Essai sur les monnaies du Comté de Bourgogne depuis l'époque gauloise jusqu'à la réunion de la Franche-Comté à la France, sous Louis XIV

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A. Aubry, 1865 - 287 pages
 

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Fréquemment cités

Page 22 - Le cercle que l'on remarque quelquefois, et qui donne au grènetis l'aspect d'un chapelet, vient de ce que l'artiste traçait d'abord au compas un rond sur le coin, afin de suivre plus régulièrement le contour. Le centre où reposait l'une des branches du compas était souvent marqué d'un petit trou, qui produisait sur les pièces un point...
Page 21 - Toute la partie de la Gaule située à l'ouest de l'Escaut , de la Meuse, de la Saône et du Rhône , avec le nord de l'Espagne jusqu'à l'Èbre, fut laissée au roi Charles surnommé le Chauve.
Page 22 - Le burin rectifiait les imperfections de ce travail expéditif, et la trempe durcissait ensuite les coins. L'emploi du procédé que j'indique avait pour effet d'occasionner aux arêtes des lettres une espèce de renflement causé par l'écartement du métal. Ce renflement est visible sur beaucoup de monnaies. Les...
Page 22 - Les coins étaient des morceaux de fer poli, dont la surface avait été égalisée à la lime (ce qui explique les raies transversales du champ de quelques pièces carlovingiennes), sur lesquels les lettres étaient enfoncées à l'aide d'un petit nombre de caractères très simples, qui variaient suivant l'époque et les exigences graphiques. Le burin rectifiait les imperfections de ce travail expéditif, et la trempe durcissait ensuite les coins.
Page 143 - ... plainement et paisiblement joyr et user, sans leur faire, mectre ou donner, ne souffrir estre fait, mis ou donné , ores ne pour le temps advenir, quelconque destourbier ou empeschement au contraire; car ainsi nous plaist-il.
Page 130 - Phelippe, duc de Bourgongne, comte de Flandres, d'Artois et de Bourgongne, Palatin, seigneur de Salins et de Malines , à nostre amé et féal conseiller et receveur général de Bourgongne , Mathieu Regnault , salut et dilection.
Page 141 - Ducs d'Austrice, de Bourgoigne, de Lothier, de Brabant, de Lembourg, de Luxembourg et de...
Page 10 - Impatronisés sur les domaines des propriétaires gaulois, ayant reçu ou pris, à titre d'hospitalité, les deux tiers des terres et le tiers des esclaves, ce qui probablement équivalait à la moitié de tout, ils se faisaient scrupule de rien usurper au-delà.

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