Almanach des Muses: 1765-Claude-Sixte Sautreau de Marsy, Vigée (M., Louis-Jean-Baptiste-Étienne), Justin Gensoul Delalain, 1802 |
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... suivant l'usage , Du lait , de l'œuf , avee du chenevis . C'est bon , mais ce n'est point l'aliment ordinaire ; Le coton n'était pas les ailes de la mère ; Elles chauffent si bien ! bref , on les vit finir En trois jours tout mourut de ...
... suivant l'usage , Du lait , de l'œuf , avee du chenevis . C'est bon , mais ce n'est point l'aliment ordinaire ; Le coton n'était pas les ailes de la mère ; Elles chauffent si bien ! bref , on les vit finir En trois jours tout mourut de ...
Page 115
... suivant est d'un moutarder Aussi fier que celui du pape . Il se nommait Jacques Routier , Grand amateur de bonne chère , Connu pour homme à caractère , Et sachant à fond son métier . Pour faire la ci - devant fète Du ci - devant saint ...
... suivant est d'un moutarder Aussi fier que celui du pape . Il se nommait Jacques Routier , Grand amateur de bonne chère , Connu pour homme à caractère , Et sachant à fond son métier . Pour faire la ci - devant fète Du ci - devant saint ...
Page 123
... suivant l'ancienne coutume , M'exposer encore à marcher . A mon mal si tu fus propice , J'en ai bien senti tout le prix ; Jamais , je crois , tu ne souffris De mon dépit , de mon caprice : Comme il sied entre deux amis , J'allégeai ton ...
... suivant l'ancienne coutume , M'exposer encore à marcher . A mon mal si tu fus propice , J'en ai bien senti tout le prix ; Jamais , je crois , tu ne souffris De mon dépit , de mon caprice : Comme il sied entre deux amis , J'allégeai ton ...
Page 125
... suivant les sentiers , Je trotte auprès de quelque belle . Aux spectacles , incognito , Nous nous mettons en sentinelle ; J'assiste au bal , au grand Pinto ; Je ris au tableau des Sabines : Et de retour , sans être las , Sans ...
... suivant les sentiers , Je trotte auprès de quelque belle . Aux spectacles , incognito , Nous nous mettons en sentinelle ; J'assiste au bal , au grand Pinto ; Je ris au tableau des Sabines : Et de retour , sans être las , Sans ...
Page 155
... suivant la croupe immense , S'étendent jusqu'aux lieux où l'équateur commence . Vous , pins majestueux , vous , cèdres parfumés , Vous ombragez ainsi ces sommets enflammés Qui semblent soutenir le ciel de Cachemire ; Vous voyez sous vos ...
... suivant la croupe immense , S'étendent jusqu'aux lieux où l'équateur commence . Vous , pins majestueux , vous , cèdres parfumés , Vous ombragez ainsi ces sommets enflammés Qui semblent soutenir le ciel de Cachemire ; Vous voyez sous vos ...
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Expressions et termes fréquents
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Fréquemment cités
Page 109 - Pleurez, doux alcyons ! ô vous, oiseaux sacrés, Oiseaux chers à Thétis, doux alcyons, pleurez ! Elle a vécu, Myrto, la jeune Tarentine ! Un vaisseau la portait aux bords de Camarine : Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant.
Page 109 - L'enveloppe : étonnée et loin des matelots, Elle tombe, elle crie, elle est au sein des flots. Elle est au sein des flots, la jeune Tarentine ! Son beau corps a roulé sous la vague marine.
Page 110 - Puis de loin à grands cris appelant leurs compagnes, Et les Nymphes des bois, des sources, des montagnes, Toutes, frappant leur sein et traînant un long deuil, Répétèrent: «Hélas!» autour de son cercueil. Hélas ! chez ton amant tu n'es point ramenée. Tu n'as point revêtu ta robe d'hyménée. L'or autour de tes bras n'a point serré de nœuds. Les doux parfums n'ont point coulé sur tes cheveux.
Page 262 - Reviens de ton erreur, toi qui veux les flétrir : Sache les respecter autant que les chérir ; Et, si la voix du sang n'est point une chimère, Tombe aux pieds de ce sexe à qui tu dois ta mère.
Page 24 - Infidèle à ton nom , infidèle à tes larmes , Quel bien te vaudra ces douceurs? Je demeure ; et tu pars ! comme un tilleul paisible Qui borne ses destins à de riants vallons , Quand le pin hasardeux fend la vague terrible, Et s'abandonne aux aquilons.
Page 219 - Là, du monde naissant vous suivez les vestiges, Et vous errez sans cesse au milieu des prodiges. Dieu parle , l'homme naît ; après un court sommeil, Sa modeste compagne enchante son réveil. Déjà fuit son bonheur avec son innocence : Le premier juste expire , ô terreur ! ô vengeance ! tn déluge engloutit le monde criminel.
Page 47 - L'orgueilleux s'est dit à lui-même : Je suis le dieu de l'univers ; Mon front est ceint du diadème, J'enchaîne à mes pieds les revers. Mes palais couvrent les montagnes ; Mon peuple inonde les campagnes : La Volupté sert mes festins ; Les feux brûlent pour ma vengeance ; L'onde et les vents, d'intelligence , Livrent la terre à mes destins. Mortel superbe , folle argile, Cherche tes destins éclipsés...
Page 53 - L'horreur farouche A ces mots a glacé leur bouche ; Leur silence peint ses malheurs: II lève en frémissant la vue ; Et sur Lisbonne disparue II égare ses yeux en pleurs. Les cris, le désespoir, les larmes D'un peuple cher et malheureux , Repassaient avec les alarmes Dans son cœur tendre et généreux. A la mort la nuit joint ses ombres ; Roi , peuple , erraient sur ces bords sombres.
Page 48 - Les cieux, sous sa démarche altière, Courbent leurs sommets éternels ; Et les astres sont la poussière Que foulent ses pas immortels. Sous son char les tonnerres grondent ; L'air mugit, les enfers répondent Au tumulte des éléments : Immobile dans cet orage , II voit à ses pieds le naufrage Des rois , des peuples , et des temps. D'un regard sa justice éclaire L'abîme des cœurs insensés : II rit de l'orgueil téméraire Des rois follement encensés.
Page 53 - Lisbonne , ô sort barbare ! Tu n'es plus que dans nos regrets ! Un Gouffre est l'héritier avare De ton Peuple et de tes palais : Tu n'es à la vue alarmée Qu'une solitude enflammée Que parcourt la Mort et l'Horreur : Un jour les Siècles , en silence , Planant sur ton cadavre immense , Frémiront encor de terreur. TEL un Sapin , dont les ombrages Couronnaient la cime des monts, Dévoré du feu des orages , Tombe et roule dans les vallons; II tombe"!