| Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...siège d'Amiens, où il m'a vu tant de fois , couvert de feu* t de plomb , courir tant de hasards , pour donner ou pour recevoir la mort? Le cruel ! il...ne m'a jamais aimé que tant qu'il a cru que je lui étais nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang , après qu'il s'en est servi. Mon père a souffert... | |
| 1818 - 648 pages
...où il m'a « vu tant de fois couvert de feux et de plomb, courir tant de hasard- pour « donner nu pour recevoir la mort? Le cruel ! il ne m'a jamais aimé , que tant « qu'il a cru que je lui élais nécessaire. 11 éteint le flambeau en mon sang après -_ l'Espagn dit j>;»c,s et Je la mort... | |
| 1818 - 646 pages
...où il ma « vu laul de fois couvert de feux et de plomb, courir tant de hasards pouf te donner mi pour recevoir la mort? Le cruel ! il ne m'a jamais aimé, que tant « qu'il .1 cru que je lui étais nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang aprél qu'il >Yn e~t servi.... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...siège d'Amiens, où il m'a vu tant de fois , couvert de l'eu et de plomb , courir tant de hasards , , Les flots de l'Océan apportés goutte à goutte Bannissent leur force , et s'ouvrent une queje lui élois nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang , après qu'il s'en est servi. Mon... | |
| François Noel - 1838 - 788 pages
...du siège d'Amiens, où il m'a vu tant de fois, couvert de feu et de plomb, courir tant de hasards, pour donner ou pour recevoir la mort? Le cruel! il...ne m'a jamais aimé que tant qu'il a cru que je lui étais nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang, après qu'il s'en est servi. Mon père a souffert... | |
| F T - 1848 - 410 pages
...du siége d'Amiens, où il m'a vu, tant de fois, couvert de feu et de plomb, courir tant de hasards, pour donner ou pour recevoir la mort ? Le cruel !...ne m'a jamais aimé que tant qu'il a cru que je lui étais nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang, après qu'il s'en est servi. Mon père a souffert... | |
| 1852 - 186 pages
...siège d'Amiens, où il m'avait vu tant de fois , couvert de feu et de plomb , courir tant de hasards , pour donner ou pour recevoir la mort ? Le cruel !...ne m'a jamais aimé que tant qu'il a cru que je lui étais nécessaire. Il éteint le flambeau en mon sang, après qu'il s'en est servi. Mon père a souffert... | |
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