Melanges philosophiques, Volume 61857 |
Expressions et termes fréquents
appelle Aristote assez aura avant avons besoin c'est-à-dire caractère cause cherche chose cœur commun compte condition connaissance conscience conséquent considérer corps d'abord d'autres d'en d'être démonstration dernier développement Dieu dire divine division doctrine doit donner doute effet élevé enfin espèce esprit étude exemple facultés fond force forme général genre Grèce haut homme humain idées inductif infiniment intelligence jour jugement jusqu'à l'âme l'esprit l'homme l'induction l'un légitime lieu livre logique lois lui-même manière ment méthode mieux monde morale moyen n'en nature naturelle nécessaire nombre notion objet observations parler particulier passé pensée peut-être philosophie place portée pourrait premier présente procédé proposition propre propriété psychologie puisse pure qu'à qu'une question raison rapport réelle règles reste rien s'il saurait savant savoir science seconde semble sens sentiment serait seule siècle simple sorte suivant sujet suppose surtout syllogisme termes théorie tion traité trouve vérité veut Voilà vrai
Fréquemment cités
Page 461 - ... pour le croire , fut le vrai fondateur de la société civile. Que de crimes, de guerres, de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui, arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 180 - Le brave enfant faisait de la géométrie sans le savoir, car il avait trouvé, à lui tout seul, que la ligne droite est le plus court chemin d'un point à un autre.
Page 116 - L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Il ne faut pas que l'univers entier s'arme pour l'écraser : une vapeur, une goutte d'eau, suffit pour le tuer. Mais, quand l'univers l'écraserait, l'homme serait encore plus noble que ce qui le tue, parce qu'il sait qu'il meurt, et l'avantage que l'univers a sur lui, l'univers n'en sait rien.
Page 10 - Toutes nos actions et nos pensées doivent prendre des routes si différentes, selon qu'il y aura ' des biens éternels à espérer ou non , qu'il est impossible de faire une démarche avec sens et jugement, qu'en la réglant par la vue de ce point, qui doit être notre dernier objet...
Page 59 - Venez, les bénis de mon Père ; possédez le royaume qui vous a été préparé dès le commencement du monde. Car j'ai eu faim, et vous m'avez donné à manger ; j'ai eu soif, et vous m'avez donné à boire ; j'étais étranger, et vous m'avez recueilli ; j'étais nu, et vous m'avez revêtu ; j'étais malade , et vous m'avez visité ; j'étais en prison, et vous êtes venu à moi.
Page 41 - Ghibellin fuggiasco, e tu i cari parenti e l'idioma desti a quel dolce di Calliope labbro che Amore in Grecia nudo e nudo in Roma d'un velo candidissimo adornando, rendea nel grembo a Venere Celeste...
Page 443 - Le premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire, Ceci est à moi, et .10 trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile.
Page 338 - Pour cela, il était nécessaire de remonter plus haut que n'a fait ce philosophe. Mais dans l'impuissance où nous sommes d'observer nos premières pensées et nos premiers mouvements, il fallait deviner, et par conséquent, il fallait faire différentes suppositions.
Page 6 - C'est le cœur qui sent Dieu, et non la raison. Voilà ce que c'est que la foi, Dieu sensible au cœur, non à la raison.
Page 455 - La loi naturelle ordonne aux pères de nourrir leurs enfants , mais elle n'oblige pas de les faire héritiers. Le partage des biens, les lois sur ce partage, les successions après la mort de celui qui a eu ce partage ; tout cela ne peut avoir été réglé que par la société , et par conséquent par des lois politiques ou civiles.