| Voltaire - 1765 - 618 pages
...dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue' ; Un trouble s'eleva dans mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'Imagination alors ardente & fage , n'entafle point de figures incohérentes , elle ne dit point,'... | |
| Voltaire - 1771 - 350 pages
...la paflîon de Phedre. Athenes me montra mon fuiierbe ennemi. Je le vis , je rougis ; je pllis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je lin iis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus & fes traies redoutables, D'un... | |
| Voltaire - 1773 - 394 pages
...mal qu'on ne croit. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis , ie rougis , je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler ; Je fentis tout mon corps & tranfir & brûler. Je reconnus Vénus & fes traits redoutables, D'un fang... | |
| Voltaire - 1785 - 584 pages
...la paffion de Phédre. Athènes me montra mon fuperbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à fa vue. Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je fentis tout mon corps S: tranfir !k brûler; Je reconnus Vénus 8: fes traits redoutables, D'un... | |
| Voltaire - 1785 - 524 pages
...précifément les mêmes choies que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente &: fage n'entafle point de figures incohérentes ; elle ne dit point ,... | |
| Voltaire - 1785 - 528 pages
...précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis, je rougis, je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente 8c fage n'entafle point de figures incohérentes ; elle ne dit point ,... | |
| Voltaire - 1785 - 540 pages
...précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis, je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans mon ame éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente et fage n'entafle point de figures incohérentes ; elle ne dit point ,... | |
| 1787 - 360 pages
...m'étois engagée, Mon repos mon bonheur sembioit cure Affermit Athènes me montra mon superbe ennemi, Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble 's'éleva dans mon amc éperdue. Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pou vois parler t Je sentis tour mon corps et rransir... | |
| 1787 - 354 pages
...m'étois engagée, Mon repos, mon bonheur sembtoit être affermi» Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis , je rougis, je pâlis à sa vue. Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus ; je ne pouvois parler* Je sentis tout mon corps et rransir... | |
| Voltaire - 1792 - 528 pages
...précifément les mêmes chofes que dirait la perfonne qu'il introduit. Je le vis , je rougis , je pâlis à fa vue ; Un trouble s'éleva dans. mon ame éperdue; Mes yeux ne voyaient plus , je ne pouvais parler. L'imagination alors ardente & fage n'entafle point de figures incohérentes ; elle ne dit point , par... | |
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