...FLEURY. Et qui, quand M. de Marville lui avoit envoyé cette comédie, (i) lui rcpondoit le l3: » Vous jugez bien, monsieur, que je n'ai encore rien...connoissance y ont été aujourd'hui. Voici ce qu'on m'a dit : , s C'est l'énormité en fait d'infamies, *•-" • T«w-;"^;WB«w«'* WM.&'4S.M-«.w«r«c••«w-«....

...religion. Je suis, etc. » Et Marville, lui ayant envoyé cette comédie, il lui répondit, le i3 : « Vous jugez bien, monsieur, que je n'ai encore rien...qu'il faut défendre la pièce. Trois personnes de ma connaissance y ont été aujourd'hui. Voici ce qu'on m'a dit : c'est l'énormité en fait d'infamies,...

...religion. Je suis, etc. » Et Marville, lui ayant envoyé cette comédie, il lui répondit, le i3 :« Vous jugez bien, monsieur, que je n'ai encore rien...qu'il faut défendre la pièce. Trois personnes de ma connaissance y ont été aujourd'hui. Voici ce qu'on m'a dit : c'est Ténormité en fait d'infamies,...

...Joly de Fleury, procureur général, ii M. de Marville. Lundi, 13 août 1742, à dix heures du soir. Vous jugez bien, Monsieur, que je n'ai encore rien...voici ce qu'on m'a dit. C'est l'énormité en fait d'infârcie, de scélératesse, d'irréligion et d'impiété, et c'est ce que disent ceux 1 . Louis...

...Joly de Fleury, procureur général, à M. de Marville. Lundi, 13 août 1742, à dix heures du soir. Vous jugez bien, Monsieur, que je n'ai encore rien...voici ce qu'on, m'a dit. C'est l'énormité en fait d'infamie, de scélératesse, d'irréligion et d'impiété, et c'est ce que disent ceux 1 . Louis le...

...de M. le procureur général à M. de Manille en date du lundi 13 août 1742, à dix heures du soir. Vous jugez bien, Monsieur, que je n'ai encore rien lu; mais, sur 1. Un arrêt du Conseil, du 12 septembre suivant, annula la « qualification donnée à l'écrit »...

...M. le procureur général à M. de Marville en date du lundi 13 août 1742, à dix heures du soir. Vous jugez bien, Monsieur, que je n'ai encore rien lu; mais, sur 1. Un arrêt du Conseil, du 12 septembre suivant, annula la c qualification donnée à l'écrit »...