Histoire du Royaume de Naples depuis Charles VII jusqu'à Ferdinand IV: 1734 à 1825, Volume 2

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Ladvocat, 1840
 

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Expressions et termes fréquents

Fréquemment cités

Page 26 - ... national , de donner des marques de considération à un homme qui occupa un des premiers rangs sur la terre , arrêtent :
Page 368 - Naples la commission et tous ses agens ; et il se crut en droit d'employer les moyens militaires pour l'exécution de cette mesure. Il n'en fallut pas davantage pour exciter toute la colère du directoire français , qui trouvait enfin l'occasion de punir légalement , en quelque sorte , le général qui avait déjà manifesté des sentimens d'indépendance.
Page 391 - L'armée que je commande marche pour punir cette perfi« die ; mais vous , peuples, vous n'avez rien à craindre, ce n'est ic pas contre vous que sont dirigées ces armes. Les autels , « les ministres de votre culte , vos lois , vos propriétés , « seront respectés. Les soldats français seront vos frères. « Si , contre les intentions bienfaisantes de sa Majesté , « vous prenez les armes , la cour qui vous excite vous sa...
Page 47 - ... plus au Piémont que des victoires remportées sur le champ de bataille , et jamais la postérité équitable ne donnera le nom de trahison à ces actes énergiques de tout un peuple qui passe sur les cadavres de ses oppresseurs pour reconquérir sa liberté...
Page 376 - ... dans les principes de la plus rigoureuse décence et honnêteté : je l'ai vue plusieurs fois au théâtre détourner l'attention de ses filles, dès qu'elle prévoyait quelque scène d'amour. Généreuse jusqu'à la prodigalité , • elle donnait toutes les semaines à de pauvres familles le fruit de ses épargnes ; mais en même temps elle comblait de bienfaits des personnes qui en étaient tout-à-fait indignes , et son ministre favori , et ses espions , et les plus vils délateurs.
Page 382 - C'étaient pour moi d'utiles leçons : bien plus jeune que lui , je me regardais comme son élève , et jel'étais en effet Mais il me fallut partir, abandonner mon ami , revenir dans ma patrie agitée, malheureuse. Quelques années après, j'appris que l'auteur des Essais politiques avait péri sur l'échafaud, ainsi que le célèbre docteur Cirillo, ainsi que dix autres savans estimables qui faisaient la gloire de la ville de .Naples.
Page 119 - Les savans connaissent la cause du changement des saisons ; nous , nous savons seulement que nous avons chaud' ou froid. Nous avons tout souffert sous le tyran : guerre , famine , peste , tremblement de terre ; on dit que nous serons heureux sous la république, laissons-lui le temps de nous le prouver. « Qui veut récolter vite , sème des raves dans son champ , et ne mange que des racines ; qui veut manger du pain, sème du grain et attend un an. Il en est de même de la république : pour les...
Page 394 - Le sceptre de plomb de la moderne Athalie, dit le Moniteur, vient d'être brisé sans retour. L'empereur rétablira le royaume de Naples pour un prince français; mais il le rétablira fondé sur les lois et l'intérêt des peuples : le nouveau royaume fait désormais partie des États fédératifs de l'empire français.
Page 101 - C'est moi qui vous ai élus , mais c'est la renommée qui vous a désignés. Vous répondrez par l'excellence de vos oeuvres à la confiance du peuple , qui voit en vous des hommes de talent , d'un cœur pur, des amis ardens et sincères de la patrie. « En constituant la République napolitaine , prenez pour modèle , autant que le comportent les besoins et les mœurs , la constitution de la République française , la mère des républiques nouvelles et de la nouvelle civilisation. En gouvernant...
Page 375 - VII. Les mêmes dispositions seront observées à l'égard de tous les prisonniers faits sur les troupes républicaines par les troupes de SM le roi des DeuxSiciles, et de ses alliés, dans les divers combats qui ont eu lieu avant le blocus des forts.

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