| Claude-Prosper Jolyot de Crébillon - 1736 - 538 pages
...toujours , & n'étois plus touché. Ce fut envain que je .voulus me rendre mes premiers «tranfports. Je ne me livrois plus à Madame de Lurfay que d'un air contraint, & je me reprochois jufqucs 'aux moindres defirs que fa beauté m'arrachoit encore. Hortenfe , cette Hortenfe que j'adorois... | |
| 1742 - 468 pages
...langueur , j'avois befoin de l'exciter. J'ttois encoie emprefle, mais moins ardent. J'admirois toujours , & n'étois plus touché. Ce fut en vain que je voulus me rendre mes premiers tranfports. Je ne me livrois plus à Madame de Lurfay que d'un air contraint , & je me reprochois jufques... | |
| 1778 - 522 pages
...toujours , & n'étois plu« touché. Ce fut envain que je voulus reprendre mes premiers tranfpons. Je ne me livrois plus à Madame de Lurfay que d'un air contraint , & je me reprocbois jufqUe» aux moindres deflrs que fa beauté. m'arrachoit encore. Hortenfe, cette H«rtenfe... | |
| Crébillon fils - 2002 - 180 pages
...besoin de l'exciter. J'étais encore empressé, mais moins ardent. J'admirais toujours, et n'étais plus touché. Ce fut en vain que je voulus me rendre mes premiers transports. Je ne me livrais plus à Madame de Lursay que d'un air contraint, et je me reprochais jusqu'aux moindres désirs... | |
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