Oeuvres de Gresset ...Chez Ant. Aug. Renouard., 1811 - 444 pages |
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... plaisirs les noms les plus doux , les signes les plus flat- teurs : à la fin il se fâche , il tonne , il crie au secours ; et c'est au plus fort de son désespoir qu'on lui apporte la gazette de France , qui appaise sa colere , et le ...
... plaisirs les noms les plus doux , les signes les plus flat- teurs : à la fin il se fâche , il tonne , il crie au secours ; et c'est au plus fort de son désespoir qu'on lui apporte la gazette de France , qui appaise sa colere , et le ...
Page lxi
... plaisirs . De l'ode à laquelle celle - ci sert de réponse il n'a été publié qu'une seule strophe ; la voici avec une autre qui m'a été communiquée : Prusse , il t'étoit promis ce roi , l'honneur du trône , Possesseur des talents qui ...
... plaisirs . De l'ode à laquelle celle - ci sert de réponse il n'a été publié qu'une seule strophe ; la voici avec une autre qui m'a été communiquée : Prusse , il t'étoit promis ce roi , l'honneur du trône , Possesseur des talents qui ...
Page 5
... plaisirs , Pour occuper son ventre infatigable , Pendant le temps qu'il passoit hors de table , Mille bonbons , mille exquises douceurs , Chargeoient toujours les poches de nos sœurs . Les petits soins , les attentions fines , Sont nés ...
... plaisirs , Pour occuper son ventre infatigable , Pendant le temps qu'il passoit hors de table , Mille bonbons , mille exquises douceurs , Chargeoient toujours les poches de nos sœurs . Les petits soins , les attentions fines , Sont nés ...
Page 26
... plaisirs infideles ! O vains attraits de délices mortelles ! Tous les dortoirs étoient jonchés de fleurs ; Café parfait , chansons , course légere , Tumulte aimable , et liberté pléniere ; Tout exprimoit de charmantes ardeurs , Rien n ...
... plaisirs infideles ! O vains attraits de délices mortelles ! Tous les dortoirs étoient jonchés de fleurs ; Café parfait , chansons , course légere , Tumulte aimable , et liberté pléniere ; Tout exprimoit de charmantes ardeurs , Rien n ...
Page 55
... plaisirs sages , On s'entretient dans les ouvrages Des dieux de la lyre et du goût ? Par une illusion charmante , Que produit la verve brillante De ces chantres ingénieux , Eux - mêmes s'offrent à mes yeux , Non sous ces vêtements ...
... plaisirs sages , On s'entretient dans les ouvrages Des dieux de la lyre et du goût ? Par une illusion charmante , Que produit la verve brillante De ces chantres ingénieux , Eux - mêmes s'offrent à mes yeux , Non sous ces vêtements ...
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Expressions et termes fréquents
aimable airs Amiens amours Apollon arts auroit autels avoit badinage beaux jours berger bergers bois bonheur bords brillant carriere champêtre champs chansons chants charmant cher ciel cieux cœur college de Louis-le-Grand Corydon DAMETE Daphnis déja derniere desirs destin dieu dieux disgrace douceur doux églogues encens enchanteresse ennui ÉPITRE esprit étoient étoit Eurotas fêtes fidele fleurs foible Gallus génie gloire goût grace Gresset hameaux hautbois héros hêtres heureux immortelle j'ai Jean-Baptiste Rousseau jeune jeux l'ame l'amour l'heureuse l'univers lauriers lieux loin long-temps lumiere Lycoris lyre MÉLIBÉE MÉNALQUE monde MOPSUS mort mortels muse myrtes n'étoit nymphes ombres paisible par-tout pasteur perroquet peuple Phébus plaisir plaisirs pleurs poëme poésie poëte premiere printemps qu'un regrets rien rimes rivage rives sage séjour seroit seul silence Silene sœurs soins solitaire sombre sort soupirs Styx Syrinx talents temple tendre tendresse Thrace Tityre tombeau tranquille triste trône troupeaux TYRCIS vainqueurs Ver-Vert vertu Virgile vois voix yeux zéphyrs
Fréquemment cités
Page 61 - J'ai vu mille peines cruelles Sous un vain masque de bonheur , Mille petitesses réelles Sous une écorce de grandeur , Mille lâchetés infidèles Sous un coloris de candeur ; Et j'ai dit au fond de mon cœur : Heureux qui dans la paix secrète D'une libre et sûre retraite Vit ignoré , content de peu , Et qui ne se voit point sans cesse Jouet de l'aveugle déesse , Ou dupe de l'aveugle dieu...
Page 60 - Irais-je , orateur mercenaire Du faux et de la vérité , - » Chargé d'une haine étrangère, Vendre aux querelles du vulgaire Ma voix et ma tranquillité , Et , dans l'antre de la chicane...
Page 51 - Lorsqu'on y trouve le bonheur? Lorsqu'on y vit sans spectateur Dans le silence littéraire, Loin de tout importun jaseur, Loin des froids discours du vulgaire, Et des hauts tons de la grandeur...
Page 3 - Sait vous sauver ces fades petitesses. Sur votre esprit, soumis au seul devoir, L'illusion n'eut jamais de pouvoir : Vous savez trop qu'un front que l'art déguise Plaît moins au ciel qu'une aimable franchise. Si la vertu se...
Page xxix - D'être au collège un bel esprit mondain, Et dans le monde un homme de collège ; Gresset dévot ; longtemps petit badin, Sanctifié par ses palinodies, II prétendait avec componction Qu'il avait fait jadis des comédies, Dont à la Vierge il demandait pardon. — Gresset se trompe, il n'est pas si coupable : Un vers heureux et d'un tour agréable Ne suffit pas ; il faut une action, De l'intérêt, du comique, une fable, Des mœurs du temps un portrait véritable, Pour consommer cette œuvre du...
Page 59 - M'enchaîner encor plus long-temps? Quand j'aurai passé mon printemps Pourrai-je vivre encor pour elle? Car enfin au lyrique essor, Fait pour nos bouillantes années , Dans de plus solides journées Voudrois-je me livrer encor? Persuadé que l'harmonie Ne verse ses heureux présents Que sur le matin de la vie , Et que , sans un peu de folie , On ne rime plus à trente ans...
Page 13 - D'un noir crayon leur trace ce voyage ; Pendant la nuit des songes pleins d'horreur Du jour encor redoublent la terreur. Trop vains regrets ! l'instant funeste arrive : Jà tout est prêt sur la fatale rive ; II faut...
Page 69 - Ses charmes, sa béatitude, Pour base ayant la solitude , S'il devient peuple , il est perdu. Les états de la république Chaque automne s'assembleront; Et là notre regret unique, Nos uniques peines seront De ne pouvoir toute l'année Suivre cette loi fortunée De philosophiques loisirs , Jusqu'à ce moment où la Parque Emporte dans la même barque Nos jeux, nos cœurs, et nos plaisirs.
Page xxviii - Lui quarantième on fait asseoir cet homme ; Lors il s'endort , et ne fait plus qu'un somme : Plus n'en avez prose , ni madrigal : Au bel esprit ce fauteuil est en somme Ce qu'à l'amour est le lit conjugal.
Page 20 - Dont il savoit le bachique jargon, Qu'aller apprendre encor les litanies, La révérence, et les cérémonies. Mais force fut au grivois dépité D'être conduit au gîte détesté.