L'obstacle imprévu. Le dissipateur, ou L'honneste friponneB. Gibert, 1754 |
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... jour de leurs nôces : dès le lendeinain ils vont chercher fortune ailleurs . PASQUI N. Et leurs Femmes auffi . Voilà ce que s'attirent ces Maris du bel air . VALER E .. D'ailleurs , veux - tu que je te parle net ? Je ne me fens plus qu ...
... jour de leurs nôces : dès le lendeinain ils vont chercher fortune ailleurs . PASQUI N. Et leurs Femmes auffi . Voilà ce que s'attirent ces Maris du bel air . VALER E .. D'ailleurs , veux - tu que je te parle net ? Je ne me fens plus qu ...
Page 14
... jour , fans leur dire autre chote que ce qu'il leur ont dit mil- - le fois . Que vous êtes belle ! Que je vous aime ! Je mourrois plutôt que de vous être infidèle . Pro- mettez - moi , ma charmante , que vous m'aimerez 141 L'OBSTACLE ...
... jour , fans leur dire autre chote que ce qu'il leur ont dit mil- - le fois . Que vous êtes belle ! Que je vous aime ! Je mourrois plutôt que de vous être infidèle . Pro- mettez - moi , ma charmante , que vous m'aimerez 141 L'OBSTACLE ...
Page 18
... jour , mon Gendré . VALERE à part . Mon Gendre ! Pefte foit de la Provinciale..J LA COMTES SE .. De quoi parliez - vous ? que je ne vous interrompe point . ANGELIQUE . Nous parlions de lecture , & je confeillois - à Monfieur .... LA COM ...
... jour , mon Gendré . VALERE à part . Mon Gendre ! Pefte foit de la Provinciale..J LA COMTES SE .. De quoi parliez - vous ? que je ne vous interrompe point . ANGELIQUE . Nous parlions de lecture , & je confeillois - à Monfieur .... LA COM ...
Page 28
... jour un preffentiment de ce malheur - là . LISIMO N. Impudente , je me lafferai .... NERIN E. Tenez , voici ma Maîtreffe . Expliquez - vous avec elle . SCENE VII . LISIMON , JULIE , NERINE .. O LISIM O N .. H çà , je n'ai pas de longs ...
... jour un preffentiment de ce malheur - là . LISIMO N. Impudente , je me lafferai .... NERIN E. Tenez , voici ma Maîtreffe . Expliquez - vous avec elle . SCENE VII . LISIMON , JULIE , NERINE .. O LISIM O N .. H çà , je n'ai pas de longs ...
Page 39
... Jour de Dieu ! quand il fera mon Gendre , je le fe- rái marcher droit . Je veux que ma Fille ait un Mari qui l'adore .. VALERE.- Cherchez vos benêts en Province . PAS QUI N. Chaque Païs , chaque mode . VALERE . - Voulez - vous que je ...
... Jour de Dieu ! quand il fera mon Gendre , je le fe- rái marcher droit . Je veux que ma Fille ait un Mari qui l'adore .. VALERE.- Cherchez vos benêts en Province . PAS QUI N. Chaque Païs , chaque mode . VALERE . - Voulez - vous que je ...
Expressions et termes fréquents
affez aime ainfi ANGELIQUE Aparemment ARAMINTE ARSINO ARTENICE auffi avez avoit BARON c'eft C'eſt charmé chofe CIDALIS CIDALISE CLARICE Cléon cœur COMTE Comteffe connoître CRISPIN crois DAMIS difcours dire efprit Eft-ce eft-il époufer eſt êtes étoit fage fans fçais fçavez fçavoir fecond fecret Femme fens fera feroit fervir feul Fille fincére FINET foin foit fommes font fouffrir fouvent fuffit GERONTE grace homme ISABELLE j'ai j'en fuis j'étois joye jufqu'à jufte JULIE l'amour l'efprit laiffe LEANDRE LICAN DRE LICANDRE Lifette LISET LISIDOR LISIMON long-tems m'en Madame Mademoiſelle Maître Maîtreffe Monfieur Mr JOSSE n'eft n'eſt NERIN Nérine Oncle paffe Parbleu parler paroît PASQUI PASQUIN penfer Pere perfonne Philinte Philofophe plaifir POLEM POLEMON prefent puifque raifon refpect refte révérence rien s'eft s'il vous plaît SCENE PREMIERE SCENE VII tems tendreffe TESS vais VALER VALERE veux voilà vois
Fréquemment cités
Page 63 - L'un veut toujours briller, l'autre brille, en effet, Sans jamais y prétendre, et sans même le croire. L'un est superbe et vain ; l'autre n'a point de gloire ; Le faux aime le bruit; le vrai craint d'éclater; L'un aspire aux égards, l'autre à les mériter. Je dirai plus. Les gens nés d'un sang...
Page 92 - Est-ce là le retour Dont vous payez mes soins? Suivi de ma famille, Dois-je venir ici vous présenter ma fille, Vous priant à genoux de vouloir l'accepter? Si tu te l'es promis, tu n'as qu'à décompter. Ma fille vaut bien peu, si l'on ne la demande. Je te baise les mains, et je me recommande A ta grandeur. Adieu. SCÈNE X. LE COMTE, seul. Que ces gens inconnus Sont fiers! Voilà l'orgueil de tous nos parvenus.
Page 93 - C'est peu qu'à leurs grands biens notre gloire s'immole, II faut, pour les avoir, fléchir devant l'idole. Ah! maudite Fortune, à quoi me réduis-tu? Si tes coups redoublés ne m'ont point abattu, Veux-tu m'humilier par l'appât des richesses, Et n'at-on tes faveurs qu'à force de bassesses ? ACTE V SCÈNE PREMIÈRE.
Page 107 - En sondant votre cœur, j'ai frémi, j'ai tremblé. Mais, malgré votre orgueil, la nature a parlé. Qu'en ce moment pour moi ce triomphe a de charmes ! Je dois donc maintenant terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils, rassurez-vous. Nos malheurs sont finis. Le Ciel, enfin pour nous devenu plus propice, A de mes ennemis confondu la malice.
Page 14 - La déclaration se fait dès le premier abord; si la belle s'en scandalise, ce qui n'arrive guère, on s'en moque, et on n'y revient pas : si elle prend la chose de bonne grâce, on lui fait des protestations; elle y répond , voilà qui est fait : ensuite...
Page 62 - Dites votre amour-propre. Oui , tout me le fait croire. Vous avez moins d'amour que vous n'avez de gloire. LE COMTE. L'un et l'autre m'anime , et la gloire que j'ai Soutient les intérêts de l'amour outragé.
Page 62 - J'en attendais de vous un plus juste retour, Et ma vivacité vous prouve mon amour. ISABELLE. Dites votre amour-propre. Oui , tout me le fait croire. Vous avez moins d'amour que vous n'avez de gloire.
Page 48 - Oh ! bien, tu t'y feras, mon enfant. Sur les tiennes, A mon âge, crois-tu que je forme les miennes?
Page 199 - Pour aller l'enterrer nous songeons à partir, Quand un autre courrier, qui jusqu'au cœur nous frappe Arrive et nous apprend que le traître en réchappe, Malgré deux médecins qui ne le quittent pas ! FINETTE. Deux médecins n'ont pu lui donner le trépas? Il ne mourra jamais.
Page 87 - J'entends. La vanité me déclare à genoux Qu'un père infortuné n'est pas digne de vous. Oui, oui, j'ai tout perdu par l'orgueil de ta mère, Et tu n'as hérité que de son caractère.