Historische karakters: door dr. Theod. Jorissen, Volumes 1 à 2H. D. Tjeenk Willink, 1894 |
Table des matières
215 | |
3 | |
31 | |
48 | |
58 | |
73 | |
81 | |
117 | |
121 | |
124 | |
128 | |
144 | |
151 | |
162 | |
169 | |
179 | |
201 | |
213 | |
90 | |
105 | |
110 | |
125 | |
143 | |
189 | |
210 | |
227 | |
231 | |
227 | |
231 | |
Autres éditions - Tout afficher
Expressions et termes fréquents
Abelard adel alles Anton Reinhard Falck Barbaroux beginselen bestuur Bonapartisme Bretteville brief brieven Caen Charlotte de Corday Charte dagen Daniël Manin deed denkbeelden dien eenige eeuw eigen Frankrijk Fransche geest geestelijkheid geheel gelijk geloof gevoel geweest gezag Gironde Girondijnen godsdienstige goed groote hand harer hart hartstocht hebt heid Heloise Hist hoofd hooger hunne hunner invloed Italië JERONIMO DE VRIES JORISSEN karakter Karel Karel X kerk kerkelijke koning koningschap kracht laatste leven liefde Lodewijk Lodewijk XIII macht maken mannen Marat Maria de Medicis Maromme menschen menschheid Mevr minister mocht moest natie nationale nieuwe ontwikkeling onze oogenblik Oostenrijk oude overtuiging Parakleet Parijs personen politieke recht regeering revolutie Richelieu Robespierre roem scheen schoon slechts strijd thans tusschen vader vaderland Vatel Vaultier Veltlin Venetië vijanden volk vrienden vrijheid vroeger vrouw waarheid want weet weinig wien wilde Willem van Champeaux woorden zelf zelve zijner zooveel zouden zulk
Fréquemment cités
Page 208 - La féodalité était demeurée la plus grande de toutes nos institutions civiles en cessant d'être une institution politique. Ainsi réduite, elle excitait bien plus de haines encore, et c'est avec vérité qu'on peut dire qu'en détruisant une partie des institutions du moyen âge on avait rendu cent fois plus odieux ce qu'on en laissait.
Page 196 - O maxime conjux ! O thalamis indigne meis ! Hoc juris habebat In tantum fortuna caput ? Cur impia nupsi, Si miserum factura fui ? Nunc accipe poenas, Sed quas sponte luam.
Page 209 - Celui qui vous remercie, ce n'est pas le ministre de la justice, c'est le ministre de la Révolution.
Page 98 - Bijdragen tot de geschiedenis der onderhandelingen met Engeland betreffende de overzeesche bezittingen, 1820—1824, 1863 Bijdragen betrekkelijk koloniale en andere aangelegenheden in den Raad van State behandeld, 1874.
Page 208 - Tout ce que je vois jette les semences d'une révolution qui arrivera immanquablement, et dont je n'aurai pas le plaisir d'être témoin. Les Français arrivent tard à tout, mais enfin ils arrivent; la lumière s'est tellement répandue de proche en proche, qu'on éclatera à la première occasion et alors ce sera un beau tapage; les jeunes gens sont bien heureux, ils verront de belles choses.
Page 216 - L'expression de ce beau visage était d'une douceur ineffable, ainsi que le son de la voix. Jamais on n'entendit un organe plus harmonieux, plus enchanteur; jamais on ne vit un regard plus angélique et plus pur, un sourire plus attrayant. Ses cheveux châtain clair s'accordaient parfaitement avec son visage ; enfin c'était une femme superbe. Elle se tenait mal, sa tête se penchait légèrement en avant, et nous lui faisions souvent la guerre à ce sujet. Elle souriait et promettait de se corriger;...
Page 214 - Vaultier, ancien, dogen de la faculté des lettres de Caen, publiés pour la première fois avec notes et pièces justificatives , par M. Georges Mancel, Caen 1858.
Page 212 - ... dans le public, lorsque je déchirais sans ménagement le voile qui couvrait les éternels complots tramés contre la liberté publique par les ennemis de la patrie, conjurés avec le monarque, le législateur et les principaux dépositaires de l'autorité ; mais à l'audace avec laquelle je foulais aux pieds tout préjugé...
Page 197 - Nec etiam dormienti suis illusionibus parcunt. Inter ipsa missarum solemnia, ubi purior esse debet oratio, obscena earum voluptatum phantasmata ita sibi penitus miserrimam captivant animam ut turpitudinibus illis magis quam orationi vacem. Quae cum ingemipcere debeam de commissis, suspiro potius de amissis.
Page 208 - ... à différentes époques et dans divers pays, pour ne la considérer qu'en elle-même, on voit clairement que cette révolution n'a eu pour effet que d'abolir ces institutions politiques qui, pendant plusieurs siècles, avaient régné sans partage chez la plupart des peuples européens, et que l'on désigne d'ordinaire sous le nom d'institutions féodales, pour y substituer un ordre social et politique plus uniforme et plus simple, qui avait l'égalité des conditions pour base.