Chine, parce que celles que nous vîmes pour la première fois en avaient été apportées. Le premier et unique oranger, duquel on dit qu'elles sont toutes venues, se conserve encore à Lisbonne dans la maison du comte Saint-Laurent; et c'est aux Portugais... Traité du citrus - Page 296de Giorgio Gallesio - 1811 - 363 pagesAffichage du livre entier - À propos de ce livre
| Victor Hehn - 1870 - 494 pages
...dit qu'elles sont toutes venues, se conserve encore à Lisbonne dans la maison du Comte S. Laurent et c'est aux Portugais que nous sommes redevables d'un si excellent fruit. Noch Ferrarius (Hespéridos, Romae 1646, fol.) nennt die Apfelsine aurantium Olysiponense, Orange von... | |
| Angelo De Gubernatis - 1882 - 390 pages
...oranger, duquel on dit qu'elles sont toutes venues, se conserve encore à Lisbonne dans la maison du comte Saint-Laurent; et c'est aux Portugais que nous sommes redevables d'un si excellent fruit. » Au temps de Perrault, les oranges étaient encore un fruit assez rare ' ; c'est pourquoi le prince... | |
| Angelo De Gubernatis - 1882 - 394 pages
...oranger, duquel on dit qu'elles sont toutes venues, se conserve encore à Lisbonne dans la maison du comte Saint-Laurent; et c'est aux Portugais que nous sommes redevables d'un si excellent fruit. » Au temps de Perrault, les oranges étaient encore un fruit assez rare 1 ; c'est pourquoi le prince... | |
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