| comte Georges Louis Leclerc de Buffon - 1799 - 472 pages
...langue du singe aparu aux anatomistes (i) aussi .parfaite que celle de l'homme : le singe parleroit donc s'il pensoit ; si l'ordre de ses pensées avoit...langue; et en supposant qu'il n'eût que des pensées <le singe , il parleroit aux autres singes j mais! on ne les a jamais vus s'entretenir ou discourir... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1812 - 348 pages
...la langue du singe a paru aux anatomiste» aussi parfaite que celle de l'homme ; le singe parIcroit donc s'il pensoit ; si l'ordre de ses pensées avoit...supposant qu'il n'eût que des pensées de singe, il parleront aux autres singes; mais on ne les a jamais vus s'entretenir ou discourir ensemble; ils n'ont... | |
| 1838 - 366 pages
...la langue du singe a paru aux anatomistes aussi parfaite que celle de l'homme; le singe par. leroit donc s'il pensoit ; si l'ordre de ses pensées avoit...s'entretenir ou discourir ensemble; ils n'ont donc pas néme un ordre, une suite de pensées à leur façon, bien loin d'en avoir de semblables aux .nôtres;... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1827 - 530 pages
...la langue .du singera paru aux anatomistes aussi parfaite que celle de l'homme. Le singe parlei'oit donc s'il pensoit ; si l'ordre de ses pensées avoit quelque chose de .•commun avec lés nôtres, il parlerait notre1 langue; et en supposant qu'il n'eût que des pensées de singe, ,... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1837 - 506 pages
...s'il pensait; si l'ordre de ses pensées avait quelque chose de commun avec les nôtres il parlerait notre langue, et en supposant qu'il n'eût que des pensées de singe, il parlerait aux autres; il ne se passe dans leur intérieur rien de suivi, rien de coordonné, puisqu'ils... | |
| Georges Louis Leclerc comte de Buffon - 1843 - 546 pages
...s'il pensait ; si l'ordre de ses pensées avait quelque chose de commun avec les nôtres, il parlerait notre langue; et, en supposant qu'il n'eût que des pensées de singe , il parlerait aux autres singes : mais on ne les a jamais vus s'entretenir ou discourir ensemble. Ils n'ont... | |
| Marie Stanislas Rattier - 1844 - 704 pages
...s'il pensait, si l'ordre de ses pensées avait quelque chose de commun avec les nôtres, il parlerait notre langue, et en supposant qu'il n'eût que des pensées de singe, il parlerait aux autres singes ; mais on ne les a jamais vus s'entretenir et discourir ensemble. Ils n'ont... | |
| Roisselet de Sauchlières - 1844 - 604 pages
...supplée, sont fort audessus de ses besoins. qu'il n'eût que des pensées de singe, il parlerait aux singes; mais on ne les a jamais vus s'entretenir ou discourir ensemble, du moins que nous sachions. Et si le singe avait la pensée, même au plus petit degré, il exprimerait... | |
| Jean-V. De Decker - 1850 - 302 pages
...s'il pensait; si l'ordre de ses pensées avait quelque chose de commun avec les nôtres, il parlerait notre langue, et en supposant qu'il n'eût que des pensées de singe, il parlerait aux autres singes; mais on ne les a jamais vus s'entretenir et discourir ensemble... Ils... | |
| Dominique Alexandre Godron - 1859 - 448 pages
...donc s'il - pensait ; si ses pensées avaient quelque chose de commun avec les t nôtres, il parlerait notre langue et en supposant qu'il n'eût que des • pensées de Singe, il parlerait aux autres Singes. > (Buffon, Histoire naturelle, T. H, p. 439.) abime sans fond sépare... | |
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