...XXVII, 3o» XXVIII, 7; Polybe, V, 24, 38, 1g, ioo;Appien, IV, 2. ' Plutarque, De Mulicr. rirtut. m; Appien, IX, 3. autant le Grec déteste par instinct...plus grandes garanties de docilité, et à éviter le nom de sujette à force de soumission. La fidélité des cités grecques fut mise à l'épreuve...

...Polybe.V, iti, 28, ag, ioo;Appien, IV, j. * Plutarque, De Mulicr. rirtat. ni; Appicn, IX, 3. autant te Grec déteste par instinct l'étranger puissant, autant...grande somme possible de liberté par les plus grandes garantie de docilité, et à éviter le nom de sujette à force de soumission. La fidélité des cités...

...dessiner d'un ' trait rapide ces sortes de physionomies. Il écrivait, par exemple ', « qu'autant le Grec déteste par instinct l'étranger puissant, autant il l'aime par vanité » , que , si les Romains ont été une nation conquérante, c'est moins par amour de la gloire que...

...le titre d'ami, d'allié, d'affranchi du peuple romain; tous les Grecs s'y laissaient prendre; car autant le Grec déteste par instinct l'étranger puissant, autant il l'aime par vanité »('). L'oligarchie surtout, avec un sens très avisé, s'appliqua à « sauver le plus de liberté possible par la docilité,...

...excellait à dessiner d'un trait rapide ces sortes de physionomies. Il écrivait, par exemple, « qu'autant le Grec déteste par instinct l'étranger puissant, autant il l'aime par vanité, » que,si les Romains ont été une nation conquérante, c'est moins par amour de la gloire que par...

...excellait à dessiner d'un trait rapide ces sortes de physionomies. Il écrivait, par exemple, « qu'autant le Grec déteste par instinct l'étranger puissant, autant il l'aime par vanité, » que, si les Romains ont été une nation conquérante, c'est moins par amour de la gloire que par...