Oeuvres, Volume 2Paulin, 1836 |
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Page 241
... campagnard , père d'Angé- lique . MADAME DE SOTENVILLE . CLITANDRE , amant d'Angélique . CLAUDINE , suivante d'Angélique . LUBIN , paysan , servant Clitandre . COLIN valet de George Dandin . 11 . 16 GEORGE DANDIN, ...
... campagnard , père d'Angé- lique . MADAME DE SOTENVILLE . CLITANDRE , amant d'Angélique . CLAUDINE , suivante d'Angélique . LUBIN , paysan , servant Clitandre . COLIN valet de George Dandin . 11 . 16 GEORGE DANDIN, ...
Page 244
... Claudine , qui , tout du premier coup , a compris ce que je voulois , et qui m'a fait parler à sa maîtresse . GEORGE DANDIN , à part . Ah ! coquine de servante ! LUBIN . Morguienne ! cette Claudine - là est tout - à - fait jolie ; elle ...
... Claudine , qui , tout du premier coup , a compris ce que je voulois , et qui m'a fait parler à sa maîtresse . GEORGE DANDIN , à part . Ah ! coquine de servante ! LUBIN . Morguienne ! cette Claudine - là est tout - à - fait jolie ; elle ...
Page 250
... CLAUDINE . MADAME DE SOTENVILLE . Pour ce qui est de cela , la jalousie est une étrange chose ! J'amène ici ma fille pour éclaircir l'affaire en présence de tout le monde . CLITANDRE , à Angélique . Est - ce donc vous , madame , qui ...
... CLAUDINE . MADAME DE SOTENVILLE . Pour ce qui est de cela , la jalousie est une étrange chose ! J'amène ici ma fille pour éclaircir l'affaire en présence de tout le monde . CLITANDRE , à Angélique . Est - ce donc vous , madame , qui ...
Page 251
... Claudine ! CLITANDRE , à Claudine . Est - il vrai ? CLAUDINE . Par ma foi , voilà une étrange fausseté ! George dandin . Taisez - vous , carogne que vous êtes . Je sais de vos nou- velles ; et c'est vous qui tantôt avez introduit le ...
... Claudine ! CLITANDRE , à Claudine . Est - il vrai ? CLAUDINE . Par ma foi , voilà une étrange fausseté ! George dandin . Taisez - vous , carogne que vous êtes . Je sais de vos nou- velles ; et c'est vous qui tantôt avez introduit le ...
Page 252
... CLAUDINE . MADAME DE SOTENVILLE , à George Dandin . Allez , vous ne méritez pas l'honnête femme qu'on vous a donnée . CLAUDINE . Par ma foi , il mériteroit qu'elle lui fît dire vrai , et si j'étois en sa place , je n'y marchanderois pas ...
... CLAUDINE . MADAME DE SOTENVILLE , à George Dandin . Allez , vous ne méritez pas l'honnête femme qu'on vous a donnée . CLAUDINE . Par ma foi , il mériteroit qu'elle lui fît dire vrai , et si j'étois en sa place , je n'y marchanderois pas ...
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Expressions et termes fréquents
ADRASTE AGLAURE ALCMÈNE Allons amant amour AMPHITRYON ANAXARQUE ANGÉLIQUE ARGAN ARISTE ARISTIONE ARMANDE avez beau BÉLINE BÉLISE belle BÉRALDE bergers chanter charmes chose CHRYSALE ciel CLAUDINE CLEANTE CLEANTHIS CLÉONTE CLITANDRE CLITIDAS cœur COMTESSE connoître COVIELLE DAPHNE dieu dire DON PÈDRE DORANTE DORIMÈNE DORINE doux ÉLISE ELMIRE ENTRÉE DE BALLET ÉRASTE ÉRIPHILE Est-ce êtes femme fille FROSINE GEORGE DANDIN GÉRONTE grace HARPAGON HENRIETTE homme IPHICRATE j'ai j'en JULIE l'amour LÉANDRE LUBIN LYCARSIS m'en MADAME DE SOTENVILLE MADAME JOURDAIN MAITRE A DANSER MAITRE DE MUSIQUE MAITRE DE PHILOSOPHIE MAITRE JACQUES MARIANE MÉLICERTE MERCURE monde MONSIEUR DE POURCEAUGNAC MONSIEUR DE SOTENVILLE MONSIEUR DIAFOIRUS MONSIEUR JOURDAIN MONSIEUR PURGON MYRTIL NICOLE OCTAVE ORGON ORONTE parler père PHILAMINTE PHILÈNE POLICHINELLE PSYCHÉ raison rien s'il vous plaît sais sauroit SBRIGANI SCAPIN SCÈNE PREMIÈRE SCÈNE VII SGANARELLE SOSIE SOSTRATE SYLVESTRE TARTUFE TIRCIS TOINETTE TRISSOTIN VALÈRE veut veux vœux voilà vois voudrois voulez-vous yeux
Fréquemment cités
Page 356 - Au voleur ! au voleur ! à l'assassin ! au meurtrier ! Justice, juste ciel ! je suis perdu, je suis assassiné ; on m'a coupé la gorge : on m'a dérobé mon argent. Qui peut-ce être ? Qu'est-il devenu ? Où est-il ? Où se cache-t-il ? Que ferai-je pour le trouver ? Où courir ? Où ne pas courir ? N'est-il point là ? N'est-il point ici ? Qui est-ce ? Arrête.
Page 518 - Oui ; mais on y voit des grâces qu'on ne voit point aux autres bouches ; et cette bouche, en la voyant, inspire des désirs, est la plus attrayante, la plus amoureuse du monde.
Page 741 - Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d'à présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles veulent écrire et devenir auteurs. Nulle science n'est pour elles trop profonde, Et céans, beaucoup plus qu'en aucun lieu du monde : Les secrets les plus hauts s'y laissent concevoir, Et l'on sait tout chez moi, hors ce qu'il faut savoir. On y sait comment vont lune, étoile polaire, Vénus, Saturne et Mars, dont je n'ai point affaire...
Page 144 - Oui, mon frère, je suis un méchant, un coupable, Un malheureux pécheur, tout plein d'iniquité, Le plus grand scélérat qui jamais ait été. • Chaque instant de ma vie est chargé de souillures...
Page 117 - Je ne suis point, mon frère, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n'est pas tout retiré ; Mais, en un mot, je sais, pour toute ma science, Du faux avec le vrai faire la différence ; Et, comme je ne...
Page 118 - Et leur âme est portée à juger bien d'autrui. Point de cabale en eux, point d'intrigues à suivre ; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien vivre. Jamais contre un pécheur ils n'ont d'acharnement : Ils attachent leur haine au péché seulement, Et ne veulent point prendre, avec un zèle extrême, Les intérêts du Ciel plus qu'il ne veut lui-même.
Page 741 - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 260 - C'est une chose merveilleuse que cette tyrannie de messieurs les maris; et je les trouve bons de vouloir qu'on soit morte à tous les divertissements et qu'on ne vive que pour eux ! Je me moque de cela, et ne veux point mourir si jeune.
Page 98 - Si l'emploi de la comédie est de corriger les vices des hommes, je ne vois pas par quelle raison il y en aura de privilégiés.
Page 117 - Et prêchent la retraite au milieu de la Cour, Qui savent ajuster leur zèle avec leurs vices, Sont prompts, vindicatifs, sans foi, pleins d'artifices, Et pour perdre quelqu'un, couvrent insolemment, De l'intérêt du Ciel leur fier ressentiment; D'autant plus dangereux dans leur âpre colère, Qu'ils prennent contre nous des armes qu'on révère, Et que leur passion dont on leur sait bon gré. Veut nous assassiner avec un fer sacré.