 | Joseph de La Porte - 1774 - 482 pages
...main , Sc voulut le percer. Le pauvre , fans s'effrayer , lui dit : « frappez :, je crains » auiïî peu la mort que vous ; mais j'ai » plus de courage. Il ya vingt ans que » je vis dans la peine; Sc j'at laiiïé à Dieu » le foin de mettre fin à mes maux. » Rendu à lui-même, Sc... | |
 | Antoine Angélique Chomel - 1777 - 352 pages
..., & voulut en percer fon libérateur , qui lui dit tranquillement : « Frappez : » je crains auffi peu la mort que vous ; » mais j'ai plus de courage. Il ya plus de » vingt ans que je vis dans les peines 8c » l'indigence , & j'ai laifle à Dieu le foin j,... | |
 | 1798 - 448 pages
...l'épéë à la main , et voulut en percer son libérateur qui lui dit tranquillement i « Frappez ! je crains aussi peu la mort que » vous ; mais j'ai plus de courage : il ya plus de vingt ans » que je vis dans les peines et dans l'indigence , et j'ai » laissé à Dieu le... | |
 | 1810 - 414 pages
...main, et voulût en percer son libérateur, qui lui dit tranquillement : « Frappez ; je crains aussj peu la mort que vous; mais » j'ai plus de courage : il y a plus de vingt ans que je » vis dans les peines et dans l'indigence, et j'ai laissé » à Uieu Ifi... | |
 | Pierre Jean Corneille Debreyne - 1847 - 324 pages
...l'épée à la main et voulut en percer son libérateur, qui lui dit tranquillement : « Frappez ! je crains aussi peu la » mort que vous, mais j'ai plus de courage : il ya plus de » vingt ans que je vis dans les peines et dans l'indigence, » et j'ai laissé à Dieu le... | |
 | Alexandre Jacques F. Brierre de Boismont - 1856 - 702 pages
...percer son libérateur qui lui dit tranquillement : « Frappez ! je crains aus>i peu la mort que vous, j'ai plus de courage ; il ya vingt ans que je vis dans les peines et l'indigenco, et j'ai laissé à Dieu le soin de mettre fin à mes maux. » Le gentilhomme, frappé... | |
 | Alexandre-Jacques-François Brierre de Boismont - 1865 - 852 pages
...percer son libérateur qui lui dit tranquillement: « Frappez, je crains aussi peu la mort que vous, j'ai plus de courage ; il ya vingt ans que je vis...et l'indigence, et j'ai laissé à Dieu le soin de mcltre fin à mes maux. » Le gentilhomme, frappé de cette réponse, resta un moment immobile, puis... | |
 | André Guillaume Contant d'Orville - 1770 - 418 pages
...Se voulut en percer fon libérateur , qui lui die tranquillement : « Frappez ; je crains aufll 33 peu la mort que vous , mais j'ai plus » de courage. Il ya plus de vingt ans » que je vis dans les peines & dans 33 l'indigence, & j'ai laifle à Dieu le »... | |
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et j'ai laissé à Dieu le soin de mettre fin à mes maux. » Le gentilhomme, frappé de cette réponse, resta un moment immobile, puis répandit un torrent de larmes, et tira sa bourse qu'il donna à ce vieillard. 