Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1824 |
Expressions et termes fréquents
août armée armes arrêté assassins assemblées avaient bataillons batteries Bazire brigands c'était canons cents Chalier citoyens de Lyon club central clubistes comité de salut commissaires commission conjurés conspirateurs Convention Convention nationale cordeliers corps administratifs courage crime Croix-Rousse Danton déclaration décret départemens département députés devait Dubois Dubois-Crancé Dubois-Crancé et Gauthier écrivait ennemis envoyé factieux faction faisait février force garde nationale Gilibert girondins girondisme guillotine habitans heures hommes jacobins jour Kellermann l'Assemblée l'hôtel-de-ville Laussel Legendre lettre liberté Louis XVI Mâcon madame Roland maire Marat Marseillais massacre membres ment mille mort municipalité n'avait n'était Nioche Nivière nommé pables patrie patriotes peuple de Lyon place des Terreaux porter pouvait Précy président prison représentans républicains république reste révolution révolutionnaire Rhône Rhône-et-Loire Robespierre Roland rolandins royalistes s'était salut public sang sans-culottes scélérats séance sections serait seul siége de Lyon Signé soir sûreté tion toyens tribunal troupes tyrannie venait Vitet voulaient
Fréquemment cités
Page 284 - La Loi est l'expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs Représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les Citoyens étant égaux à ses yeux sont également admissibles à toutes...
Page 122 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les...
Page 155 - COMPI.. — xni. 22 citoyen qui cherche à convaincre les factieux avant de les frapper. Le club l'avait couvert de mépris et d'outrages. « Le grand jour des vengeances est arrivé, s'écria Chàlier.
Page 203 - ... soit au corps législatif, soit au Roi, sous la condition de donner avis aux officiers municipaux du temps et du lieu de ces assemblées, et de ne pouvoir députer que...
Page 268 - Terreaux, tous s'arrêtent , et prononcent ensemble le serment « de maintenir la liberté, l'égalité , » la république une et indivisible , la sûreté des » personnes et des propriétés; » ils s'engagent formellement en outre « à la plus entière sou—
Page 36 - Droits des Curés et des Paroisses considérés sous leur double rapport spirituel et temporel. Paris, 4776. 2 parties in-8".
Page 420 - sections nous proposent une nomination respeo» tive de commissaires; et, en même temps, ils » nous déclarent que désormais le peuple de la » ville de Lyon ne correspondra plus avec nous. « On redoute une communication franche et loyale » entre le peuple et ses représentans. Hé bien ! » nous déclarons à notre tour que nous ne pou» vous pas communiquer avec des autorités sans M caractère, puisque les décrets de la Convention
Page 442 - Le folliculaire * Fain m'accuse d'avoir voulu créer un tribunal de sang.... » Oui, je l'ai voulu,... de sang, de sang, pour punir les » monstres qui en boivent!... Misérable! que t'importe? Tu » ne crains pas qu'on verse le tien ; ... tu n'as que de la boue * et do virus dans les veines;.-..
Page 442 - Oui, je l'ai voulu,... de sang, de sang, pour punir les » monstres qui en boivent!... Misérable! que t'importe? Tu • ne crains pas qu'on verse le tien ; ... tu n'as que de la boue » et du virus dans les veines; ... les modérés ont du jus de » pavot , . . . les accapareurs un or fluide, . . . les perturbateurs » une écume de souffle ,... les réfractaires un extrait de ciguë....
Page 158 - Lepelletier devint pour eux un motif de joie qu'ils ne purent dissimuler. Son lâche assassin fut même célébré dans 'un libelle intitulé : Un vertueux Français à la Convention nationale , et dans lequel on remarquait ce passage : « Tremblez , brigands , et souvenez-vous que les infâmes assassins de Charles Stuart ont péri misérablement, ou sont tombés sous les coups des vrais Anglais ; le même sort vous attend. » L'arbre de la liberté de la place des Terreaux était chaque jour couvert...