour à M. de Pontchartrain pour lui demander la li- berté d'un homme à qui j'étois redevable de la mienne . Ce ministre eut la bonté de m'accorder au - delà de ce que je lui demandois ; car outre la liberté qu'il accor- doit à mon ...
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... veux bien , me dit - il ; mais aupara- « vant j'ai une grâce à te demander.— De quoi s'agit- « < il ? lui répliquai - je . Tu peux m'accorder facile- « ment ce que je souhaite , repartit - il DU COMTE DE FORBIN . [ 1696 ] 45.
... veux bien , me dit - il ; mais aupara- « vant j'ai une grâce à te demander.— De quoi s'agit- « < il ? lui répliquai - je . Tu peux m'accorder facile- « ment ce que je souhaite , repartit - il DU COMTE DE FORBIN . [ 1696 ] 45.
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Expressions et termes fréquents
abordage aller alloit Ancône arriva artimon assez auroit avoient avois avoit ayant barque Bart bâtimens bord Brest Brindes brûler Cadix canot capitaine cardinal de Janson Céphalonie chaloupe chargé chevalier chose combat commandant comte corsaires côté coups de canon cour Courserac d'aller démâté Deschiens devoit donner Druys Duguay Dunkerque ennemis équipage escadre escortée étoient étoit faisoit flessinguois flotte Forbin frégate golfe gros vaisseaux hollandais hommes j'ai j'allois j'aurois j'avois j'en j'envoyai j'étois j'eus joindre jours l'armée l'escadre laisser long-temps m'avoit m'en maître Majesté marine mât matelots mer Adriatique mettre ministre misaine mouiller mousqueterie n'étoit n'y avoit navire nuit officiers ordre passer pavillon Pontchartrain port Port-Louis portugais pouvoit prendre pris rade reçus répondit reste rien route s'étoient Saint-Malo sauver seaux secours seroit service sieur soldats Sorlingues sorte tirer Toulon Tourouvre Trieste troupes trouvai vais vaisseau anglais vaisseaux de guerre Vénitiens venoit vent vergues vint voiles vouloit voulut
Fréquemment cités
Page 452 - insignia virtus. et stable à toujours, nous avons fait mettre notre scel à cesdites présentes. Donné à Versailles au mois de juin l'an de grâce mil sept cent neuf, et de notre règne le soixanteseptième. Et plus bas : Signé Louis. Par le Roi, Phelipeaux. FIN DES MÉMOIRES DE
Page 452 - nonobstant toutes ordonnances, arrêts et réglemens à ce contraires, auxquels, et aux dérogatoires y contenus, nous avons dérogé et dérogeons par cesdites présentes ; car tel est notre plaisir. Et afin que ce soit chose ferme (i) Les armoiries sont un
Page 452 - hœc insignia virtus. Sans que, pour raison des présentes, lesdits sieurs Trouin et leurs descendans soient tenus de nous payer, ni à nos successeurs rois, aucune finance ni indemnité, dont nous leur avons fait et faisons don par cesdites présentes, à la charge de vivre noblement, et de ne faire aucun acte dérogeant à noblesse
Page 452 - d'argent à une ancre de sable, et un chef d'azur chargé de deux fleurs de lis d'or; cet écu timbré d'un casque de profil, orné de ses lambrequins d'or, d'azur, d'argent et de sable; et au-dessus,
Page 414 - comme aussi de faire payer aux habitans « de cette colonie des contributions suffisantes pour « les punir de leurs cruautés, et qui puissent dédom« mager amplement Sa Majesté de la dépense qu'elle « a faite pour un armement aussi considérable. Je n'ai « point voulu vous sommer de vous rendre que je ne
Page 230 - se séparer sans un accident imprévu. Alors « mes soldats font feu sur l'avant et sur l'arrière de « l'ennemi, dans lequel ils font pleuvoir un orage de « grenades jetées sans interruption, et en si grande « quantité qu'il ne sauroit les soutenir long-temps. « Dès queje m'aperçois qu'il commence à s'ébran« 1er, je m'avance le premier, en criant à l'équipage
Page 414 - me sois vu en état de vous y contraindre, et de ré« duire votre pays et votre ville en cendres, si vous ne « vous rendez à la discrétion du Roi mon maître, qui « m'a commandé de ne point détruire ceux qui se sou« mettront de bonne grâce, et qui se repentiront de
Page 302 - jusqu'à mon retour d'Angleterre. Je pris la poste pour l'aller joindre, et je trouvai ce vaisseau mouillé aux rades de La Rochelle : il ne lui manquoit rien pour partir. Je montai dessus le lendemain ; et, cinglant en haute mer, j'établis ma croisière sur les côtes d'Angleterre et d'Irlande. J'y pris d'abord cinq vaisseaux chargés de
Page 302 - de sucre, et un sixième chargé de mâts et de pelleteries, venant de la .Nouvelle-Angleterre : ce dernier s'étoit séparé depuis deux jours d'une flotte de soixante voiles, escortée par deux vaisseaux de guerre anglais, l'un nommé le Sans-Pareil, de cinquante canons; l'autre, le
Page 374 - coup au vent, et par ce mouvement son beaupré se trouva engagé dans mes grands haubans, avant que de lui avoir riposté d'un seul coup de canon; en sorte que toute mon artillerie chargée à double charge, et ma mousqueterie l'enfilant de l'avant à l'arrière, ses ponts et ses gaillards furent dans un