Essai sur la philosophie du Christianisme, considérée dans ses rapports avec la philosophie moderne, Volume 2Lagny, 1841 |
Autres éditions - Tout afficher
Essai sur la philosophie du Christianisme, considérée dans ses ..., Volume 2 abbé Cacheux (Narcisse) Affichage du livre entier - 1841 |
Essai Sur La Philosophie Du Christianisme, Considérée Dans Ses ..., Volume 1 Cacheux (Narcisse Abbe) Aucun aperçu disponible - 2018 |
Essai Sur la Philosophie Du Christianisme, Considérée Dans Ses Rapports Avec ... Cacheux (Narcisse Abbé) Aucun aperçu disponible - 2013 |
Expressions et termes fréquents
1er juin abîmes apôtres aurait-il Bautain Benjamin Constant Bossuet brille caractère catholicisme catholique céleste charité Chateaubriand choses Christ Christianisme ciel cœur conscience conséquences Cours de philosophie croyances culte développement Dieu divine doctrine dogmes éclairée élémens esprits éternelle Euripide eût événemens facultés féconde flambeau flots force génie George Sand gloire Grèce hommes idées intellectuelle Jésus-Christ justice l'âme l'Église l'esprit humain l'Évangile l'histoire l'homme l'humanité l'intelligence l'unité l'univers lâtres liberté logique lois loppement lumière M. V. Cousin manifeste ment métaphysique miracles moderne monde monumens morale mystères nations nature nisme ombres Origène paganisme pensée pères de l'Église peuples phénomènes Platon polythéisme principe professé par M. V. profondeur progrès prophéties Psychologie expérimentale puissance qu'un rapports rayons réalité religieux Religion considérée révélation romaine Rome s'écrie science sentimens sentiment serait seule siècles société soleil Sophocle source sublime systèmes ténèbres terre Tertullien théologie tianisme tion tradition universelle vérité chrétienne vrai
Fréquemment cités
Page 92 - Gengiskan, qui ont dévasté l'Asie; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 63 - Et moi je te dis que tu es Pierre, et sur cette pierre je bâtirai mon Eglise, et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
Page 61 - Et moi je te dis que tu es Pierre et sur cette pierre je bâtirai mon Église et les portes de l'enfer ne prévaudront point contre elle.
Page 80 - Pasteur général du troupeau , il peut ou contenir les fidèles dans les devoirs ou les défendre de l'oppression. Ses États, assez grands pour lui donner l'indépendance , trop petits pour qu'on ait rien à craindre de ses efforts, ne lui laissent que la puissance de l'opinion; puissance admirable quand elle...
Page 93 - Dans le moyen âge où il n'y avait point d'ordre social , la papauté seule sauva peut-être l'Europe d'une entière barbarie. Elle créa des rapports entre les nations les plus éloignées; elle fut un centre commun, un point de ralliement pour les Etats isolés...
Page 80 - Le mal passager que quelques mauvais papes ont fait a disparu avec eux ; mais nous ressentons encore tous les jours l'influence des biens immenses et inestimables que le monde entier doit à la cour de Rome. Cette cour s'est presque toujours montrée supérieure à son siècle. Elle...
Page 419 - D'ailleurs , sa bonté et sa sagesse le portent à diriger nos actions vers ce qu'il ya de meilleur , et il a le pouvoir de nous y obliger par des récompenses et des punitions d'un poids et d'une durée infinie dans une autre vie; car personne ne peut nous enlever de ses mains. C'est la seule pierre de touche par où l'on peut juger de la rectitude morale ; et c'est en...
Page 230 - La supposition que toutes les religions sont indifférentes n'est pas soutenable en bonne philosophie. Il n'ya pas plus de philosophie sans un premier principe, cause de tous les effets moraux et physiques, qu'il ne peut y avoir d'arithmétique sans une unité première, mère de tous les nombres, ou de géométrie sans un premier point générateur des lignes, des surfaces et des solides.
Page 81 - ... à adoucir nos mœurs, à nous tirer de notre ignorance, à nous arracher à nos coutumes grossières ou féroces. Les papes, parmi nos ancêtres, furent des missionnaires des arts envoyés à des barbares, des législateurs chez des Sauvages. « Le règne seul de Charlemagne, dit Voltaire, eut une lueur de politesse qui fut probablement le fruit du voyage de Rome.
Page 268 - ... tous en chacun , par une secrète impulsion de l'amour, qui ne sait ce que c'est que posséder, parce qu'il ne jouit que de ce qu'il donne? Ce peuple, semblable aux légers débris abandonnés sur...