 ... acceptant le secours, Je demandai ma force aux sages de nos jours ; Leur sagesse a laissé mon cœur faible et sans arme. Si pourtant, j'évitai l'écueil le plus fatal, Ces chutes où périt même la conscience; Si je discerne encore et déleste...  Journal des demoiselles - Page 221863Affichage du livre entier - À propos de ce livre
 | 1853 - 972 pages
...conscience; Si je discerne encore et déleste le mal. Ali! ce n'est pas un don de l'humaine science! Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...votre enfant. Oui, lorsqu'au fond du mal tombe une âme asservie, Sans retour vers l'honneur quand un homme se perd, Cherchons à son foyer méprisable... | |
 | Alfred Nettement - 1862 - 540 pages
...conscience ; Si je discerne encore et déteste le mal, Ah ! ce n'est pas un don de l'humaine science ! Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...vos prières, Laisse en vos douces mains et chérit mes lisières, 0 ma mère ! et qu'enfin je reste votre enfant. Au bonheur d'avoir une mère chrétienne... | |
 | Arthur La Broderie, Émile Grimaud - 1862 - 516 pages
...Je demandai ma force aux sages de nos jours; Leur sagesse a laissé mon cœur faible et sans arme. Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...vos prières Laisse en vos douces mains et chérit mes lisières, 0 ma mère ! et qu'enfin je reste votre enfant. M. de Laprade définit le beau, la fleur... | |
 | Pierre Augustin Pellissier - 1878 - 332 pages
...conscience; Si je discerne encor et déteste le mal, Ah ! ce n'est pas un don de l'humaine science ! Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...cœur, toujours docile à vos prières, Laisse en vos douces'mains et chérit ses lisières, O ma mère! et qu'enfin je reste votre enfant. Vos jours pleins... | |
 | Louis H. Taché - 1887 - 972 pages
...: Mais, pour me retrouver, du fond de ses ténèbres Je vous voyais marchant au chemin de la croix. Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...Laisse en vos douces mains et chérit ses lisières, O ma mère ! et qu'enfin je reste votre enfant. Et à la tin de ce beau volume qui valut à son auteur... | |
 | Alphonse Dufour - 1892 - 444 pages
...discerne encor et déteste le mal Ah ; ce n'est pas un don de l'humaine science ! Des périlleux sentiers je sors triomphant, C'est que mon cœur, toujours...Laisse en vos douces mains et chérit ses lisières, O ma mère ! et qu'enfin je reste votre enfant. Oui, lorsqu'au fond du mal tombe une âme asservie... | |
 | 1862 - 516 pages
...Je demandai ma force aux sages de nos jours; Leur sagesse a laissé mon cœur faible et sans arme. Des périlleux sentiers si je sors triomphant, C'est...vos prières Laisse en vos douces mains et chérit mes lisières, 0 ma mère ! et qu'enfln je reste votre enfant. M. de Laprade définit le beau, la (leur... | |
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